Eustache Deschamps

de Hara-Kiri. Il n’est pas le seul. Dès 1971, Stanley Kubrick n’avait pas hésité à nimber la violence de ses personnages de symboles sexuels. Dans Le Dernier Tango à Paris, en 1972, Maria Schneider avait passé le beurre à Marlon Brando… Jean Eustache, dans La Maman et la Putain, avait célébré le ménage à trois par des dialogues d’une rare crudité. Et Marco Ferreri, dans La Grande Bouffe, pousse ses quatre héros à se suicider dans une orgie pantagruélique, où se mêlent boulimie et nymphomanie

Winchester, puis cardinal, 359, 391, 435, 446, 447, 514 ; II, 60, 62 ; — Jeanne, mère d’Henri VII, 637 ; — Thomas, duc d’Exeter, 446 ; II, 65. Beaujeu (Pierre de Bourbon, sire de), II, 53, 56-58, 90. Beaujolais, 21, 449 ; II, 53, 145. Beaumarchais (Eustache de), 168. Beaune (Côte-d’Or), 541, 556 ; — (Parlement de), II, 44. Beauneveu (André), sculpteur, 295, 547, 553, 554. Beauvais, 290, 443, 544 ; II, 41. Beauvaisis, 143, 246. Beauvoir (Simon de), archevêque de Bourges, 42. Beccadelli (Antoine)

Flaubert a treize ans. 1835 Flaubert commence à s’« occuper mentalement » de Frédégonde et Brunehaut. Il rédige le numéro 2 d’Art et Progrès, Les Soirées d’étude, journal littéraire, rédacteur G. Flaubert. Flaubert a été en voyage à Caudebec avec Eustache-Hyacinthe Langlois et Alexandre Bourlet de la Vallée. Il voit beaucoup de spectacles : comique, opéra, vaudeville, et lit Jeanne de Flandre de Victor Herbin, ainsi qu’Antony d’Alexandre Dumas. Il commence à rédiger Frédégonde et Brunehaut : « Tu

ceux de Joinville retraçant la vie de saint Louis, ont aussi un but moral et idéalisent quelque peu les faits relatés. Ensuite la guerre de Cent Ans (1337–1453) est racontée par Jean Froissart (1337– 1410 ?) dans deux livres appelés Chroniques. Eustache Deschamps, le poète, témoigne de la société et des mentalités pendant la guerre de Cent Ans. Après la guerre de Cent Ans, le poète François Villon (1431–1463?) traduit le trouble et la violence de cette époque. Orphelin d'origine noble et bon étudiant

ceux de Joinville retraçant la vie de saint Louis, ont aussi un but moral et idéalisent quelque peu les faits relatés. Ensuite la guerre de Cent Ans (1337–1453) est racontée par Jean Froissart (1337– 1410 ?) dans deux livres appelés Chroniques. Eustache Deschamps, le poète, témoigne de la société et des mentalités pendant la guerre de Cent Ans. Après la guerre de Cent Ans, le poète François Villon (1431–1463?) traduit le trouble et la violence de cette époque. Orphelin d'origine noble et bon étudiant

l’ancienne grande nation, condamnée à l’anéantissement. Il souligne, non sans raison, que le chant du déclin ne date pad d’hier, ce qui en amoindrit singulièrement la crédibilité. Vers 1350 déjà rappelle-t-il, dans ses « Lamentations de France » Eustache Deschamps pleurait la vaillance et l’honneur perdus de son pays, objet de dérision… « Le débat sur la puissance française, écrit P. Boniface, pour paraître d’une brûlante actualité, a en fait presque 650 ans d’âge ». En effet, les poncifs sont nombreux

historical terms, his major achievement was to establish a hierarchy of fixed verse forms which connect him with the vigorous poetic activity of the fifteenth century. Machaut was much admired by Eustache Deschamps (1346–1407) who called him a poète, a term hitherto reserved exclusively for Latin versifiers. Deschamps wrote not only of love but of more mundane matters (he left a ballade on baldness) which comment on daily life and satirize courtiers and social groups. Although an unexciting versifier, he

les gradins, et avait pour objet d'empêcher les bêtes féroces de se jeter sur les spectateurs. Eurythmie : (eu-ri-tmie), n. f. Rapport harmonieux des proportions, des lignes ou du mouvement d’un ouvrage d’architecture, de peinture ou de musique. Eustache : (eu-sta-ch'), n. m. Petit couteau grossier, à manche de bois. Évagation : (é-va-ga-sion ; en vers, de cinq syllabes), n. f. Terme ascétique. Disposition qui fait que l'esprit se détache de l'objet auquel il devrait se fixer. Évanide : (é-va-ni-d')