Explication De Texte Manuel Epictete

EXPLICATION DE TEXTEINTRO:Dans ce texte que nous allons expliquer, extrait du Manuel de epictète , Epictète aborde le thème de La liberté. la question a laquelle il repond est la suivante : Dans quelles conditions pouvons nous nous déterminer comme libre. Epictète defend la thèse suivant laquelle pour etre Libre il faut s'acquitter de toutes contraintes. Dans un premier temps Epictète reformule sa thèse suivant laquelle l'homme qui n'est soumis a aucune contraintes est un Homme libre. Dans un Deuxième

Explication de texte713 Le Manuel est un recueil de pensées d’Epictète, l’une des plus célèbres sources du Stoïcisme. Cet extrait met en avant les préceptes qu’un homme doit mettre en œuvre pour devenir philosophe. Ainsi Epictète place la pratique au-dessus de la théorie. Mais selon lui, qu’est-ce qu’être philosophe ? Et comment d’après ce texte le devient-on ? Epictète s’attache ici à

Explication de texte : Extrait du Manuel d’Epictète (Volume I, Chapître1, paragraphes 1, 2, 3) : « 1. Parmi les choses qui existent, certaines dépendent de nous, d’autres non. De nous, dépendent la pensée, l’impulsion, le désir, l’aversion, bref, tout ce en quoi c’est nous qui agissons ; ne dépendent pas de nous le corps, l’argent, la réputation, les charges publiques, tout ce en quoi ce n’est pas nous qui agissons. 2. Ce qui dépend de nous est libre naturellement, ne connaît ni obstacles ni entraves ;

les efforts, impulsions, appétits et volitions de l’homme, lesquels varient en fonction de l’état d’un même homme, et il n’est pas rare de les voir tellement opposés entre eux que l’homme, tiraillé dans des sens divers, ne sache ou se tourner. » Explication. 5) Le désir crée la valeur de l’objet désiré. Notre désir est orientable. C’est parce que nous le désirons qu’un objet prend de la valeur à nos yeux. Dans les phases (1) et (2), Spinoza met en évidence une des grandes lois de l’univers :

Bac Blanc N°1– Sujet N°3 : Explication de texte Madame, je me suis quelquefois proposé un doute1 : savoir, s’il est mieux d’être gai et content, en imaginant les biens qu’on possède être plus grands et plus estimables qu’ils ne sont, que d’avoir plus de considération et de savoir, pour connaître la juste valeur des uns et des autres, et qu’on devienne plus triste.Si je pensais que le souverain bien fût la joie, je ne douterais point qu’on ne dût tâcher de se rendre joyeux, à quelque prix que

doctrine organisée et systématique, à l'heure actuelle je n'en connais que les maximes d'Epictète – issues des Entretiens et recensées dans le Manuel – et dont les pensées de Marc Aurèle me semblent être les échos. Il m'apparaît donc judicieux d'établir d'emblée un lien entre ces deux philosophes et j'ose espérer qu'il m'aidera à mieux comprendre et expliquer ce texte. Marc Aurèle s'adresse donc à lui-même et emprunte (à mon humble avis) la méthode d'enseignement d'Epictète – que nous connaissons grâce

Cicéron, Sénèque, Épictète, Marc Aurèle), puis exercé diverses influences, allant de la période classique en Europe (en particulier au XVIIe siècle, chez René Descartes) jusqu'à nos jours. Cette philosophie exhorte à la pratique d'exercices de méditation conduisant à vivre en accord avec la nature et la raison pour atteindre la sagesse et le bonheur envisagés comme ataraxie, but ultime de l'existence de l'homme (absence de troubles qui prend la forme d'une absence de souffrance). Epictète résume cette

5 A. Dieu et le mal chez les philosophes antiques……………………………....p.5 B. Leibniz et la théodicée……..……………………………………………....p.6 C. Le tournant kantien et le mal radical……………………………………....p.8 III. Que faire du mal ? ………………………………………………………………..p.9 A. Epictète et l’acceptation stoïcienne …………………………………….….p.9 B. Hannah Arendt et la banalité du mal……………………………….………p.11 C. Paul Ricœur et le mal comme « pro-vocation »……………………………p.12 Conclusion………………………………………………………………………………...p.13 Bibliographie…………………………………………………………………………

inventée contre son gré par Diogène à travers sa consciencieuse volonté de rapporter sans exception ce qu’il savait à propos de tous les philosophes sur lesquels il écrit. 1 Kl sis – Revue philosophique Comme avant-goût de la richesse de ce texte, pourtant bien pauvre selon les critères ordinaires du lecteur philosophe, voici quelques éléments tirés de ma lecture des pages consacrées à Zénon, fondateur du stoïcisme∗. Diogène Laërce donne trois versions de la conversion de Zénon à la philosophie

: Rousseau, Du Contrat social L'État : Montesquieu, De l'Esprit des Lois, Livre III, chapitre 9 5. La morale La liberté : Sartre, Cahiers pour une morale Le devoir : Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs Le bonheur : Épictète (vers 50 – vers 130), Manuel Les précieux extraits : 1. Le sujet La conscience : Descartes, Discours de la méthode, 4e partie (1637) - Thème : le sujet Si la formule "Je pense, donc je suis" est restée célèbre, c'est qu'elle marque une rupture dans