Exemple D Ironie

paysannes. L’histoire commence in medias res. Par la phrase : « Il avait connu des jours meilleurs, malgré sa misère et son infirmité ; une phrase courte, concise, presque lapidaire, le lecteur est plongé en pleine crise. Ici, il s’agit d’une ironie amère du narrateur. Au début de la nouvelle, le lecteur apprend par trois rétrospections, qui ne sont pas chronologiques, le passé du Gueux. Maupassant commence par l’accident fatal qui a provoqué son infirmité. Ensuite, le lecteur apprend que le

«  homme  d’honneur   {L. 1, 14} à L’idéal de l’honnête homme du XVIIème siècle ici représenté par Philinte est en contradiction avec celui d’Alceste, dont ses périphrases le critique {L. 8 à 11}       b) La critique des « gens à la mode » . Exemples :              ­ Vos gens à la mode {L. 8}              ­ Tous ces gens faiseurs de protestation {L.10}              ­ Ces affables donneurs d’embrassades frivoles {L. 11}               ­ Ces obligeants diseurs d’inutiles paroles {L. 12} Péjoratif

| Figures de style | Définitions | Exemples |       SUBSTITUTION | La métonymie | On représente un objet par un autre, le contenu par le contenant. | Boire une verre = boire son contenu | La synecdoque | On désigne un objet par une partie de l'objet. | Les voiles au loin… (V.Hugo) | La périphrase | On remplace un mot par une phrase. | La capitale de la France = Paris. | L'antiphrase(ironie) | On dit le contraire de ce qu'on veut faire

à la fois « démuni », « sans ressources », et : « pris par surprise ». Et, avec la mention de la « bise », une autre musique, celle du vent, se substitue brutalement au chant révolu de la cigale. (L’on peut noter à ce propos –remarque à faire par exemple lors de la reprise au cours de l’entretien- que le vent ouvre ici le livre I des Fables, avec donc la bise glacée qui interrompt soudain le chant de la cigale, et le referme à la 22e et dernière fable, « Le chêne et le roseau », où l’aquilon vengeur

Fantine en plein désarroi, exprimée au style direct: « Cent francs…..cent sous par jour ? ». ❖ Sa dernière exclamation « Allons vendons le reste » est proférée à haute voix ; à la fois périphrase et euphémisme cette expression est d'une ironie désespérée : « le reste », c'est-à-dire la seule chose qui lui reste, c'est son corps; la première personne du pluriel « vendons », si elle correspond à un usage de la conversation familière implique aussi, d'une certaine manière, le lecteur.

de ce texte, les arguments utilisés pourraient nous fais croire que l'auteur est pour la colonisation. Pourtant, cette première phrase qui est au conditionnel nous prouve le contraire. Ensuite, grâce à de nombreux procédés ce dernier dénonce avec ironie et absurdité l'exploitation des Africains par les Européens. Les figures de styles utilisées sont principalement les hyperboles et les antiphrases. A. L'économie et le comportement 1. Les arguments économiques • Par la suite, le second argument

I. LES FIGURES DE COMPARAISON Leur dire de prendre leur cours et les feuilles avec les exemples (ils pourront utiliser les feuilles d’exercices pour réviser). Pour préciser une idée, on va la rapprocher avec une autre idée, pour créer une image. Réveiller une idée principale par le moyen d’une idée accessoire. On va donc associer deux idées pour délivrer une signification plus forte. 1.1. La comparaison Au moyen d’un terme comparatif, l’auteur établit une similitude / un rapport de ressemblance

excellence. Tout d'abord par son langage familier, elle emploie des mots ou expressions qui font rire, comme "forte en gueule" (v14) ou bien " quel caquet est le vôtre"(v821). Elle est également amusante par son ironie et sa clairvoyance. Sans pitié, elle se moque d'Orgon, quand par exemple elle répète "le pauvre homme" (v1657), mots qu'avait prononcé Orgon à l'acte I, scène 4. Bien qu'elles soient toujours comiques, ses répliques sont cependant pleines de bon sens. . Elle a très vite percé l'hypocrisie

monde • Plusieurs "nous" dans le texte + le mot "tous" (L 2 et 17) -> genéralisation -> on s'adresse tout le monde . II) Stratégie de Montaigne • exemple des vignes (L7-9) : parle de nourriture -> concerne tous les H. : cependant on passe d'une situation locale (banale) -> situation universelle (conclusions du prêtre) -> humour, ironie, absurdité des propos du prêtre dénués de raison car Cannibales

démystification. On observe dans Don Juan, Dom Juan qui s'emploie à démystifier, pouvoir, prière par ironie en manipulant Pierrot, le paysan. Dom Juan se montre arrogant et méprisant envers Pierrot et lui tiens des propos aux sous-entendus malsains. Nous nous apercevons que dans la séduction au théâtre, il arrive couramment que le séducteur sois séduit, en d'autres termes « le piégeur piégé ». On voit par exemple Dom Juan qui détourne le code de l'amour courtois, en se posant comme victime du charmé féminin