Exercice Biodiversité

Biodiversité Le mot « biodiversité » est la contraction de l’expression diversité biologique. La biodiversité désigne la diversité du monde vivant au sein de la nature.  De la bactérie à la baleine, de la pâquerette au baobab, du désert à la forêt tropicale, tout est biodiversité. Selon les scientifiques, la biodiversité est la dynamique des interactions dans des milieux en changement. Il existe trois niveaux dans la biodiversité : * la diversité génétique au sein d'une même espèce

« d’agriculture biologique » (p 137). Elle limite au maximum l’utilisation de produits extérieurs apportés au sol elle respecte l’environnement en vérifiant la qualité de l’eau et en respectant « les effets des pratiques agricoles sur l’érosion, sur la biodiversité, sur le paysage ». (p 137) On peut parler également de  « durabilité agro-environnementale » (p 137). Le troisième type d’agriculture est la « paysanne » (p 137).Elle est utilisée pour permettre de nourrir la population qui la cultive. Dans ce

historique unique. Actuellement se développe de plus en plus l’éco-tourisme, notamment autour de majestueux parcs naturels (Xel-Ha, Sian Ka'An, Tulum…). En effet, alors que Mexique représente 1,4% de la superficie de la planète, il compte 10% de sa biodiversité, ce qui la place au 4e rang mondial. Le gouvernement a décidé de développer le tourisme, mais pas n’importe comment: en préservant les innombrables ressources naturelles du pays. Si l’on considère tourisme national et international, et les revenus

234 • 1er avril 2003 L’impact sur les milieux naturels et cultivés La température moyenne de la surface de la terre a augmenté entre 0,6 et 0,9°C depuis 1860. La décennie 1990 a connu le réchauffement le plus important du siècle. L’impact sur la biodiversité est notable (p. IV) partout dans le monde. Si rien n’est encore observé concernant le déplacement géographique des systèmes de production, le réchauffement sur le siècle équivaut à un déplacement vers le nord de l’ordre de 180 km et en altitude

Afin de ralentir la perte de biodiversité, les biologistes de la conservation mettent en application leurs connaissances de la dynamique des paysages pour établir des zones protégées. Le mandat de conservation du Parc de la Gatineau est de protéger la biodiversité, les zones qui pourraient avoir une continuité écologique ainsi que les espèces en péril. De plus, le mandat consiste limiter les activités humaines et la déstruction des habitats. Finalement, il faut connaitre les bases d'écosystème et

des visiteurs ainsi que le trafic lié à leurs déplacements remettent en cause l’attrait des lieux et la qualité de vie des résidents ; Les environnements naturels fragiles où des niveaux de fréquentation même faibles peuvent mettre en péril la biodiversité. Le changement climatique Le changement climatique est un problème majeur pour la viabilité à long terme du tourisme et ce à double titre : parce qu’il aura des conséquences sur le tourisme et parce que le tourisme est une des causes du changement

dans ses dimensions économiques (croissance raisonnée et respectueuse de l'environnement), sociales (répercussions de l'activité de l'entreprise vis-à-vis de ses salariés, fournisseurs ou distributeurs) et environnementales (préservation de la biodiversité et des écosystèmes). L'écologie est quant à elle un courant de pensée à la fois politique et philosophique qui s'attache à veiller à la protection, l'équilibre global et la préservation des ressources naturelles (écosystèmes habités ou non par

des ressources alors que pour d'autres il s'agit d'une protection totale excluant les hommes et les activités. 2. Est-il une solution globale ? * conférence de Rio globalise les questions environnementales : Agenda 21, (conventions sur la biodiversité, sur le changement climatique, sur désertification...) Elle propose aussi de gérer « autrement» les « biens communs de l'humanité », notamment l'eau, sans éviter toutefois leur « marchandisation » défavorable aux pays pauvres. Mais l'échelle globale

selon les critères actuels souvent plus proche de l’économie, choix imposé aujourd’hui par la marche du monde. Le monde est gouverné par l’activité qui implique principalement un niveau de consommation et d’urbanisation galopant qui réduit la biodiversité et augmente les inégalités. La propension au développement du monde est assez identifiée mais l’équation est trop complexe à ma mesure, les facteurs d’interaction très aléatoires, les corrélations négatives et positives difficilement chiffrables

cultivées à l’échelle planétaire (disparition des variétés locales, adaptées aux conditions locales depuis des décennies) 2. Risque environnemental (pollution génétique, résistances, utilisation accrue d’herbicides, pesticides, réduction de la biodiversité par des résidus contaminants comme démontré pour les insectes aquatiques, etc. ; contraintes environnementales : création de réserves non OGM) 3. Risque sanitaire (craintes fondées d’allergies, de toxicité hépatique et rénale) 4. Lourdes dépenses