Fantastique

Dissertation : le fantastique Le fantastique se caractérise comme une intrusion brutale du surnaturel dans la vie quotidienne. Dans son Introduction à la littérature fantastique, T. Todorov écrit : «Le fantastique, c’est l’hésitation éprouvée par un être qui ne connaît que les lois naturelles, face à un événement en apparence surnaturel.». Cette définition convient-elle aux oeuvres fantastiques que nous connaissons ? Nous étudierons en premier lieu les événements déroutants, d’où le fantastique est issu

Titre : Qui sait ? Inutile beauté Auteur : Maupassant (1850-1893) Date : 1890 Registre : réaliste Genre : nouvelle fantastique Lien avec autre(s) texte(s) : Le Horla INTRODUCTION -Maupassant, roman/nouvelle au 19e, appartient au réalisme - Texte Qui sait, tiré du recueil Inutile beauté publié en 1890 est la dernière nouvelle de Maupassant ; l’écrivain a sombré dans la folie à la fin desa vie et est enfermé à la clinique du docteur Blanche, il a tenté de se suicider ; elements surnaturels

cavalier sans tête) écrit par Washington Irving en 1820. 2. Le narrateur est omniscient, il sait tout de la vie du personnage, il fait des commentaires de façon explicite et subjective mais il ne fait pas partit de l’histoire. 3. L’événement fantastique est lorsqu’Ichabod Crane se fait poursuivre par le cavalier sans tête. Lors de ce moment, Ichabod est paniqué et terrorisé. 4. Le récit se termine avec un vieux fermier qui se rend à New York qui rapporta au Val Dormant qu’Ichabod était toujours

longtemps habitué aux explications fantastiques qu’on lui livrait afin d’accepter ce qui lui était inconnu. Maintenant, il essaye de tout comprendre en explorant cet inconnu. Bientôt, la crainte du monde mystérieux s’évanouira. On dirait que la Création a évolué et que par conséquent la littérature fantastique, genre qui a connu différentes formes à travers les Temps, est vouée à disparaitre. Lorsque l’Homme était encore crédule, les écrivains fantastiques ne connaissaient aucune limite dans

Le roman fantastique est apparu dans les années 1830, en pleine époque romantique. Qu'est-ce que le roman, en effet, sinon cet univers où l'action trouve son allure et ainsi sa forme véritable, où les mots de la fin sont prononcés pour éclairer le lecteur, où toute vie prend le visage du destin. Le monde romanesque et fantastique n'est que la correction de ce monde-ci, suivant le désir profond de l'homme. Car il s'agit bien du même monde. La souffrance est la même, le mensonge et l'amour. Les héros

déterminisme.Ce roman, inspiré de théories scientifiques, mêle également le réalisme, le fantastique et le tragique. Ce roman reste malgré tout très artistique et très travaillé littérairement. Il décrit certains lieux, tel un peintre impressionniste; le « lieu du crime » en est un exemple. Il y a un peu de fantastique dans cette œuvre comme les apparitions du spectre de Camille. Malgré toutes ces résurgences fantastiques, Zola garde ses réflexes de scientifique et en profite pour décrire le comportement

en s'appuyant sur la concentration de l'histoire pour renforcer l'effet de celle-ci sur le lecteur, par exemple par un dénouement surprenant. Les thèmes se sont également élargis : la nouvelle est devenue une forme privilégiée de la littérature fantastique, policière, et de science-fiction. Les caractéristiques de la nouvelle Les principales caractéristiques : Texte généralement court, variant de 3 à 50 pages. Histoire mettant en scène très peu de personnages. Parfois un seul. Intrigue

Prinzessin Brambilla). De plus, Balzac se sert de lui, pour créer un « fantastique à la française » et écrira l’épigraphe suivante dans la préoriginale de Sarrasine : « Croyez-vous que l’Allemagne ait seule le privilège d’être absurde et fantastique ? ». Il voulait alors ainsi s’attirer les bonnes grâces de W. Scott, alors critique littéraire et tempérer l’engouement qui existait pour son adversaire allemand. On parle donc de « fantastique à la française », d’une part, parce qu’il est expliqué comme tel

« ténèbres » et d'autres encore. Il insiste ainsi sur le côté « clair-obscur » des lieux et rend la scène nettement moins réaliste car elle est vue sous l'aspect d'un tableau étrangement beau et mystérieux. De plus, dans Thérèse Raquin, la part de fantastique et de folie ne manquent pas d'ajouter à ce côté mystérieux. En effet, Zola personnifie les objets jusqu'à les rendre plus vivants que les humains eux-mêmes : «  la muraille monte, noire, grossièrement crépie, comme couverte de cicatrices. ». Il

littérature fantastique, gothique. Le moment choisi par le narrateur est précis : le profond minuit arriva. Il s’agit d’un moment connoté de peur et de mystère. Mais également une atmosphère presque romantique du fait de la décoration de la chambre : « candélabre », « rideaux autour du lit » etc... Registre L’atmosphère mystérieuse, le château abandonné, le parallélisme entre la mort et l’amour, le tableau qui paraît s'animer font parties des caractéristiques du conte fantastique. Dans une