Fantastique Pas Miroir

Métropolis de Thea von Harbou Musique : Gottfried Huppertz Production : Erich Pommer pour UFA (Universum-Film AG), Berlin Pays d'origine : Allemagne Langue : allemand Format : noir et blanc - muet - 1,33:1 -35mm Genre : science-fiction / fantastique Courant artistique: expressionnisme allemand Durée : 150 min Longueur : 4189m raccourci à 3241m en août 1927 Dates de sortie : Allemagne : 10 janvier 1927, Berlin, Ufa-Palast (avant-première) Description : Métropolis est un film allemand

Sujet : L’Epreuve du feu. Les choses primordiales que j’ai apprises sont tout d’abord, qu’il n’est jamais trop tard pour avancer, évoluer, ensuite que c’est grâce au dialogue , et à la communication établis de l’un à l’autre que des avancées fantastiques peuvent ce vivre, et provoquer cette étincelle qui allume cette flamme nécessaire pour entamer un travail profond sur moi même. Alors, il me faut changer le regard sur ma vie, plutôt que d’attendre que ma vie change, c’est pourquoi j’ai choisi

et de la sœur de ce dernier, par apport au début et à la fin du récit. Les malheurs que vit Gregor ont un effet miroir sur le reste de sa famille. Nous pouvons donc en conclure que le récit de Franz Kafka est un très bon exemple de récit d’aliénation. En effet. La métamorphose que subit Gregor est moins radicale que celle subie par ses proches. Ce roman, sous ses aspects fantastiques est donc en fait une allégorie, chaque lecteur peut se reporter à cette vision kafkaïenne de la vie et peuvent en

la Grande-Ourse. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur! Arthur Rimbaud (1870) Ma Bohème(date inconnue)du peintre ardennais Jean-Paul Surin(1946) Argumentation L'artiste de ce tableau Jean-Paul Surrin

vous dévoue, Comme nous, aux regrets, à la fausse amitié, A ces maux sans espoir que l'orgueil désavoue, A ces plaisirs qui font pitié. Riez pourtant ! Du sort ignorez la puissance Riez ! N'attristez pas votre front gracieux, Votre œil d'azur, miroir de paix et d'innocence, Qui révèle votre âme et réfléchit les cieux ! Victor HUGO Poème 5 : Sur un Eventail (pour Jeanne Charcot). *** Si les ondines et les fées Maintenant ainsi qu’autrefois Sur une

seulement un autoportrait de lui-même, mais il se représente lui-même en train de faire un autoportrait. On remarque donc un aspect ternaire à son œuvre. D’abord la représentation de lui-même de dos. Ensuite, on remarque que son visage se reflète dans un miroir qui se situe à gauche de sa tête. Pour finir, on retrouve une nouvelle fois son visage peint sur la toile qui se situe à droite du personnage principal de la scène. C’est intéressant de voir comment l’artiste joue avec les mots. Cette interprétation

révélation, à prendre également au sens photographique du terme, puisqu’elle nous donne à voir une image négative : l’autoportrait paradoxal de l’écrivain. II) L’ÉCRIVAIN AU MIROIR La fonction de l’incipit est de mettre en place les codes du récit, ici le roman d’amour et la dimension autobiographique, le récit devenant le miroir de l’écrivain. Le récit d’une fascination L’enchantement semble nié par l’évocation de la déformation. En effet, ici, la première personne du récit autobiographique est

abîme dans le théâtre ? Dans un premier temps, nous étudierons l'effet miroir plus précisément la mise en relation des deux pièce celle qui encadre et celle qui est enchâssée, Puis nous analyserons la réflexion sur le théâtre qu'une telle structure théâtrale fait naitre. Et enfin, nous montrerons que ces deux pièces font l'éloge du théâtre puisqu'il permet de mener à bien une quête de la vérité. 2 I – Effet de miroir L'illusion Comique est une pièce de théâtre construite à partir d'illusion

prend le relais, en renchérissant sur le jeu de B1, etc. Celui qui n’a pas réussi à reproduire ou à renchérir correctement reprend la queue de la file, pour passer une nouvelle fois. 2. Le miroir, pour travailler la posture et l’attitude. Les élèves sont répartis par groupes de deux, face à face : un mime et un « miroir » qui reproduit le plus fidèlement possible les gestes, les postures et les mimiques du premier. 3. Le baragouinage, pour travailler l’état et l’intonation. Les élèves interprètent la

vecteur fondamental de l’intérêt du roman et permet-il de rendre une vision de l‘homme et du monde? Pourquoi un personnage de roman devrait-il être assimilé à une personne? ( Autre problématique possible : le roman simplifie-t-il l’homme ou est-il un miroir fidèle de la nature humaine ?) Tout d’abord, nous montrerons comment le personnage est simplifié et construit. Puis, nous verrons que c’est un être énigmatique. Enfin, nous verrons quelles sont ses autres fonctions. Un personnage est un élément