Exposition universelle de Paris de 1889

Napoléon engagea de nombreux grands travaux dans Paris, faisant construire des monuments aussi prestigieux que l'Arc de Triomphe et la Bourse, tout en faisant percer et aménager en voies fluviales les canaux de l'Ourcq, de Saint-Martin et de Saint-Denis. C’est aussi à Napoléon que nous devons la colonne Vendôme qui se dresse au centre de la place Vendôme, et c’est Napoléon qui fit détruire les vieilles maisons construites sur les ponts parisiens et sur les berges de la Seine, permettant ainsi de

alliage, de fer, de chrome et de nickel ) . elle fait 25 métre de haut et 80 tonnes. Le commanditaire est l'état soviétique dirigé par Staline. actuellement la statue est conservé à moscou, face au centre des expositions. La sculpture a était réaliser pour l'exposition universelle de Paris. Elle était face au batiment allemand qui avait l'aigle nazi après l'exposition elle a était placé à Moscou. descripton : Sur la photo on voit un homme qui a l'air d'un ouvrier car il porte un tablier et

la Kolkhozienne a été créé par Vera Moukhina en 1937. Cette oeuvre est une sculpture faite en acier. Elle mesure 24 mètres et elle pèse 80 tonnes. Cette sculpture est actuellement conservée au centre des expositions de Moscou. 2) Biographie de l'oeuvre. Vera Moukhina est née le 1er juillet 1889 à Riga en Lettonie. Cette artiste est une sculpteuse mondialement connue pour ses oeuvres monumentales et pour ses recherches sur les métaux. Vera Moukhina est aussi membre du parti communiste et une des

aujourd'hui devant le centre panrusse des expositions à Moscou CONTEXTE en 1937, alors que la 2nd guerre mondiale n'est pas encore déclarée, les soviétique prônent le communisme et s'opposent au clan nazi, qui soutient les idées fascistes de Mussolinie. Tout deux sont symboles de deux idéologies complètement différentes, l'extrême gauche et l'extrême droite. A l'occasion de l 'exposition universelle de Paris en 1937, les deux pavillons ennemis, installés à Paris pour l'occasion se faisaient face. Pour

public, mais aussi les grandes expositions. L'utilité sociale du musée public devient ainsi une sorte d'évidence : « les œuvres du génie appartiennent à la postérité et doivent sortir du domaine privé pour être livrés à l'admiration publique » écrit Alfred Bruyas, ami et protecteur de Gustave Courbet lorsqu'en 1868, il offre sa collection à la ville de Montpellier. Ainsi, dès les années 1820, des expositions s'organisent au Louvre, et pas seulement des expositions artistiques. En effet, le xixe siècle

L’ouvrier et la kolkozienne I) Identification de l’œuvre Cette sculpture a été réalisée par Vera Houkhina en parti (1889-1953), qui est l’artiste officielle du régime de l’URSS dirigé par Staline. Elle a fait l’Académie des beaux arts d’URSS, et fait aussi des recherches sur les métaux. Mais l’idée de se gigantesque projet vient de Boris Lofane (1891-1976) un architecte qui travaillais aussi pour le régime stalinien. La statue a «été réaliser entièrement en acier inoxydable (fer, chrome

L’Interprétation des rêves , Freud. 1901 : Le rire, Henri Bergson 1905 : Théorie de la relativité, A. Einstein 1689, en Angleterre : Bill of Rights 1776: déclaration indépendance des Etats Unis 5 mai 1789 : L'ouverture des Etats généraux à Paris marque le début de la Révolution. Le roi Louis XVI convoque les états généraux, assemblée des trois ordres - noblesse, clergé, tiers état - pour faire face à la crise économique et politique. Le 14 juillet, la Bastille, prison royale quasi désaffectée

L'ouvrier et la kolkhozienne Vera Moukhina,1937 Biographie Vera Moukhina est née en 1889 a Riga en Lettonie et décédée en 1953 à Moscou. C'est une artiste soviétique qui appartient au courant du "réalisme socialiste* soviétique".*C'est le courant artistique officiel de l'URSS de 1934 à 1989. Les artistes y glorifient le régime soviétique (on parle d'art de propagande). Ils mettent en avant la révolution communiste, le peuple et surtout Staline. Ce sont souvent des œuvres monumentales faites

 (cloisonisme  et  symbolisme).  Gauguin  (influence   magistrale  !)  en  faisait  partie  et  dictait  à  Sérusier  ce  qu’il  devait  peindre.       1   1889  exposition  universel  à  Paris,  ils  sont  refusés,  mais  exposés  dans  un  bistrot  :   développement  d’un  engouement.      “La  femme  à  l’éventail”,  Paul  Ranson      “Jeune

Construire en France, construire en fer, construire en béton de Sigfried Giedion HISTOIRE DE L’ARCHITECTURE Fiche de lecture L’ouvrage sélectionné Giedion (Sigfried), Construire en France, en Fer et en Béton, Paris, Editions de la Villette, 2000, 127 pages. Traduit de l’allemand par Guy Ballangé 148 illustrations en noir et blanc En début d’ouvrage : Avant-propos de Jean-Louis Cohen, architecte et historien (11 pages) Prémaquettes de Sigfried Giedion (16 pages)