Fables Immorales

Les fables de jean de la fontaine : Définition : Sens 1 : Récit en vers d'où l'on tire une morale. Sens 2 : Faux récit, mensonge. Sens 3 : Être la risée. Les fonctions de la fable I. Une fonction divertissante Le récit développé dans la fable a une fonction divertissante : il met en scène certaines situations plaisantes voire comiques. Le but de Lafontaine est de plaire, séduire son lecteur. Mais ce récit est plaisant justement pour inviter celui-ci à en poursuivre la lecture; car par le récit

Poète et auteur de contes, Jean de La Fontaine est l'un des grands auteurs du 17éme siècle. « Les Fables » publié en 1668, est son premier recueil de fables. « Le Loup et l'Agneau » en est la dixième fable. Elle met en scène la rencontre d'un prédateur et de sa proie. Le Loup cherche à justifier le châtiment qu'il va infliger à l'Agneau. Nous étudierons comment la fable par sa composition acquiert une dimension tragique. En premier temps nous démontrerons comment le sort de l'Agneau est scellé dés

critiquer les gens qui se prennent trop au sérieux. Jacques : Dans ce cas, on n’en écrit pas. Sylvie : Quant à dire qu’il n’y a aucune profondeur dans ce qu’écrit Cros, je ne suis pas tout à fait d’accord. Je trouve que cela rappelle un peu les ©HATIER Fables de La Fontaine, et celles-là, tu n’irais pas leur dénier leur caractère littéraire. Observe : un animal comme personnage principal, des vers… Jacques : Qui ne sont même pas réguliers… Sylvie : Oui, eh bien tu ne fais pas pour autant un « procès pour

même des fables, pas même celles de La Fontaine » (texte annexe). Pensez-vous, comme Rousseau, que les fables ne sont pas destinées aux enfants ? Votre réponse s’appuiera sur les fables du corpus et sur d’autres fables que vous connaissez. Les textes du corpus sont reproduits dans le sujet n ° 33. LES CLÉS DU SUJET ■ Comprendre le sujet • Le sujet comporte une citation et une question qui vous invite à prendre position (« pensez-vous ? »). • On ne vous demande pas votre avis sur les fables ; il s’agit

 CORPUS HOMME ROSEAU Objet d’étude : Les genres de l’argumentation du XVIème siècle à nos jours. Document A : Le Chêne et le Roseau », Fables, Livre I, Jean de La Fontaine. (1668) Document B : « Le roseau pensant », Pensées, Blaise PASCAL. (1670) Document C : « Le chêne et le roseau », Fables, Jean Anouilh. (1962) Question : L’image du roseau transmet-elle, dans ces trois textes, la même vision de l’homme? Le Chêne et le Roseau », Jean de La Fontaine. (1668) Le Chêne un

portés jusque-là dans ses flancs. L'Arbre tient bon ; le Roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au Ciel était voisine Et dont les pieds touchaient à l'Empire des Morts. Jean de la Fontaine, Fables de La Fontaine, 1668 L’arbre de vie(1905-1909), Gustave Klimt(1862-1918), Osterreichisches Museum fûr Angewante Kuns de Vienne, Autriche. Cette fable de La Fontaine montre que malgré son gros tronc, ses grosses branches et racines, le Chene

rouge qui meurt. • Le dénouement met un point final à l'histoire, dont le lecteur peut imaginer la suite (le bonheur, les enfants), et permet d'annoncer sa morale (les méchants sont punis, les bons récompensés). 4. La morale de l'histoire • Comme les fables de La Fontaine, les contes de Perrault sont assortis d'une moralité, sous la forme d'un petit poème expliquant quelle leçon le lecteur peut tirer du conte. La moralité du Petit Poucet, par exemple, précise que ce n'est pas parce qu'un enfant est faible

Dans notre enfance nous avons tous lu les fables de La Fontaine ou les contes de Saint Exupéry. Mais toutes ces œuvres chargées d’émotion, ont-elles traversées les siècles parce qu’elles enseignaient une morale ou parce que leurs personnages et leurs aventures étaient attractives ? Les apologues sont-ils un meilleur moyen d’enseigner que les essais, véritables puits de connaissances écrits sans aucune figure de style? La Fontaine écrit : « une morale nue apporte de l’ennuie/Le conte fait passer le

Jean de La Fontaine, Fables,  Livre VII, fable 9 Source : L'origine de la fable semble être la nouvelle XIV de Bonaventure des Périers (secrétaire de l’auteur de l’Heptaméron, Marguerite de Navarre, sœur de François 1er ) : « Comparaison des alquemistes à la bonne femme qui portait une potée de lait au marché ». La comparaison avec les alchimistes n'a pas été reprise par La Fontaine. Fable double avec « Le curé et le mort » qui suit dans le recueil. LA LAITIÈRE ET LE POT AU LAIT Perrette, sur

La Mort et le mourant – Commentaire. Ce que l'on nomme les fables de La Fontaine est en fait le regroupement d'environ 240 fables réparties dans 3 recueils eux-mêmes divisés en douze livres. Le premier recueil publié en 1668 est composé des livres I à VI, le second publié en 1678 est composé des livres VII à XI et le dernier publié en 1693, un an et demi avant la mort du poète, se compose du livre XII. À la lecture des titres des fables on pourrait croire à un rassemblement hétéroclite de morceaux