Externalisation Coase Nash Pareto

consommateurs en ont besoin dans leur vie quotidienne.  Kodak décide alors de prendre en charge le service après-vente (très forte intégration des activités). Problème : cette stratégie d’intégration va être victime de son succès • Phase 2 : externalisation puis réintégration Face à une croissance rapide de son marché, Kodak a du mal à suivre au niveau du service après-vente (alors que c’est un élément stratégique)  problème de réputation donc risque de pertes de marché, de compétitivité, etc. (d’autant

ou plusieurs risques couverts par ces organismes. ---------------------------------------- COUPON Intérêt versé au souscripteur d'une obligation. ---------------------------------------- COURBE D'INDIFFÉRENCE Notion que l'on doit à Vilfredo PARETO et à Francis EDGEWORTH. Elle représente les différentes combinaisons de produits qui procurent au consommateur la même utilité totale, le même niveau de satisfaction globale. Pour choisir parmi ces diverses combinaisons, l'individu doit intégrer

paradigmes ? R. Coase (1937), article sur « Pourquoi l’entreprise existe ? ». On est alors dans un contexte où l’entreprise n’est rien d’autre qu’une fonction de production. Il va se demander pourquoi l’entreprise fonctionne et pourquoi on ne fonctionne pas avec une succession d’échanges marchands. Réponse de Coase à cette question : on crée une entreprise quand les coûts du recours au marché sont supérieurs au coût de l’internalisation (=la création d’une entreprise). Coase introduit ici l’idée

firme – comme forme de coordination différente du marché, se justifie par l’existence de coûts de recours au marché ou coûts de transaction (liés à l’allocation des ressources et au transfert de droits de propriété) initialement mis en évidence par R. Coase [1937/1987] et développés plus récemment par O. E. Williamson [1979]. Si le courant de l’économie des transactions justifie l’existence des organisations, il ne déplace pas pour autant l’objet d’étude de l’échange vers la production, de l’extérieur

SPES, 1928. Tout au long du texte, lorsque je ferai référence aux « néoclassiques », il s'agira essentiellement des différentes branches post-marxiennes (hors Keynes et les divers « keynésiens »), représentées notamment par Léon Walras, Vilfredo Pareto, William Stanley Jevons, Alfred Marshall, Friedrich von Hayeck, ainsi que de leurs extensions plus modernes incarnées par des Milton Friedman, Maurice Allais, Kenneth Arrow, James Buchanan (pour des raisons que j'expliquerai plus loin, il ne me paraît