Farce Du Cuvier

dialectes populaires, les images amusantes, le double sens… • Le comique de gestes : le comique réside dans les coups, les chutes, les grimaces, les mimiques. Tous ces procédés comiques variaient d'une pièce à l'autre, d'un genre de pièce à l'autre. La farce utilisait plus volontiers le comique de gestes, la comédie de caractère et la comédie de mœursusaient plus volontiers des comiques de situation ou de mots, l'une pour décrire le caractère, les défauts et les manies d'un personnage, l'autre pour critiquer

Mais il est trop tard, Oreste à accompli sa mission et Hermione se suicide sur le corps sans vie de Pyrrhus. Hermione est donc victime de ses propres excès de jalousie qui la pousse au suicide. Et le héros est victime de la maladie dans la farce tragique Le Roi se meurt de Ionesco. Le roi sait qu’il va mourir mais n’arrive pas à se faire à l’idée et s’éteint lorsqu’il en a pris conscience. Ionesco met en scène un personnage qui va mourir et qui connait la douleur de vivre ses dernières heures

œuvre l'intrigue si l'on peut l'appeler comme telle en est réduite à la mort d'un roi. L'intrigue est mise en arrière plan car l'importance de cette pièce réside dans la psychologie du personnage. Nous pouvons aussi prendre comme exemple La Farce du Cuvier qui est une des farces les plus connus en France. Dans cette pièce l'intrigue en est réduit au minimum. La femme de Jacquinot lui impose une liste des tâche ménagère à faire. Jacquinot se soumettra mais un jour alors que sa femme est entrain de

lettres de noblesse et « attaquer par le ridicule les vices du temps ». Inspiré des comédies latines de Térence et Plaute, Molière dépoussière les farces du moyen âge, que les élèves de cinquième ont déjà pu aborder à travers La farce de Maître Pathelin ou la Farce du Cuvier qui mettent en scène des personnages ridicules et grotesques, et utilise les ressorts scéniques comiques de la commedia dell’arte pour contribuer au développement de comédies nouvelles dont le rire devient l’instrument privilégié

régulière au ‘‘bousier’’, ce qui amuse peut être le peuple, mais cela n’ira pas plus loin … Dans le même genre, beaucoup de farces populaires ont cette vocation de divertissement, d’égayement pour un grand public ; on peut citer parmi celles-ci La farce du Cuvier (auteur inconnu), mettant en scène Jacquinot, un homme du peuple, et tous les travaux qu’il aura à accomplir. Les farces populaires ont donc ça d’amusant pour le spectateur qu’elles reprennent les thèmes de son quotidien ; le spectateur se reconnaît

souvent anonymes relevant du théâtre religieux, avec les miracles et les mystères joués sur les parvis des églises (Miracle de Théophile de Rutebeuf en 1260 ou Le Mystère de la Passion), ou du « théâtre profane et comique », avec desfarces (La Farce du cuvier, La Farce de Maître Pathelin) et des moralités ou des soties. Au xvie siècle, le théâtre est un art mineur en France (on repère néanmoins les noms d'Étienne Jodelle ou de Robert Garnier), alors que c’est l'âge d’or en Espagne avec Lope de Vega ou Tirso

grande importance des paroles pour être réel => je sèche sur l'exemple II- Les fonctions de l'illusion permettant un accès à la réalité: A-La catharsis => L'image du bourgeois près de son argent dans L'avare de Molière B-"Placere"(plaire)... =>La farce du Cuvier C-..."et docere"(et instruire) =>Les proches qui se connaissent mal et les gens se ressemblant tous ( effet de la mode) dans La cantatrice chauve de Ionesco III-Savoir faire la part du vrai et de l'illusion au théâtre A-Le théâtre est un spectacle

et de papiers " (l.3), " Derrière les vitres [...] etc " (l.4)) - Verbes parfois répétitifs et peu expressifs : " est le cuvier pour la lessive " (l.4), " A côté est l'essoreuse " (l4-5), " est là " (l.7), " La machine est au fond " (l.8), " On a " (l.14), " elle a une planche " (l.16) - Peu d'images ou d'effets stylistiques : vocabulaire précis (" battoirs, brosses, cuvier, couvercle "). Pas de métaphores, de comparaisons. - Observations d'ordre visuel (" on voit le pied rond et énorme " [l.8])

l'analyse du rapport entre l'homme et la femme dans Le Lai du Laustic et La Farce du cuvier. Tout au long de l'histoire, les hommes ont toujours joué un rôle prépondérant, et les femmes étaient tout simplement au foyer qui prendrait soin des enfants et le travail de la maison. Pendant le Moyen Age, ce comportement social était très explicite et évidente. Cependant, dans les histoires « le Lai Laustic » et « la Farce du cuvier », la relation entre les hommes et les femmes est intéressante à observer

a. Les personnages désignés par leur statut social ou leur métier sont, par exemple : un vilain, un curé, un riche, un pauvre, un comte, un prévôt, un prêtre. b. Les prénoms employés sont : Robin (Le vilain de Farbu), Jacquinot (La farce du cuvier), Henri (le vilain et la tarte), Ade (Le vilain devenu médecin), Raoul (Le vilain et la tarte). L’explication peut être double : les noms de familles se répandent à partir du xiie siècle seulement. Jusque-là, les personnes étaient désignées