Exemple Rapport D Activités

rapportent. Dans l'ensemble, peu de gens se questionnent sur ce qu'est le loisir de façon fondamentale. Il y a une sorte de consensus, de légitimité donnée à ce dernier. Pour les acteurs sociaux, un loisir signifie une chose un lieu, un temps, des activités, etc. Afin d'analyser ces concepts, nous devrons faire appel au concept des significations sociales; c'est-à-dire regarder ce processus général par lequel on donne une interprétation plus ou moins uniforme à tout phénomène social, dont le loisir

conformité afin de répondre à leurs obligations. Les organes de gouvernance et l’équipe de direction doivent notamment mettre en place des organisations et définir des processus leur permettant d’atteindre leurs objectifs opérationnels, comme par exemple ceux consistant à délivrer la meilleure qualité et les meilleurs prix à leurs clients, tout en donnant satisfaction à leurs actionnaires et en démontrant aux législateurs la bonne conformité leur entreprise aux lois et aux réglementations en vigueur

La stratégie enfin détermine le niveau des moyens à mettre en œuvre pour atteindre les objectifs définis La décision stratégique repose sur deux piliers : L’analyse de l’environnement : l’entreprise se positionne dans un marché concurrentiel par rapport à ses concurrents directs et en fonction de l’état du marché (environnement technologique, concurrentiel, social, culturel…) ; La connaissance des capacités propres de l’entreprise qui déterminent le champ d’action stratégique possible puisque celui-ci

mondiale, en générant toutefois de fortes disparités économiques sur le plan géographique. En effet, en moins de cinquante ans, les écarts de revenus au niveau de la planète ont quasiment triplé : il était de 1 à 30 au début des années soixante, le rapport entre les 20% les plus pauvres et les 20% les plus riches est passé aujourd’hui de 1 à 80. Depuis toujours l'indicateur le plus utilisé, notamment par la Banque mondiale, mais également le plus controversé, est le Produit Intérieur Brut (PIB) :

I. Les spécificités du tourisme d’outre mera. le tourisme exotique, soleil → cadreb. randonnés, plage, activité nautique → activitéc. un tourisme culturel, nourriture, specialité → culture→ se démarque du cadre français : depaysement, des atouts→ mais rencontre des difficultésII. difficultés et conflitsa. FOM : eloignement par rapport a la métropole, difficulté d’y acceder, MAIS profiteb. difficultés d’y acceder par l’etranger = clientele francaisec. concurence, prix de la vie elevé, violence et

indicateur ...................................................................................................... 11 - La fiche de présentation de l’indicateur .................................................................................. 13 Le Rapport annuel de performance (RAP) .................................................................................. 22 Le dialogue de gestion .............................................................................................................

processus participatif qui permet le renforcement des Capacités ainsi que la compréhension et l’application des enseignements tirés des expériences des projets et des programmes. Comme tel, tout en assurant la responsabilité technique et financière, les activités de suivi et d’évaluation du programme des petites subventions (PPS) ne visent pas à être et ne devraient pas être considérées comme des mesures de jugements catégoriques ou des mesures punitives. BUT Le but du suivi et de l’évaluation participative

dispositif f. .. Conclusion Le RSA Introduction : Mardi 20 mars la caisse nationale des allocations familiale annonce que le nombre d’allocataire du RSA a atteint 2,03 millions fin 2011, soit une augmentation d’environ deux pourcent par rapport à 2010, après que le dispositif soit étendu en janviers 2011 au département d’outre-mer. I. Le fonctionnement du RSA a. Qu’est-ce que le RSA ? Le RSA est un dispositif créé afin d’inciter les chômeurs à retrouver un emploi en leur permettant

est récent bien qu’elles aient été abordées, dès 1968, par Galbraith [1968] qui dépeignait une société centrée sur l’activité intellectuelle. De même, Drucker [1968, 1988, 1993], Bell [1973] et Toffler [1990] ont évoqué l’avènement des « travailleurs de la connaissance » dans une « société de la connaissance » où la principale source de création de richesses proviendrait d’activités intellectuelles. Stuart [1996], pour sa part, annonce la transition d’une économie industrielle à une économie « basée

cycle de projet (Project Cycle Management - PCM) et du cadre logique, au contexte des programmes à mettre en œuvre. Le PCM et le cadre logique sont censés fournir une approche raisonnée et structurée en vue de la définition des priorités, des activités et des résultats escomptés pour une intervention donnée. Ces deux approches aident les responsables de la planification, de la mise en œuvre et de l’évaluation d’un projet, à se concentrer sur les éléments d’une intervention qui sont jugés les mieux