European synchrotron radiation facility

Solid State Ionics 159 (2003) 167 – 179 www.elsevier.com/locate/ssi Characterisation of the electrode–electrolyte BIMEVOX system for oxygen separation Part I. In situ synchrotron study C. Pirovano a,*, R.N. Vannier a, E. Capoen a, G. Nowogrocki a, J.C. Boivin a, G. Mairesse a, M. Anne b, E. Dooryhee b, P. Strobel b a ´ Laboratoire de Cristallochimie et Physicochimie du Solide, UMR 8012, ENS Chimie Lille, Universite des Sciences et Technologies de Lille, B.P. 108, 59652 Villeneuve d’Ascq Cedex

entreprise : Soleil Synchrotron Table des matières Introduction 2 Prise en main 4 CONCLUSION 7 Introduction T Présentation entreprise :Financé par deux principaux actionnaires : le CEA, le CNRS et plusieurs autres partenaires français : la région Ile de France, le département de l’Essonne, la Région Centre et l’État (Ministère de la recherche), SOLEIL a un statut privé de « Société Civile ».L’ESRF (European Synchrotron Radiation Facility), est l’autre

      2  Collaboration entre des chercheurs de l’Institut allemand Max Planck pour la recherche sur les colloïdes et les interfaces (MPIKG), de l'Institut viennois de physique des matériaux et du Synchrotron européen de Grenoble (ERSF, European Synchrotron Radiation Facility).   3  http://www.geopleinair.com/Equipement/Les-hautes-technologies-appliquees-au-ski-de-fond   4  http://www.glissenordic.com/faq_fr_65.html   dessous, les performances du 50

mondialisation, alors que l’UE manque cruellement de chercheurs par rapport à ces deux concurrents de la Triade. - Des grands organismes de recherche français et européens comme le CEA (Commissariat à l’Energie Atomique), European Molecular Biology Laboratory, European Synchrotron Radiation Facility, INP (l’école des ingénieurs de Grenoble. 2. Montrez que les pôles de technologie de Grenoble sont parfaitement intégrés à la mondialisation mais qu’ils doivent aussi faire face à des concurrences sur le plan international

Section des établissements Rapport d'évaluation du synchrotron SOLEIL août 2011 Rapport d'évaluation du synchrotron SOLEIL Le Président de l’AERES Section des établissements Le Directeur Michel Cormier Didier Houssin août 2011 2 Sommaire Présentation 5 I – De LURE à SOLEIL 6 II – SOLEIL : la source de lumière française 7 La gouvernance de SOLEIL 7 I – La société civile, ses organes et les comités consultatifs qui la conseillent 7

Salon des Energies renouvelables (tous les 2 ans à Lyon, 150 exposants et 20 000 visiteurs en 2007) Salon ENEO : énergies, confort climatique et services de demain Pollunove HSQE (Lyon) : convention d’affaires de la protection de l’environnement European Hydrogen Energy Conference (tous les 2 ans – à Grenoble en 2007) : débats sur les rôles futurs de l’énergie de l’hydrogène Salon international Industrie (Lyon – Eurexpo) : le rendez-vous des professionnels de l’équipement et de la fabrication industriels

l’Université Joseph Fourier, voit le jour. Biologistes, chimistes et phy siciens s’y côtoient et collaborent étroitement les uns avec les autres. • L’ESRF (european synchrotron radiation facility ou installation européenne de rayonnement synchrotron), installé à Grenoble, est ouvert aux 1 ers utilisateurs en 1994. Un synchrotron permet de sonder la matière à l’échelle des molécules et de s atomes par les rayons X. Avec la source de neutrons de l’Institut Laue-Langevin donnant des informations

soit le rayonnement synchrotron. Dans une source classique, une cible de métal pur (anticathode) est soumise à un bombardement d’électrons accélérés à une énergie suffisante ; le spectre d’émission associé présente des raies caractéristiques du métal qui la compose. Deux systèmes sont utilisés : le tube scellé et l’anticathode tournante. Ils impliquent un travail en lumière monochromatique et présentent des limitations en puissance. Avec le développement du rayonnement synchrotron, les sources classiques

infrastructures britanniques de classe mondiale telles le Central Laser Facility (ISIS) et le High-End Computing Terascale Resource (HECToR). Il est un actionnaire principal dans le synchrotron Diamond, et facilite l’accès à des infrastructures de renommée mondiale en dehors du Royaume-Uni, telles, entre autres, le CERN, l’European Space Agency (ESA), l’European Southern Observatory (ESO), l’European Synchrotron Radiation Facility (ESRF), l’Institut Laue-Langevin (ILL) et les téléscopes du Chili, d’Hawaï

d’évaluation en cours) − INRIA Saclay Ile-de France − IHES − Université Paris-Sud 11 − Supélec et Instituts Centrale Paris-Supélec (projet) − CNRS / Campus de Gif sur Yvette et nombreux laboratoires propres ou mixtes avec d’autres établissements − Synchrotron Soleil − CEA − HEC − INRA D’importants laboratoires privés sont également présents (Thalès, Danone). 5/55 Au total on peut estimer que sont rassemblés plus de 30 000 étudiants, chercheurs et salariés, dont plus de la moitié de chercheurs