Exception culturelle

2 millions de touristes en 2001), devancé par la Tunisie (5,3 millions de touristes en 2001) et l’Egypte (4,3 millions de touristes). Le pays bénéficie pourtant de fortes potentialités : - un long littoral aux paysages diversifiés , un patrimoine culturel riche , des milieux naturels et humains très contrastés , malgré cela le " produit Maroc" éprouve de réelles difficultés à se positionner sur les marchés internationaux .La courbe de fréquentation touristique du pays le confirme clairement : 1,2

de la famille. Acquis de première : groupe d’appartenance, groupe de référence, socialisation anticipatrice, capital social NOTIONS: Mobilité intergénérationnelle / intragénérationnelle, mobilité observée, fluidité sociale, déclassement, capital culturel, paradoxe d’Anderson 1° VIDEO DÉFINITIONS DES MOBILITÉS ET FLUIDITÉ SOCIALES VIDEOS DU COURS 2° VIDEO LECTURE DES TABLES DE MOBILITÉ 3° VIDEO EXPLICATION DU MANQUE DE FLUIDITÉ D a ns nos s oci é t és d é mo cr a t iq ue s , qu e lle qu e s

de 250.000 visiteurs par année - Plusieurs sites naturels (rivières, lacs,…) dont certains situés sur le territoire du Parc National de la Guadeloupe - Une multitude d’espèces de la faune et de la flore Patrimoine culturel et historique -Développement de manifestations culturelles - Evénements forts : la fête des maraîchers, la marche sur les pas de Delgrès, la commémoration des éruptions de la Soufrière, les journées du patrimoine Patrimoine architectural : -Nombreuses maisons coloniales dont

types (=> critique trop large). Ils réifient la culture (ils la rendent plus réelle qu’elle ne l’est). Approches fonctionnaliste et structuraliste Malinowski va critiquer l’Evolutionnisme et le Diffusionnisme. Il pense qu’il faut étudier le trait culturel dans son contexte. « La culture est une totalité organique dont les divers éléments sont interconnectés ; chaque élément s’ajuste à tous les autres, à sa place, et joue un rôle dans un ensemble signifiant ». C’est une définition qui condense la pensée

troisième interlocuteur géopolitique après les États-Unis et l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS).                 La Chine entre 1949 et 1979 est secouée par des crises intérieures graves (Cent fleurs, Grand bond en avant, Révolution culturelle prolétarienne) dont les noms poétiques ne doivent pas faire oublier qu’elles firent des centaines de milliers de victimes voire, pour certaines, des dizaines de millions. Comme dans tous les pays communistes du second XXe siècle, la direction de

autre) culturelle La domination occidentale et la mondialisation : puissance militaire et économique, recherche du profit, droits de l’homme. 2) Mais c’est réduire la valeur aux seules valeurs qui sont celles de l’Occident : profit, confort, bonheur matériel, égalité des hommes et rationalité. Toutefois tout ethnocentrisme opère une telle discrimination. 3) Mais c’est aussi confondre domination et valeur, réduire celle-ci à celle-là. II. Qu’est-ce qui justifie alors le relativisme culturel ? 1) Le

Zedong, dont le prestige a été entamé par le fiasco du Grand Bond. 2. Le désastre de la Révolution culturelle Pour affirmer une « voie chinoise » dans l’édification du socialisme, mais aussi et surtout pour stopper la montée en puissance de la ligne pragmatique incarnée par Liu Shaoqi, Mao Zedong lance la jeunesse contre les intellectuels et les fonctionnaires du Parti en mai 1966 : la Révolution culturelle représente ainsi une projection dramatique sur l'ensemble de la société des luttes internes au

transmission du patrimoine qui fait la personne. L’éducation des jeunes générations va permettre d’instaurer les différents habitus de la haute société ; cette éducation par exemple passe par la connaissance de l’histoire de la famille, un fort capital culturel. L’auteur donne pour exemple d’habitus le faite qu’il soit normal pour le jeune bourgeois de vivre dans le luxe (grandes maisons, de grosses voiture, un château) et donc de se sentir supérieur aux autres. Chez la bourgeoisie l’école est la deuxième

L’Histoire nous montre que depuis la préhistoire et cela de manière continu, les mouvements migratoires ont bercé les civilisations, à tel point qu’il n’existe pas une véritable uniformité culturelle. Le berceau méditerranéen en est l’exemple type. Et même au-delà de la diversité au sens culturelle amené par les différents flux migratoires, la diversité existe au même de l’espèce humaine. En effet, qu’il s’agisse des différences sexuelles ou même physiques (en référence au handicap), l’homme

que la famille apporte un capital culturel, économique et social qui influence l'enfant. 1) le capital culturel : Certaines normes ou valeurs sociales favorisent la scolarité alors que d'autres s'y opposent. Plus le niveau culturel des parents est faible, plus certaines valeurs essentielles pour aider la scolarisation sont délaissées. Ainsi les enfants d'ouvriers passent plus de temps à regarder la télévision qu'à pratiquer une activité sportive ou culturelle qui serait un " plus " pour la scolarité