Fable Inventer

le flatte. Le corbeau se sent extrêmement heureuxd'être flatté, lâche son fromage, alors le Renard le ramasse et le mange. Le renard prononce, à la fin, la morale suivante : « Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute ». Cette fable nous transmet un message en nous disant qu'il faut se méfier des personnes qui flattent, car elles se comportent ainsi pour obtenir quelque chose que l'on risque de regretter : il faut éviter de se faire piéger. Le roman d’Émile Zola, Thérèse Raquin

qui est lui au service de son maître, reprenant ainsi une thématique identique à celle des Anciens (l’opposition entre l'esclavage et la liberté). Mon avis personnel: Cette fable de La Fontaine me plait beaucoup car j'aime le style d'écriture de La Fontaine. J'aime aussi beaucoup les chiens (même si dans cette fable le « héros » est le loup) et les histoires avec une morale. Celle du loup et le chien est: la liberté n'a pas de prix. Le Loup et le chien de Jean De la Fontaine (paru en 1668)

l'imaginaire de son public, il est interpellé. Les comportements humains sont souvent beaucoup plus mauvais. Par ailleurs très tôt nous sommes confrontés a la fiction. Tous les livres pour enfants regorgent de personnages faits de toute pièce, inventés, qui sont destinés a nous ' enseigner ' une certaine image des autres et du comportement a adopter. L'auteur peut varier les registres, car dans le domaine de la fiction,histoire fondée sur des faits imaginaires plutôt que sur des faits réels

revenir sur le genre de la fable, que les élèves connaissent généralement par le biais de La Fontaine. Ils auront ainsi la surprise de découvrir, dans un langage plus accessible – Florian est plus proche de nous dans le temps et n’a pas recours, comme son illustre modèle, à ces archaïsmes, certes truculents, mais déroutants pour de jeunes lecteurs – l’univers pittoresque et extravagant de la fable. Cette séquence s’attachera donc, dans un premier temps, à redéfinir la fable en tant que genre littéraire

et ses animaux représentatifs des caractères et personnages bien définis par leur dire et leurs faits. « Le Renard et le Bouc » tiré des Fables est notable par le goupil rusé et le crédule caprin. La Fontaine fait donc passer un message, dans cette fable celui de se méfier des individus que l’on rencontre et qui nous entoure, tout en distrayant son lecteur. De plus, celui-là ne s’apitoie pas sur le côté grave de la situation grâce à ce ton léger. Oscar et la Dame Rose d’E.E. Schmitt est un très bon

Les apologues sont des œuvres à teneur didactique, à visée pédagogique et se lit donc à deux niveaux : il y a un sens littéral c’est le récit (histoire), et un sens symbolique, la leçon à en tirer ( la morale). Font partie des apologues : - La fable, (du latin fabula qui signifie récit) c’est un court récit, en vers ou en prose, qui comporte des personnages simplifiés et symboliques : ils représentent des caractères humains, une idée, un défaut, une qualité, un trait de société. Ce sont souvent

critique du lecteur. Les fables du Roman de Renart sont l'exemple même de cette fonction éducative. A travers les animaux, le texte représente la société des hommes. Après le récit des méfaits du goupil, et des mésaventures du loup Ysengrin, chaque fable transmet une morale, dégage une leçon. Aussi, au loup qui a fait preuve de trop d'avidité, Renart affirme : "Celui qui convoite tout perd tout". De plus, en jouant sur les sentiments du lecteur, par exemple la pitié, l'émotion, donc à l'appui du

pistes. Par sa brièveté, l’apologue peut se rapprocher de la pointe, trait d’esprit concis, recherché, qui termine de manière plaisante, une anecdote, un sonnet.. Tout d’abord, les apologues mettent en scène des formes différentes. A commencer par la fable, qui grâce à la mise en scène d’animaux, reflètent les attitudes et les caractères des hommes. La Fontaine, grand fabuliste, a repris les fables antiques, les a amplifiées et mises en vers, comme par exemple « La Matrone d’Ephèse » Ensuite, on retrouve

quelque chose que de déboucher sur une action. Ce fait est bien illustré dans le récit anonyme du corpus où la morale est la suivante : «jamais méchant ne saura gré à celui qui l’a obligé». On peut trouve un exemple d’une morale «immorale» dans la fable de La Fontaine «Les Obsèques de la lionne», où la flatterie et l’hypocrisie sont favorisées et conseillées au lecteur. Ainsi, l’auteur est forcé d’écrire de manière imagée car, malheureusement, sans cela, il n’y aurait pas beaucoup de lecteurs «avertis»

romanesques qui servent son questionnement philosophique et social. Annonce du plan : En prenant comme modèle Richardson et en créant un roman polyphonique où divers genres se croisent, Diderot refuse certaines facilités et certains attendus du genre mais invente les formes du roman moderne. Ce faisant, il montre l’intérêt de cette forme d’expression comme instrument de connaissance  pour explorer le monde et l’âme humaine. I. La remise en cause du roman/ l’invention de nouvelles formes romanesques