Exemple Df2

converge donc). De plus ln(n+1) = 1 + ln(1+1/n) = e ln(n) ln(n) 1 + o(1/n) donne yn+1 = yn 1+ 1 n −1 1+o 1 n −2 =1− 1 +o n 1 n On peut ainsi ˆtre dans le cas λ = 1 avec convergence ou divergence de la s´rie (on a bien un e e contre-exemple puisque les s´ries propos´es sont ` termes > 0). e e a Partie B. 1. On a wn+1 √ = n sin wn 1 √ n =1− 1 +o 6n 1 n 1 6 Comme (wn ) est ` terme strictement positifs, on est dans le cas pr´c´dent avec λ = a e e (wn ) diverge. < 1 et 2 1

progresser sa composition. Une phrase de transition annonçant le menu de la partie suivante est bien souvent nécessaire entre les grandes parties de la composition pour aider à la lecture de votre devoir. Le développement peut ( doit en géographie par exemple) être illustré par des productions visuelles ( graphique,organigramme,schéma ou croquis simplifiés,carte mentale ) qui valorisent une composition et sont valorisées par la correction. la conclusion Elle répond à la problématique que vous avez

qu'on appelle constante multiplicative, ce sont les réels qui sont liés aux x. Par exemple dans le 7 et le 8 sont des constantes multiplicatives, car elles sont liées à des x, tandis que le 5 est une constante tout court, il n'y a pas de x avec lui. Alors comment fait-on ? Là aussi c'est très simple, dans la dérivée tu réécris la constante multiplicative et tu dérives tranquillement le reste. Exemple : la dérivée de x5 est 5x4, on a donc Comme tu le vois, on a réécris

il faut se faire une raison ! Je suis une (en 2 mots) autre exemple : même consigne sachant exemples : compléter les cases avec ? sachant que r=2 que r=-0,1 ..... un−1 un u1 u2 u0 donné par = = = ..... un u1 u2 un+1 l’énoncé -1+2 1+2=3 un−1 +2 donné = = égal à -1 =1 égal à 1 1−0,1 un −0,1 =0,9 7. Et si pour changer au lieu d’ajouter, on multipliait toujours par GEOMETRIQUE le même nombre q (non nul bien sûr) pour passer d’un terme exemple : q=- 1 au suivant ! Je deviendrais 2 u1 un un+1 u0 donné =

inconnu. (Exemple : x+1=0) Comment résoudre une equation simple? Il suffit d'isoler l'inconnu avec des regles simples.. Les additions d'abord! (Exemple : 2x+3=0 on enleve le 3 avant la multiplication) On doit toujours égaliser les deux cotés, si j'ajoute trois d'un coté, j'ajoute trois de l'autre. Pour isoler x, je dois par exemple suprimmer le trois, et ensuite le "2" Donc 2x+3=0 2x+3-3 = 0-3 2x=-3 2x/2=-2/3 x= - 3-2 C'est tout simple! Un autre exemple : 7x-52

d´montre-t-elle que le P`re No¨l e e e existe ? Les connecteurs ob´issent ` toute une batterie de r`gles e a e logiques, parmi lesquelles nous retenons : La validation d’une assertion n´cessite soit une e d´monstration (cas V), soit un contre-exemple (F). Selon son e importance, l’assertion porte le nom de th´or`me, propoe e D´f 1.5. – La contradiction : P et (non P) est toujours e sition (jug´e moins importante), corollaire (cons´quence e e FAUSSE ; imm´diate d’une assertion d´j` d´montr´e),

contre-exemple 5. Le raisonnement déductif (cause-effet) 6. Le fait 7. L'analogie 8. La réfutation (la contre-argumentation) 9. L'accumulation 10. La description La définition La définition consiste à décrire une chose, une idée, un concept. Cela permet à l’auteur du texte de mieux informer le lecteur et de conférer de la crédibilité à ses propos. L'auteur pourrait aussi donner une définition qui correspond à ses valeurs, en utilisant des marqueurs de modalité par exemple. Il

converge vers l et f est continue en l alors on démontre Exercice 5 : Reprendre les suites des exercices 1, 2 et 3 et étudier la convergence de ces suites. Quelques remarques utiles pour bâtir des contre-exemples Pour prouver qu’une proposition est fausse on est souvent amener à donner un contre-exemple en particulier lorsque la proposition se rapporte aux suites. Bien connaître certaines suites simples peut aider…  Des suites monotones convergentes : ; ; pour chacune de ces suites préciser le sens

l'intérêt à la pièce car le bon jeu de celui-ci permet de retenir l'attention du spectateur, il va donc suivre et s'intéresser à l'histoire de la pièce. De plus, le fait que le spectateur s'intéresse à la pièce favorise la compréhension de celle-ci. Par exemple dans l'acte I scène 3 de « Cyrano de Bergerac » d'Edmond Rostand, le public est inséré dans la pièce, on n'y découvre un bourgeois, un bret, des pages et des spectateurs attendant la représentation de la pièce. Leur attitudes et leurs réactions sont

n’est pas le cas. Une des méthodes les plus simples de vérifier un résultat est de refaire la démarche logique qui mène au résultat encore une fois. Ce faisant en réfléchissant à chaque étape si elle est logique et si on a bien exécuté l’étape. Par exemple en mathématiques il faut se demander si on a utilisé la bonne opération et si on l’a exécuté de manière correcte. Comme si on cherche l’opération qui égalise l’élévation au carre. Il faut 1 Sebastian Golze réfléchir si la racine carrée est