Exemple De Quiproquo

GESTION DES RISQUES ET QUIPROQUOS Mathias Szpirglas Lavoisier | Revue française de gestion 2006/2 - no 161 pages 67 à 88 ISSN 0338-4551 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-francaise-de-gestion-2006-2-page-67.htm -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Pour citer

1. Sur quel quiproquo repose chacune de ces scènes ? Analysez le fonctionnement de ce quiproquo. Dans les oeuvres de ce corpus, le quiproquo ne nous apparaît pas comme un simple procédé tel qu’on le trouve par exemple dans la farce ; il nous semble vecteur de sens, et même de façon assez complexe : dans chaque cas nous pensons qu’il apparaît à deux niveaux. L’extrait d’Amphitryon de Molière (texte A) nous fournit d’abord le niveau le plus élémentaire du quiproquo : Alcmène prend Jupiter pour

Commentaire Litteraire : L ecole des femmes P.40 : ACTE II Scène V De : «  Marriez-moi donc promptement, je vous prie » à « allez, obéissez. » -Vous rédigerez un axe de commentaire en montrant comment le quiproquo est révélateur du caractère des personnages. 1) Mise en place d’un quiproquo. 2) Une jeune fille naïve et soumise mais amoureuse. 3) Arnolphe : un personnage autoritaire. Molière célèbre auteur dramatique et comédien du 17ième siècle, il est le maître de

que cette scène relève du comique de situation ? • scène de théâtre dans le théâtre[1] : l’aveu se fait sous le couvert du jeu. Angélique et Cléante prennent les rôles de Philis et Tircis et improvisent un air d’opéra. • le quiproquo[2] : il s’agit également d’un quiproquo car le but des 2 amants est de tromper Argan, le père d’Angélique, qui croit assister à une scène d’opéra écrite. • les 2 amants usent du double langage, grâce à leurs fausses identités : v. 16 « Oui, Tircis, je vous aime » :

absence de pouvoir va par la suite le mener à sa perte. L’extrait présenté est un dialogue entre Britannicus et son confident Narcisse. Britannicus ignore cependant que Narcisse est à la solde de son rival Néron. La Scène repose donc sur le thème du quiproquo. La scène aborde également les aspects de la confiance, de l’amitié impossible et du pathétique. La confiance attribuée à Britannicus est ici présente d’une part dans son importance due au contexte et d’autre part dans la confiance bafouée de Narcisse

logique vers l’absurde. 2) LES SUPRISES DU LANGAGE:  Le jeu sur les niveaux de langage Le registre comique peut susciter le sourire ou le rire lorsque le niveau de langage utilisé est en décalage par rapport à la situation. C’est le cas, par exemple, lorsque des personnages ordinaires s’expriment dans un langage soutenu ou au contraire, lorsque des personnages héroïques adoptent un vocabulaire familier.  Le jeu sur les mots Le jeu sur le double sens : il permet d’effectuer un glissement

Molière a souvent recours au «  gros rire », celui de la farce, les coups de bâtons, les guignols, les déguisements, les soufflets, les pirouettes, le langage vigoureux, voire grossier, les valets sont haut en couleur. Molière a souvent recours aux quiproquos, au comique de répétition, aux gesticulations     Mais si Molière fait rire il n’en demeure pas moins que certaines de ses pièces sont grinçantes et que, comme le disait Musset à la sortie du Misanthrope : «  quelle mâle gaieté, si triste et si

Proposition de plan : Introduction I. Invraisemblance et facilités pour l’intrigue mais efficacité théâtrale A. Le quiproquo, une facilité théâtrale B. Un outil dramatique universellement utilisé II. Intérêt psychologique et sociologique A. Faire connaître les personnages B. Dénoncer défauts et vices C. Analyser les passions III. Moyen d’insister sur la signification générale de l’oeuvre A. Au service des enjeux sociaux B. Au service de l’ironie tragique C. Le dénouement et l’accès au

formes comiques présentes dans cette pièce. Il y a tout d’abord : le Comique de geste c’est l’effet produit par l’interprétation (par exemple : mimiques, grimaces, vêtements, accessoires). Le comique de situation qui est produit par la situation d’un personnage dans l’histoire qui est racontée (surprises, rebondissements, coïncidences, retournements, quiproquos, etc.).Le comique de mots c’est l’effet comique produit par les paroles (jeux de mots, niveaux de langue, répétitions, etc.).Le comique

mon père, de suivre aveuglément toute vos volontés » · L11 Toinette créé des connivences avec le lecteur qui rend le récit plus plaisent · Elle fait des apartés pour montrer son mépris pour la belle-mère. « La bonne bête a ses raisons »· L17 Le quiproquo sur l’identité de la personne désigner comme marie pour angélique se dévoile peu a peu.· Argan parle a Angélique de son futur marie avec des désignation ambiguë, « ont, la personne, ils, grand jeune homme » puis les nom apparaisse : « le latin et