Exposé Ogm Mondialisation

Rédaction : 2002 Les attentats du 11 septembre 2001 contre le World Trade Center de New York et contre le Pentagone américain ont-ils marqué une rupture ou ont-ils été de simples révélateurs de tendances lourdes apparues dans le sillage de la mondialisation ou de l’échec du multilatéralisme que le système international avait jusqu’alors réussi à maquiller ? Dans l’un et l’autre cas, c’est l’idée même de puissance qui est en jeu : peut-être avait-on prêté trop d’attention à l’accumulation impressionnante

d'ailleurs qui ne l'a pas fait ? Ne pas vouloir d'intervention ou ne pas s'entendre sur la nature ou les modalités de l'intervention. On peut être solidaire des États-Unis en profitant de l'occasion pour brocarder les tenants d'une autre vision de la mondialisation sous prétexte d'anti-américanisme larvé voire d'un soutien implicite aux dictatures et à l'idéologie totalitaire. On peut aussi, tout en affirmant son soutien à la cause des démocraties, souligner la responsabilité américaine dans l'avènement

qu’au profit? Depuis les années 1970, et notamment en Occident et en Asie, les entreprises se sont adaptées au nouveau contexte de mondialisation des échanges. Cette nouvelle situation a fait de l’entreprise privée un nouveau lieu de pouvoir dans la vie de la Cité et un nouvel acteur de poids dans la Chose Publique. Ainsi, parallèlement aux prémices de la mondialisation, une inversion relative des pouvoirs semble avoir eu lieu entre acteurs publics et acteurs privés, puissances étatiques et puissances

au régime légal des travailleurs volontaires. Au niveau fiscal, il y a des précisions également dans cette loi. Une ASBL (personne morale sans but lucratif) peut rembourser les frais exposés par ses volontaires, bénévoles. Ce remboursement peut se faire soit sur une base réelle (les frais qui ont été réellement exposés par le volontaire ou par le bénévole), soit sur une base forfaitaire. La loi prévoit dans ce dernier cas des plafonds qu’on ne peut pas dépasser. Pour l’année 2011, ce plafond journalier

mondiale : vers une pénurie des ressources alimentaires ? En partant de l’aggravation de la sous-alimentation dans le monde en 2009/2010, on va rechercher les causes plurielles de cette situation : - Les méfaits de la dérégulation et de la mondialisation du système alimentaire mondial (le SAM), en mettant particulièrement l’accent sur la course à la terre (néocolonialisme agraire ?). - La « transition alimentaire » dans les pays émergents (Inde et Chine surtout). - Les agrocarburants (pour ne

transformation sociale/ restaurer solidarité/ adaptation au monde d'aujourd'hui/ Pour des primaires à la française... (2006 Encadrement militaire patriotisme, démocratie participative) Motion Gauche (Hamon) Critique néo libéralisme et de la mondialisation libérale à l'origine de 4 crises: financière, énergétique, alimentaire, environnementale/ nécessité de changer radicalement de cap/ protectionisme; protection de l'état. 3) Un parti divisé : une lutte des chefs Lutte relativement ancienne

internationaux une importance sans précédent. -enfin, troisième évolution : liée aux deux précédentes : la mondialisation des RI. Le développement des échanges internationaux, la transformation des moyens de destruction de la planète, auquel on ajoutera la dégradation accélérée et préoccupante de l’écosystème planétaire : tout cela a conduit à une globalisation, à une large mondialisation des questions internationales (donc à une complexité croissante). Face à cette nouvelle donne, quelles sont

des entrepreneurs, acteurs du bien être matériel, nous a paru pouvoir se faire autour d’un point commun : la réflexion sans concession sur la responsabilité sociale et environnementale des acteurs publics et privés dans le contexte actuel de la mondialisation. Certes, Veolia Environnement et l’Institut Pasteur ont une longue habitude de travail en commun, ce qui peut expliquer leur approche commune des problèmes. Celle-ci consiste notamment à aller audevant des enjeux immédiats, dans un souci de résultat

résultats. Notre souhait est de voir ce qu’il en est de l’implication citoyenne pour chacune de ces phases, et en particulier au moment, crucial, de la préparation des décisions. La participation est à la base même du projet démocratique. Ce fondement expose nos démocraties à un balancement – repéré notamment par Tocqueville – entre deux maux : une sorte d’hyperactivisme citoyen, source de tensions et de factions, et à l’inverse un détachement voire une apathie. Depuis une vingtaine d’années, c’est davantage

celles d’un enfant qui doit dès son plus jeune âge avoir une certaine expression personnelle, le droit de dire ce qu’il ressent, ce qu’il pense être bien pour lui. Ce mouvement est d’autant plus nécessaire que l’évolution du monde, avec la mondialisation, n’est possible que si les individus sur le marché du travail sont capables de plus de mobilité, et aussi de plus d’innovation. Cette demande permanente d’invention au XIXe siècle est reprise par le capitalisme, qui exige de plus en plus aujourd’hui