Fantastique Pas Miroir

des sorties au théâtre et surtout des séances de photos avec les petites filles, ce qui n’éveille bizarrement que très peu de soupçons. Il était plutôt considéré comme quelqu’un de ridicule. Dès 1871, il enchaîne les succès avec De l’autre côté du miroir, sorte de suite aux aventures d’Alice et avec La chasse au Snark en 1876. Mais on lui doit aussi Sylvie et Bruno en 1889, Alice racontée aux petits enfants, la même année. A partir de 1861 sa vie prend un autre tournant. Il devient diacre et renonce

Français : La nouvelle fantastique au 19ème Séance 1 :​Faire émerger les représentations du fantastique Nouvelle fantastique : ​ Merveilleux médiéval :​​​Conte merveilleux : ​​​Horreur/épouvante :​​Science-Fiction : Heroïc fantasy​​​​​​​​​​​​​​ Ex : Le seigneur des anneaux​​​​Ex : Alice au pays des Merveilles​​Ex : Scream​​​​Ex : Voyage au centre de la Terre Def : C’est un merveilleux d’inspiration​​Def : Le merveilleux se mêle​​Def : Il met en scène pers. Confrontés​Def : présente

la société japonaise afin de le comprendre et de la comprendre. Ils sont le miroir de nous. Ce qui nous trouble c’est qqchose qui a un rapport avec nous. Murat Camille avance qu’il devient nécessaire d’intégrer ce mouvement Aum à la société japonaise car cela signifie qqchose. La tache du romancier est de raconter ce nouveau miroir, en quoi aum est producteur de sens car lui même produit des miroirs. Tout roman est un miroir de la société ( def de base du roman ) si on considère qu’une secte ds la

en lisant des nouvelles et des contes fantastiques. En intégrant les dernières découvertes médicales, ses angoisses et ses hallucinations, Maupassant renouvelle le genre. En quoi le Horla est-il emblématique du conte fantastique ? I. Les caractéristiques du Horla 1. Un conte fantastique • Le Horla est un conte fantastique, c'est-à-dire qu'il met en scène deux logiques opposées : l'une rationnelle, l'autre irrationnelle. On trouve dans le conte fantastique un décor rassurant, quotidien, connu

Dans la préface de l'édition de 1831, Balzac expose une esthétique réaliste, selon laquelle le roman doit être un miroir de la réalité : « L'art littéraire ayant pour objet de reproduire la nature par la pensée est le plus compliqué de tous les arts. [...] L'écrivain doit être familiarisé avec tous les effets, toutes les natures. Il est obligé d'avoir en lui je ne sais quel miroir concentrique où, suivant sa fantaisie, l'univers vient se réfléchir14. » Mais il ajoute peu après : « Il se passe

peu à peu dans la folie en cherchant à se délivrer de cette emprise. Il finira par incendier sa demeure et, dans les dernières lignes de la nouvelle, face à la persistance de cette présence, il entrevoit la mort comme ultime délivrance. L'aspect fantastique du récit vient du doute créé chez les lecteurs quant à la démence du narrateur – ou à la réalité des faits qu'il rapporte : sa cohabitation avec un être surnaturel. Dans ce livre le narrateur raconte sa folie et la terreur qu'il subit. Le Horla

| |Objectifs |-Faire écrire une nouvelle fantastique | | |-Savoir identifier le fonctionnement et la spécificité d’un genre narratif | | |-Reconnaître et distinguer le registre fantastique et réaliste

Le horla Le Horla est une nouvelle fantastique de Guy de Maupassant écrite en 1887. C’est un des premiers récits fantastiques que Guy de Maupassant a écrit. La seconde version du Horla se présente sous la forme d’un journal inachevé qui laisse craindre que son propriétaire n’ait sombré dans la folie. Le Horla marque les prémices de la folie de son auteur, Guy de Maupassant, qui, après avoir fait une tentative de suicide, meurt le 6 juillet 1893. Sommaire 1 Histoire 2 Éléments d'analyse 2

À la fin du XIX, le surnaturel et le fantastique devient très populaire chez les célèbres écrivains. Chez ces derniers, la littérature s'est toujours nourrie de légendes et de contes faisant intervenir des forces magiques et surnaturel. L'évolution du surnaturel et le paranormal vont se transformer par la folie et l'hystérique. Dans le recueil de Guy de Maupassant, le Horla, fait ressortir des éléments de la folie. Peut-on affirmer que la folie chez Maupassant est le moteur de l'œuvre? Nous pouvons

fait beaucoup allusision à celle-ci et il est fasciné par sa métamoprhose constante. Il l'a voit sous un regard baroque: "je m'imagine que la nuit ayant norci toutes les choses, le soleil les plonge dans l'eau pour les laver; mais que dire de ce miroir fluide, de ce petit monde renversé, qui place les chênes au-dessous de la mousse et le Ciel plus bas que les chênes?" Les themes baroque son clairement visible, le mot "fluide" fait allusion à l'eau qui est la métaphore de l'insaisissable. "Ciel"