Eugène Schueller

Résumé: « La liberté guidant le peuple » d'Eugène Delacroix, 1830 « Si je n'ai pas vaincu pour la Patrie, au moins peindrai-je pour elle... » Dans cette toile, Delacroix témoigne de la révolution sanguinaire qui déchire Paris les 27, 28 et 29 juillet 1830. Au cours de ces trois jours, surnommés les « Trois Glorieuses », les républicains libéraux protestent contre les ordonnances de Saint-Cloud émises par Charles X et limitant les libertés (censure, dissolution de la chambre, restriction du droit

Lecture analytique : un chapeau paille d'Italie introduction et conclusion Introduction : C’est au cours d’un voyage en Italie que commence la carrière littéraire d’Eugène Labiche. Il fait parvenir à un journal parisien une série d’articles constituée par ses impressions de voyage, qui seront publiées deux volumes, sous le titre de La Clef des champs (1838). Mais c’est sur la scène du théâtre que Labiche connaît fortune et renommée. Plus d’une centaine de vaudevilles sont ainsi écrits en

Rhinocéros de Eugène Ionesco 1) Situation initiale Sur une place d’une petite ville de province, deux amis, Bérenger et Jean discutent assis à la terrasse d’un café quand tout à coup ils entendent des barrissements et des bruits d’un animal lourd en train de courir : un rhinocéros dévale la rue. S’en suit un débats entre tous les protagonistes témoins de la scène, une dispute éclate entre Bérenger et Jean à propos à du nombre de rhinocéros et du nombre de cornes de l’animal. Tout le monde

Le Rhinocéros, Eugène Ionesco Le monologue final Ce texte est extrait de la pièce de théâtre Rhinocéros, créée en 1959 par Eugène Ionesco. Ionesco était un grand dramaturge et écrivain roumain et français, le représentant du théâtre de l’absurde, né en 1909 en Roumanie, et décédé en France en 1994. Au même titre que la pièce La Cantatrice Chauve, Rhinocéros est une pièce emblématique du théâtre de l’absurde. Cette pièce dépeint une épidémie imaginaire qu’il nomme « rhinocérite », une maladie

Dissertation Introduction: La littérature est un ensemble des œuvres écrites auxquelles on reconnaît une finalité esthétique, cela comprend la poésie, le roman, les essais ainsi que le théâtre. Cependant, Eugène Ionesco, un dramaturge et écrivain qui est le représentant du théâtre de l'absurde, écrit en 1966 Notes et contre-notes dans lequel il affirme «Je ne fais pas de la littérature. Je fais une chose tout à fait différente ; je fais du théâtre». Nous pouvons ainsi nous demander si le théâtre

-La liberté guidant le peuple Delacroix- 1/ Le tableau s'appelle la liberté guidant le peuple, il mesure 260 cm × 325 cm. En 1830, Eugene Delacroix, (peintre français) née en 1798 et mort en 1963 a 65 ans,. L'oeuvre est d'abord présentée au public au Salon de paris de 1831, puis l'œuvre est transférée du musée du luxembourg (où elle était exposée depuis 1863) au musée du Louvre en 1874 où elle fut l'une des œuvres les plus fréquentées. L'œuvre est maintenant exposée au musée du Louvre-Lens depuis

Commentaire littéraire  Le Roi se meurt, Ionesco, 1962 Eugène Ionesco a écrit en 1962, un de ses plus grands succès, Le Roi se meurt. Cette pièce s’inscrit dans le courant du théâtre de l’absurde dont Ionesco en est l’icône tout comme Les Chaises ou Rhinocéros. Il est considéré comme l’un des plus grands écrivains et dramaturges contemporains et est entré à l’Académie française en 1970. L’œuvre d’Ionesco est une remise en question de la société qu’il ne se prive pas de critiquer. Dans cet extrait

qu’il fait encore une fois. «Mais non,Caïus,au contraire».(ligne 11). Ce que je remarque le plus dans ce personnage c’est son coté tyrannique , et le plaisir de voir souffrir les autres, comme une vengeance à dévorer de son coté. Dans l’oeuvre de Eugène Ionesco « Le roi se meurt », le roi qui se croit toujours aussi puissant et respecté qu’auparavant n’admet pas qu’il est malade, faible et qu’il ne contrôle plus grand chose, plus rien .Il pense que la nature,que les hommes et que son entourage lui

Comédie Humaine, qui regroupe quatre-vingt-onze romans écrits en vingt ans. En 1835, l'écrivain publie Le Père Goriot, qui marque sans doute l'étape la plus importante dans la construction de son oeuvre. Celui-ci relate l'histoire d'un jeune provincial, Eugène de Rastignac, qui découvre au fil du roman les règles cyniques qui gouvernent la société. On peut alors se demander si Le Père Goriot est un roman d'apprentissage, c'est-à-dire un roman qui a pour thème le cheminement évolutif d'un héros, souvent

bourgeoise, lépreuse et nauséabonde, de la rue Neuve-Sainte-Geneviève, vit un groupe de pensionnaires, où, à côté de figures banales et grotesques, s’entrevoient des âmes puissamment originales, dont la rencontre fait pressentir des drames poignants. Eugène de Rastignac, jeune noble débarqué de son Périgord natal et venu faire son droit et sa fortune à Paris, étudiant pauvre en attendant, mais ambitieux, y coudoie le père Goriot et Vautrin sur lesquels des scènes étranges lui donnent quelques aperçus