Exportation

conséquent, l'activité économique sera freinée en partie par l'investissement et la croissance devrait se maintenir légèrement sous le niveau d'avant la crise (9,1 % en 2007). Cependant, une reprise mondiale précipitée pourrait fortement stimuler les exportations et les investissements des entreprises. 2 Les finances publiques L'Inde accumule depuis plusieurs années des déficits budgétaires. La crise économique mondiale n'a pas amélioré la situation, puisque la politique budgétaire a dû inclure

pour les exportations entre 2009 et 2010). ➜ Niveau record du déficit commercial : + de 69 milliards d’euros (expliqué en partie seulement par l’explosion de la facture énergétique). ➜ Exportations essentiellement portées par les produits agroalimentaires (céréales et boissons) et les produits de l’industrie du luxe (sacs à main, parfums, cosmétiques). Bonne tenue des exportations de la chimie et métallurgie (hausse généralisée des prix des matières premières). ➜ Affaiblissement des exportations des produits

l'industrie) sont semblables à ceux observés en Allemagne, nettement plus élevés qu'en Italie ou en Espagne ; • • que la qualification de la population active est aussi bonne qu'en Allemagne ; que la structure géographique ou la structure par produit des exportations n'explique pas du tout les différences entre la France et l'Allemagne. Pourtant, la performance à l'exportation de la France est aussi mauvaise que celle de l'Espagne ou de l'Italie, bien moins bonne que celle de l'Allemagne. Les comportements

Sauf les excédents occasionnels en Mars et mai, l'indicateur qui mesure les transactions de biens, services, revenus et transferts de l'Espagne à l'extérieur a enregistré signe négatif depuis 1997. Toutefois, le tourisme et la force du secteur des exportations espagnoles ont réussi à changer complètement cette tendance. En tant que le superviseur bancaire lui-même expliqué que cette tendance reflète la " notable correction du déficit commercial, suivi par l'amélioration de la balance des revenus et des

l’aggravation de la crise financière mondiale au quatrième trimestre de 2008 et au premier trimestre de 2009 a accéléré cette tendance (voir le graphique 1). Un aspect marquant du ralentissement actuel du commerce mondial est la baisse synchronisée des exportations et des importations des grands pays développés et en développement depuis septembre 2008 (voir le graphique 1 de l’Appendice). Certains commentateurs avaient supposé que, compte tenu de la part croissante des pays en développement dans les échanges

Volume échangé intra-UE en milliers de tec Pays-Bas Allemagne Belgique-Luxembourg Pologne Royaume-Uni France Italie Danemark Irlande Espagne Autriche Roumanie République tchèque Importations 398 602 189 54 598 401 61 89 123 136 110 131 101 Exportations 991 432 400 316 285 278 118 115 104 68 66 39 33 3,5 millions de tec soit 30 % de la production européenne en milliers de tec 1 000 800 600 400 Source : Douanes 200 République tchèque Roumanie Autriche Espagne Irlande Danemark Italie

8 en 2007 à -150 963,3 en 2008) dont le taux de couverture a diminué de 55,7% en 2004 à 47,8% en 2008 ce qui signifie que les exportations n’ont pas la capacité de payer même la moitié des importations .et donc pour comprendre la vrai raison de cette faiblesse enregistrée au niveau du taux de couverture il nous faut analyser les tableau des importations et des exportations par catégorie de produit. D’après ces deux tableaux on constate que les importations marocaines sont dominées principalement

tremblement de terre, l'incident nucléaire et le tsunami qui ont frappé le Japon entraînant une diminution des exportations du pays, Pendant ce temps les inondations en Thaïlande ont réduit l'offre de composants essentiels perturbant ainsi les réseaux de production mondiaux. En Afrique du Nord, des répercussions se sont faites ressentir, notamment en Libye où la production (et donc les exportations) en pétrole se sont effondrées. Dans l'Union Européenne, la croissance négative du PIB a diminué alors que

rassemblées les consommations intermédiaires pour chacun des produits utilisés dans chacune des branches. - Tableau des emplois : il s’agit des emplois finals càd la consommation finale, l’investissement (la FBCF et les variations de stocks) et les exportations par produit. Pour obtenir le total des emplois, on ajoute, au total des emplois finals, les consommations intermédiaires par produit - Tableau du compte de production et d’exploitation des branches : on retrouve ici la valeur ajoutée par

I. Le commerce mondial en 2010 Après s’être effondré en 2009, le commerce mondial a vigoureusement rebondi en 2010. L’augmentation du volume des exportations de marchandises au cours de l’année passée a été la plus forte jamais enregistrée, ce qui a permis au commerce mondial de retrouver son niveau d’avant la crise, mais pas sa tendance à long terme. L’embellie économique s’est poursuivie à la fois dans les pays développés et dans les pays en développement, bien que la reprise du commerce et de