Evaluation Controle Interne De La Procedure De Tresorerie

2005-2006 / Outils de Gestion II / BG 1 Aujourd’hui • Audit • Risk Management • L’approche process • Conclusion IEP 2005-2006 / Outils de Gestion II / BG 2 Audit financier : le contexte • Audit : les interprétations possibles – Audit interne vs audit externe – Audit légal vs audit contractuel – Audit vs expertise • Les domaines et missions d’audit – Audit, Examen limité, Présentation – Autres : certification « Webtrust », lettres de confort, etc.. IEP 2005-2006 / Outils de Gestion

Trésorerie Générale du Royaume “Contrôle de gestion et tableau de bord” SOMMAIRE SEQUENCE 1 : LE CONTROLE DE GESTION : FONDEMENT DE BASE 1- CONTROLE DE GESTION ? 2- LES OBJECTIFS DU CONTROLE DE GESTION SEQUENCE 2 : L’ORGANISATION DU CONTROLE DE GESTION ET LE CONTROLEUR DE GESTION 3- LA PLACE DU CONTROLE DE GESTION DANS L’ORGANISATION. 4- L'ORGANISATION DU CONTROLE DE GESTION : 5- LA METHODOLOGIE DU CONTROLE DE GESTION 6- PRINCIPAUX OUTILS DU CONTROLE DE GESTION 7- LE CONTROLEUR DE GESTION

La mise en place d’un service Audit interne au sein de la Société des Brasseries 1 Table des matières LISTE DES ABREVIATIONS ...............................................................................................................4 PREAMBULE : SBM EN BREF ............................................................................................................5 INTRODUCTION GENERALE .....................................................................................................

PROFIL DE COURS CONTRÔLE DES COÛTS DE PROJET ET COMPTABILITÉ CONTRÔLE DES COÛTS DE PROJET ET COMPTABILITÉ Durée proposée : 60 heures VUE D’ENSEMBLE Ce cours est conçu pour fournir aux participants une formation générale en matière de processus d'évaluation, d'enregistrement et de récapitulation des activités financières dans le cadre de l'exécution de projets de construction. Après avoir reçu cette formation générale, les participants apprendront à tenir des dossiers et à s’acquitter de

| |[pic] | |Evaluation des actifs immatériels  | |ZOUHRI Boutaïna 

statistique ». Article 13 : Les très petites entreprises, dont les recettes annuelles ne sont pas supérieures au seuil fixé, sont assujetties, sauf utilisation de l’un des deux systèmes prévus à l’article précédent, à un « Système minimal de trésorerie », de caractère dérogatoire aux dispositions du présent Acte Uniforme. Ces seuils sont les suivants : - trente (30) millions de F CFA pour les entreprises de négoce ; - vingt (20) millions de F CFA pour les entreprises artisanales

coureries, ainsi qu’elle joue un rôle d’intermédiaire entre la société et ses clients. En plus de ces missions, la secrétaire s’occupe de la saisie sur ordinateur, l’élaboration des documents nécessaires et leurs impressions, ainsi qu’il s’occupe du contrôle des entrées et des sorties d’espèce. 4. Service achat et logistique : Ce service s’occupe de la saisie manuel de tous les factures d’achat avant de les imputées sur le système (traçabilité). A chaque fournisseurs on est obliger

Chapitre I – Définition et objectifs de l’audit La plupart des personnes confondent la notion d’audit avec celle de contrôle interne. Pour cela, nous avons trouvé nécessaire de définir ces 2 notions. A- « L’audit recouvre un concept assez large.il consiste, d’une manière générale, en un examen mené par un observateur professionnel, portant sur des informations, expression d’une opinion responsable et indépendante, par référence à des critères de qualité spécifiques à cette activité ».

ISTITUT SUPERIEUR DE COMMERCE ET D’ADMINISTRATION DES ENTREPRISES MEMOIRE POUR L’OBTENTION DU DIPLOME D’EXPERTISE COMPTABLE LE MANUEL D’ORGANISATION COMPTABLE OUTIL DE GESTION ET DE CONTRÔLE : ROLE DE L’EXPERT COMPTABLE DANS SA CONCEPTION ET SA MISE EN PLACE SEDEGUI BACHIR MAI 2004 REMERCIEMENTS ET DEDICACE Je dédie ce memoire à ma petite et grande famille ainsi qu’à toute personne ayant contribué à ma formation et à mon epanouissement intelectuel et je remercie M Kharbouch Abdelahak

l' ERM dans la gestion 2-1/ L’exigence d’un système d' information de gestion des risques fonctionnant sur trois piliers 2-2/ L’exigence d’extension de la contrainte des trois piliers aux corporates et PME 2-3/ L’exigence d’un système d’assurance interne articulant maîtrise du risque de contrepartie et maîtrise du risque opérationnel 2-4/ L’exigence de conformité de la gestion du risque à la comptabilité de gestion 2-5/ Les exigences convergentes/divergentes de l’IAS-IFRS et de l’US GAAP II- Antériorité