Euphemisme

maladie- « de nombreux...attendais » (l5,6) = rép + « déjà » = adv = montre implacabilité d’un temps dévorateur qui accule Louis à la mort  - « à ne rien faire, ... » = énumération, chp lex négation, temps fermé, monde clos, - « d’en avoir fini » = euphémisme, évoque sa mort- « l’année d’après » (l7) = rép, suggère parole difficile- « parfois » (l8) = adv + « à peine (l9) = loc adv = immobilité funeste face au temps - « danger », « extrême », « violent », « ennemi », « détruirait » (l10) = chp lex du

C'est un orchestre dramatique, que nous allons maintenant analyser. Ensuite, l'attitude du soldat au vers 5 n'est pas normale car il a la «tête nue » alors que les soldats ont toujours leur casque avec eux. Le soldat «dort » (vers 7) c'est un euphémisme qui atténue la mort du soldat. De plus, au vers 8 le soldat est présenté comme si il était en mauvaise santé : " pâle sans son lit vert" " il a froid " malgré la chaleur du soleil. Les parties du corps du soldat sont évoquées après la lecture

pouvons observer le caractère « solitaire » de la 2e strophe. En effet, Hélène n’aura plus de servantes pour l’écouter. Cela amène à penser à une personne aigrie, amer. Nous pouvons voir un euphémisme : à demi sommeillant qui signifierait qu’elle est bientôt morte (Le poème étant destiné à Hélène cet euphémisme permet d’adoucir la notion de mort surtout qu’elle la touche directement.) Troisième strophe : L’auteur compare ici la mort à un repos ce qui lui donne une connotation positive. De

dimension mélodieuse et la rapproche de la mélopée ou de la litanie1 2 Oiseaux chers à Thétis, doux alcyons, pleurez. 6-4-2 3 Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine. 4-2-6 - 2ème strophe qui débute par un alexandrin d’une seule phrase = euphémisme à valeur d’épitaphe. L’hémistiche met en valeur le nom propre de la défunte < qui n’a pas été oublié >. Le second hémistiche reprend ce nom (référence à l’antiquité grecque et à Plutarque : mort d’une vierge honorée depuis) et l’amplifie par le

d'égalité). "Tous nos camarades" souligne également que les deux hommes sont sur un pied d'égalité. Récit à visée informative pour le spectateur, insiste sur la situat° tragique. Évoque la tentat° du suicide → humour noir d'Iphi. (envie de mourir → euphémisme). c) Un début d'échange dans le discours Cynisme grandissant du valet "Hélas" est parodique, car Arl. renchérit sur ce que dit son maître. "Nous avons la même commodité" → certaine cynisme. Un maître désemparé Réplique longue (contraste avec le

jamais explicitée et cela grâce à des euphémismes qui désigne l’adultère tel que « j’ai des raisons de m’éloigner de la cour »Nous pourrions nous attendre à la présence d’un vocabulaire révélant un sentiment de culpabilité mais la princesse use du champ lexical de l’innocence et de l’héroïsme : « innocence » (l 2), « éviter les périls » (l 3), « nulle marque de faiblesse » (l 4) Elle insiste sur l’exemplarité de sa conduite. Je n’ai jamais… formule négative + euphémisme pour désigner adultère et non le

attendue et la puanteur trouvée au v. 15 → champ lexical de la puanteur + euphémisme v. 19, le lion tue l'ours b) le singe ou courtisan trop hypocrite → champ lexical de l'excès + accumulation « et » + anaphore « Il n'était » v. 23 + son argument → antithèse « ambre », « ail », « fleur », et comparaisons des odeurs agréables à des odeurs nauséabonde en disant que c'est la même chose => même conséquence, même schéma de vers et euphémisme « punit », le singe est tué tout comme l'ours c) le renard ou la ruse

1). Soldats = coquins (l.5). II- Dénonciation de la guerre. 1) Remise en question de l’héroïsme. « boucherie héroïque » (l.8)  oxymore. « filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros » (l.14-15)  Euphémisme  viol = arme de guerre. Candide = anti-héros : il s’enfuit à chaque fois. 2) Une vision d’horreur. Nombres de mort approximatif  les Hommes ne comptent pas  perversité du pouvoir. « Criblé de coups » (l.13) « femmes égorgées » (l

fait ? » (27)tournures familières :Pour moi (25) ; même il m'est (28)Vocabulaire religieux : « offense » (27)Euphémisme « Force moutons »Le lion insiste sur l'innocence de ses victimes, ce qui donne un caractère sérieux à sa confession.Il emploie des tournures simples voire enfantines, c'est un naïf.Il glisse un semblant de religion.Il atténue toutefois ses crimes.38Croquer est un euphémisme pour dévorerC'est en outre une tournure familièreCroquer / Honneur = antithèseLe Renard atténue les crimes,

protecteur- « cette colère » = démonstratif, donne le ton de sa propre réplique- « reproche » (l9) = verbe utilisé tout au long de la tirade, rép, amour fraternel se traduit en culpabilité, passe du reproche au regret - « tu n’es pas encore... » (l10) = euphémisme cachée, évoque la mort, parenthèses pour évoquer une certitude - « mal » (l11) = Périphrase, désigne la cause du départ de LouisII- Faire tomber les masques- « Tu es là » (l12) = réf à situation d’énonciation- « tu m’accables » (l13,14), « tu nous