Famille Je Vous Hais

t'aimer, Et [si] tu dois beaucoup aux lieux qui t'ont vu naître, Plus tu quittes pour moi, plus tu le fais paraître. Mais as-tu vu mon père, et peut-il endurer Qu'ainsi dans sa maison tu t'oses retirer ? - 12 -255 Ne préfère-t-il point l'État à sa famille ? Ne regarde-t-il point Rome plus que sa fille ? Enfin notre bonheur est-il bien affermi ? T'a-t-il vu comme gendre, ou bien comme ennemi ? CURIACE. Il m'a vu comme gendre avec une tendresse 260 Qui témoignait assez une entière allégresse, Mais il

en 1955, L'invasion des profanateurs de sépulture de Don Siegel illustre parfaitement la paranoïa américaine du moment. Les habitants d’un patelin situé aux Etats-Unis sombrent dans une étrange psychose. Ils affirment que certains membres de leur famille se sont transformés en étrangers dépourvus d’émotion. D’abord sceptique, Le Dr. Miles Bennell finit par découvrir que des créatures s’emparent du corps des citoyens pendant leur sommeil. Cette œuvre cinématographique laisse libre court aux interprétations

par le CRDP de l’académie de Paris. Roméo et Juliette de William Shakespeare Mise en scène de Magali Léris Avant de voir le spectacle : la représentation en appétit ! Roméo et Juliette : aux origines d’une histoire mythique [page 2] Deux familles ennemies [page 3] Deux amants maudits [page 3] Un destin tragique [page 5] Vers la mise en espace [page 6] © Hervé bellamy (1d-photo.org) au Théâtre des Quartiers d’Ivry, du 3 au 30 janvier 2011 Édito C’est à la suite d’actions de formation

bras et de tes épaules. Les retentissantes couleurs Dont tu parsèmes tes toilettes Jettent dans l'esprit des poètes L'image d'un ballet de fleurs. Ces robes folles sont l'emblème De ton esprit bariolé ; Folle dont je suis affolé, Je te hais autant que je t'aime ! Quelquefois dans un beau jardin Où je traînais mon atonie, J'ai senti, comme une ironie, Le soleil déchirer mon sein ; Et le printemps et la verdure Ont tant humilié mon coeur, Que j'ai puni sur une fleur L'insolence

simplement qu’il est l’adversaire, « l’autre, l’étranger » tel que des conflits avec lui ne puissent être tranchés par des normes établies ou le recours à un tiers impartial. L’ennemi politique ne peut être qu’un ennemi public (ce n’est pas celui que je hais en privé) et son sens tient sa signification de la possibilité de provoquer la mort physique, la guerre étant le « moyen extrême de la politique ». [1] -Carl SCHMITT, La notion de politique. Théorie du partisan, Paris, Calmann-Lévy, 1972) • • •

paranoïa • Aujourd'hui, Schreber ne serait peut être pas qualifié de paranoïaque mais il aurait le Syndrome de Cotard : délire de négation, reconstitution du monde et délire toute puissant et d’énormité. 1. Description • S vient d’une famille bourgeoise • Son père est inventeur d’un modèle rigide d’éducation des enfants • 1884 : présente un état dépressif à l’âge de 40 ans. C'est un épisode mélancolique. Hospitalisé quelques temps pour sa dépression, il se guérit aux côtés

Rodrigue en duel. Elle refuse. . Scène 3 – Chimène, Elvire Chimène avoue toujours aimer Rodrigue mais veut venger son père. . Scène 4 – Rodrigue, Chimène, Elvire Rodrigue sort de sa cachette et supplie Chimène de le tuer. Elle refuse. « Va je ne te hais point ». . Scène 5 – Don Diègue Don Diègue craint pour la vie de son fils . Scène 6 – Don Diègue, Rodrigue Don Diègue retrouve Rodrigue. Il le convainc d’aller combattre les Maures. ACTE IV . Scène 1 – Chimène, Elvire Rodrigue a vaincu les

procédé qui consiste à commencer par le même mot les divers membres d’une phrase. Ex: « Rome, l’unique objet de mon ressentiment! / Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant! / Rome qui t’a vu naître, et que ton cœur adore! / Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore!» 4)Antiphrase: Procédé qui consiste à exprimer une idée par son contraire. L’ironie repose souvent sur l’antiphrase. Ex: «Tes résultats au bac sont vraiment exceptionnels!» dans le sens de «Tes résultats au bac sont vraiment

qu’il considère comme une insulte aux anciens combattants. Boris Vian lui répond dans une lettre, où il développe son sentiment antimilitariste. Il dénonce à travers elle, le caractère aveugle d’un pouvoir favorisant la guerre et l’entrainement des familles entières dans le malheur. Car, le monde de Vian est surtout celui de « l’arrachement douloureux à l’enfance » (N. Arnaud) Ci-dessous, un extrait de la lettre ouverte de Boris Vian à monsieur Paul Faber. « …..Ce sujet m’amène à parler de la

saisit mieux les véritables conflits de la pièce. Lorsque le rideau se lève, le spectateur du malade imaginaire, comédie grinçante de Molière, découvre Argan, écumant de colère et de rage contre ses médecins qui ne le soignent pas suffisamment, sa famille qui l'abandonne, ses domestiques qui font preuve de négligence. cet excès révèle au public que le véritable conflit dans la pièce n'est pas la lutte d'un malade, abandonné de tous, pour survivre, mais la lutte d'un homme contre lui même, la lutte