Fanatisme Barbarie Guerre Mondiale

pas du fanatisme à la barbarie ( Diderot ) Diderot, grand penseur de la Révolution Française, a souvent dénoncé l'intolérance religieuse et politique . IL a affirmé que les actes violents sont liés au fanatisme CE qui suit va dans un premier temps éplucher la citation de Diderot. Ensuite, quelques arguments vont soutenir son point de vue . Quelques exemples de l'histoire récente illustreront ses pensées. Nous attirerons toutefois l'attention sur quelques formes de fanatismes qui, à

Aurélien Krischer 08/02/2011 “Il n’y a qu’un pas du fanatisme à la barbarie” “Il n’y a qu’un pas du fanatisme à la barbarie” citait Denis Diderot, philosophe, écrivain et encyclopédiste des lumières, dans son “Essai sur le mérite et la vertu”. Visionnaire du XVIIIème siècle, Diderot nous enseigne ici par son érudition, une réalité frappante, plus que jamais d’actualité à l’aube de ce XXIème siècle. Mais quelle évolution cette réalité a-t-elle subie, à travers le temps et les esprits? Il

les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale a fait 5,7 millions de morts dans la communauté juive (soit 60% des juifs d’Europe) et 240 000 morts dans la communauté tsigane (soit 34% de tsiganes d’Europe). - Mais ce bilan est inégal selon les États : dans les pays d’Europe centrale et orientale, où la concentration de juifs et de tsiganes était élevée, 90% des communautés ont été exterminées (Pologne, Allemagne…). B. Un choc moral profond Au sortir de la guerre, lorsque l’opinion publique

Steiner s'est aussi intéressé au langage et à la question du Mal, centrale dans son oeuvre, de même qu'aux rapports entre la culture et la barbarie. « J'ai essayé de passer ma vie à comprendre pourquoi la haute culture n'a pas pu enrayer la barbarie, pourquoi elle en a été souvent l'alliée, le décor, le choeur au sens du choeur d'une tragédie grecque » ce XXe siècle enfin achevé. Qu'il fut, de toute l'Histoire, celui où l'homme s'est montré le plus abominable à l'égard de ses semblables, est

peuvent être philosophiques, l'auteur prend position dans une querelle d'idées. Durant les guerres de religion sujette à l'intolérance et au fanatisme. Dans la deuxième moitié du seizième siècle, Aubigné défend les protestants avec «Les Tragiques» alors que de son côté Ronsard consacre aux catholiques son «Discours sur les misères de ce temps». Les raisons de ces engagements peuvent également être politiques (guerre, dictature, violence…). Souvent cité, Victor Hugo a vivement critiqué "Napoléon-le-petit"

aujourd'hui, prend conscience de la barbarie des hommes pour éviter que des faits similaires ne se reproduisent. La littérature aide aussi l'homme à s'instruire, elle l'éduque et développe sa réflexion. Certaines œuvres littéraires ont été publiées afin de dissiper l'ignorance des hommes et de leur donner plus de liberté. Ce sont notamment les philosophes des lumières qui avaient pour projet de faire progresser l'homme. Voltaire, grand philosophe des lumières, contre le fanatisme religieux et la liberté de

droit d’origine juive polonaise – crée le terme « génocide » : il désigne l’élimination physique systématique, programmée et intentionnelle de tout ou partie d’un groupe humain pour des motifs ethniques ou religieux. Pendant la Seconde Guerre mondiale, un double génocide est perpétré par les nazis à l’encontre des communautés juive et tsigane d’Europe. Comment les nazis ont-ils mené à bien le plus vaste génocide jamais entrepris ? Après avoir présenté les étapes menant vers l’extermination

soi-disant supériorité de l’église catholique. Ainsi il dénonce le non-respect des choix d’autrui sur sa religion. De plus, Voltaire, dans le traité sur la tolérance publié en 1763, invite à la tolérance entre les religions et prend pour cible le fanatisme religieux : savoir tolérer, c’est « l’apanage de l’humanité », la condition indispensable pour mériter le nom d’être humain. Tout comme John Locke, il invite au respect des choix religieux de chacun. En outre le côté religieux, il faut également

comme pris de folie furieuse : "Non, un homme ça s'empêche. Voilà ce qu'est un homme, ou sinon...". Albert CAMUS, Le premier homme, Gallimard, 1994, p. 66 Les atrocités commises par les nazis durant la seconde guerre mondiale, celles commises par certains militaires français durant la guerre d'Algérie, par les Américains au Vietnam ... (les exemples ne manquent pas) soulèvent l'opinion publique et nous questionnent sur l'humanité de ces tortionnaires. Pourtant, il n'est pas rare que dans certaines

grâce à l’utilisation de l’ironie, Voltaire nous expose une violente critique de la religion, visant particulièrement le pape, les jésuites et leurs pratiques.   Dans le traité sur la tolérance, Voltaire ouvre une réflexion sur la religion et les fanatismes. Dans sa Prière à Dieu, il oppose la perfection divine et l’imperfection humaine, élargissant ainsi le texte qui devient une prière à tous. En évoquant aussi bien les cardinaux que les évêques, voltaire dénonce l’extrême absurdité des différences