Faculté

Critique de la faculté de juger ou Critique du jugement [1] (allemand : Kritik der Urteilskraft) est un ouvrage philosophique d'Emmanuel Kant, publié en 1790. On considère en général cet ouvrage comme la troisième grande œuvre de Kant, après la Critique de la raison pure et la Critique de la raison pratique, et comme une œuvre fondamentale de l'esthétique moderne. Dans cet ouvrage, Kant tente de compléter son système philosophique et de créer un lien entre ses deux premières critiques

pas à identifier la pensée à l’opinion. En effet, quand nous disons : « c’est ce que je pense », nous disons également « c’est mon opinion » ou « c’est mon avis ». Or, si penser consiste à faire un usage de sa raison et si la raison est bien une faculté universelle, n’y a-t-il pas une contradiction à parler de pensée personnelle ? Vous pouvez ici vous interroger sur les rapports entre la pensée et l’opinion, entre le fait de penser et d’avoir des opinions. Demandez-vous si on peut indifféremment

est alors élevé par sa sœur, sa grand-mère maternelle puis par sa tante. Il va étudié au collège Marazin et obtient un prix de discours français en 1760. Il s’inscrit ensuite a la faculté de droit de Paris puis il a sa licence de droit en 1764. Il commence une carrière au bureau de Paris. Durand ses études a la faculté de droit, il participe à des conférences sur les sciences naturelles et étudie la chimie, les mathématiques et l'astronomie. Il publie son premier ouvrage concernant la chimie. A

l’expliquer ? L’œuvre d’art est-elle la production d’un génie ? Mais alors il n’est nul besoin d’apprendre, d’acquérir des techniques pour être artiste, et n’importe qui peut l’être. Mais si c’est le cas, pourquoi existe-t-il des Ecoles de Beaux-Arts, des facultés d’arts plastiques, de musique, etc. ? Ces différentes écoles suggèrent que l’art nécessite des techniques, qu’on ne peut créer sans maîtriser son art, mais pour autant, des cours de dessin ou de peinture sont-ils suffisants pour faire un grand peintre 

Philosophie analytique et esthétique, textes rassemblés, pp. 115-134. BULLOUGH Edward, « Psychical Distance as a Factor in Art and as an Aesthetic Principle », British Journal of Psychology, Vol. 5 (1912), pp. 87–117. KANT Emmanuel, « Critique de la faculté de juger », 1790. LORIES Danielle, « Expérience esthétique et ontologique de l’œuvre », Bruxelles : Palais des Académies, 1989. LORIES Danielle, « Art contemporain : questions nouvelles pour l’esthétique philosophique », article dans Philosophiques

frontières. Le jugement de goût a une force d’universalité partagé par tous. Il convient de rechercher à quoi peut renvoyer la possibilité d’un commun d’accord sur une œuvre belle. I. Spécificité du jugement esthétique Kant, Critique de la faculté de juger, texte n°9 p217 Selon Kant, le relativisme renvoi à l’agréable cad que l’agréable fait appel à la sensation qui différente en chacun. Mais le beau ne se limite pas à une sensation, c’est un jugement qui, pour Kant, a une forme d’objectivité

plaisir. Pascal dans la même perspective énoncera « que la peinture (…) attire l’admiration par la ressemblance des choses dont on n’admire point les originaux»[28]. Ce qui revient finalement à réaffirmer ce qu’énonçait Kant dans La Critique de la Faculté de Juger, à savoir que : « Les beaux-arts montrent leur supériorité précisément en ceci qu’ils donnent une belle description de choses qui dans la nature seraient laides ou déplaisantes. Les furies, les maladies, les dévastations de la guerre, peuvent

FONDS MODERNE DE LA FACULTE DE MEDECINE ADMINISTRATION GENERALE (1794-1981) 1MED Répertoire numérique sommaire par Eloïse Perroud sous la direction de Sophie Dikoff et avec le concours des Archives Départementales de l’Hérault Montpellier Juin 2009 Fonds moderne de la Faculté de Médecine Page |2 SOMMAIRE Introduction ................................................................................................... 3 Description du producteur............................

perçoit. Si il existe un beau éternel et immuable alors ce dernier est accessible à chacun parce qu’il est révélé par une faculté immanente. Le beau idéal de Platon… Kant refuse l’idée d’un beau en soi : « la beauté séparée du sujet n’est rien en soi ». Il analyse le beau en tant que cause du jugement esthétique, lequel procède à un accord entre un objet de la nature et nos facultés. Cet accord est la source d’un plaisir. Le jugement esthétique porte sur la nature esthétique des objets, il s’opère

politique[->30]| Idées remarquables|Criticisme[->31], Jugement synthétique a priori[->32], Chose en soi[->33], Impératif catégorique[->34], Progrès[->35]| Œuvres principales|Critique de la raison pure[->36] Critique de la raison pratique[->37] Critique de la faculté de juger[->38]| Influencé par|Platon[->39], Descartes[->40], Locke[->41], Spinoza[->42], Newton[->43], Leibniz[->44], Wolff[->45], Berkeley[->46], Hutcheson[->47], Hume[->48], Rousseau[->49], Mendelssohn[->50]| A influencé|Fichte[->51], Hegel[->52]