Ex ante

lorsque des agents s’échangent des biens ou des services - dans une firme : lorsqu’un bien ou un service est transféré à travers une « interface technologiquement séparable » (Williamson) → Etude du mode d’organisation des transactions Contrats - ex ante vs. ex post : à l’écriture du contrat vs. après l’exécution de l’activité économique conjointe - alter ego de la transaction, des droits de propriété → L’activité économique pensée comme des contrats entre individus : « théories des contrats » • La production

capital (K/Y) supposé stable car les facteurs de production ne sont pas substituables. C'est l'investissement désiré, ou encore investissement requis ex ante par la variation prévue de la demande effective.. S : S = s.Y avec 0 < s < 1. Il s'agit de l'épargne ou encore de l'investissement réalisé, ou investissement ex post. L'investissement ex ante et ex post peuvent différer si l'investissement est trop important par rapport à la demande qui va se manifester. A l’équilibre, on doit avoir l’égalité

l’économiste anglais John Maynard KEYNES deux types de besoins : - les besoins primaires ou physiologiques ou absolus. Ils sont nécessaires car leur non satisfaction entraîne la mort de l’individu. Ils sont éprouvés par l’homme quelle que soit sa situation. Ex : boire, manger, se loger, se vêtir…Ces besoins absolus sont limités. - les besoins secondaires ou relatifs. Ils ne sont pas nécessaires, mais ils sont éprouvés par les hommes. Ils découlent de leur vie en société et sont stimulés par la publicité

lié à une transaction économique réalisée sur un marché. Les coûts de transaction ont deux origines : ex ante et ex post. * Les coûts de transaction ex ante qui correspondent à tous les frais et toutes les activités amont précédant la signature des contrats. Plus les marchandises sont standardisées à faible contenu informationnel plus ces coûts seront faibles. * Les coûts de transaction ex post qui correspondent à aux coûts d'administration de surveillance et de contrôle mis en place pour

l’agence repose sur deux hypothèses comportementales, à savoir : * La sélection adverse (ex ante), un des cocontractants peut disposer de certaines informations que les autres n’ont pas et choisira de les cachés avant de signer le contrat. On parlera dans ce sens d’asymétrie d’information dont les effets serviront pour tirer profit de l’incomplétude des contrats. * Le hasard moral (ex post), relatif au caractère opportuniste des acteurs, chacun des individus cherche à maximiser son

coûts de transaction (ou de contractualisation): - coûts ex ante : au moment de la signature du contrat (1) collecte de l’information complète et recensement des états de la nature à venir (ex : récolte), (2) rédaction du contrat prenant en compte toutes les contingences (ex : jeu d’échecs...). - coûts ex post : après la signature, pour faire assurer l’exécution par une tierce partie (1) marchandage si renégociation pour corriger des divergences ex post (2) frais de recours en cas de conflit (3) coûts

spécificité des actifs et tente de réduire les coûts engendrés par la rationalité et l’opportunisme Selon Williamson, les couts de transactions sont de deux types: * Les coûts Ex Ante * Coûts de recherche de l'information * Coûts de négociation des contrats * Coûts de conclusion des contrats * Les coûts Ex Post * Coût de surveillance et de déroulement du contrat * Coûts de mise en œuvre et du fonctionnement du contrat Dans un cadre d’analyse, Williamson a développé les

les finances publiques. Dans un deuxième temps, nous évaluerons l’impact sur l’emploi et les finances publiques de cette réforme pour les années à venir. Quel bilan peut-on tirer de la défiscalisation des heures supplémentaires ? a) Quel coût ex ante sur les finances publiques ? En 2011, selon l’ACOSS, le nombre d’heures supplémentaires exonérées au titre de la loi TEPA s’est élevé à 739 millions. Plus de la moitié de ces heures ont été réalisées dans les entreprises de plus de 20 salariés (57

les définit comme les coûts de fonctionnement du système économique. Ce sont les coûts de contractualisation des échanges et ils se décomposent en coûts ex ante et en coûts ex post. Coûts de transaction ex ante : coûts associés à la recherche d’un partenaire, à la négociation, à la rédaction et à la garantie d’un accord. Coûts de contractualisation ex post : coûts induits par une mauvaise adaptation des contrats aux circonstances dans lesquelles ils évoluent, les coûts de renégociation et de contrôle

différentes procédures qui pourrais etre applicable a chacune des situations . - Le problème posé par l'évaluation ex ante ou ex post. On entend par évaluation ex ante , la mesure des coûts de transaction qu'imposerait le système juridique au opérations commerciales, et par évaluation ex post l'etude des effets réels du droit . Or dans les rapports le mode d'évaluation est ex ante , ce qui signifie que l'on ne s'interresse que tres peu aux conditions réelles de mise en oeuvre du droit mais surtout