Fascination

(Zerlina chez Mozart, la fiancée de l’entracte I/II chez Molière, Dona Anna chez Mozart) • une religieuse (chez Lenau, il introduit la luxure dans un monastère par l’intermédiaire d’une dizaine de filles déguisées en hommes) • par son charme et la fascination qu’il exerce, • par le mariage (il est polygame) ou la promesse, • par le viol, par exemple en se faisant passer, dans l’obscurité, pour un fiancé (Dona Anna chez Mozart, Isabelle chez Tirso et Lenau). • Il voyage beaucoup (il est en Sicile chez

"Gueule d’Or" nous revient magnifiée. Éclairée par la flamme de la forge, la tête de l'ouvrier capte l'attention de la jeune femme et le style de Zola reproduit par ses répétitions ou ses commentaires maladroits ou familiers l'expression d'une fascination qui ne trouve pas vraiment ses mots : " une vraie figure d'or, sans mentir", " des épaules et des bras sculptés qui paraissaient copiés sur ceux d'un géant dans un musée ". A l'admiration s'adjoint un sentiment proche de la vénération car le forgeron

proposerons une dernière partie sur l’existence propre du mythe : une forme insaisissable attendant des incarnations. Le lecteur éprouve parfois un certain attrait pour les mythes et notamment pour la réécriture de ceux ci. Elle nait souvent d’une fascination pour un personnage mythique et pour sa destinée peu commune. Ainsi pour le mythe de Don Juan, un lecteur pourra s’intéresser au caractère même de séducteur du personnage principal. Don Juan impressionne car il est doté d’un don, il sait comment

sensible à chaque détail physique et sensible à sa « poitrine vaste » (l.15). La Gueule d’or n’est plus un ouvrier fabriquant un banal boulon, ce qui prouve à quel point Gervaise est séduite par le corps de la Gueule d’or. De plus, cette fascination pour le corps de la Gueule d’or est confirmée et amplifiée avec une approche sensuelle, voire érotique. La poitrine « vaste, large, à y coucher une femme en travers.. » (L.15) est une expression très suggestive de l’acte sexuel. Cette interprétation

superficielle , infidèle dans ses intérêt , il profite du moment présent et de ses amis sans s'y attacher réellement et sans se soucier du passé. Il considère Dorian comme un des de la vie (Chapitre IV) ainsi qu'une inépuisable source de fascination. Basil Hallward: ''Parole d'honneur , Basil , je ne te savais pas si fat , et , franchement , je ne vois pas en quoi ton visage âpre , énergétique , et tes cheveux noirs comme du charbon...'' (Page 43) C'est un assez jeune peintre doué , mais

fait qu’il était sceptique face à ce genre de romans fantastiques, Étienne éprouve une réelle fascination pour ce nouveau style littéraire qu'il apprend à découvre. La nouvelle de Saki le captive particulièrement. Cette dernière traite de la thématique de l’enfance alors par son emballement face à ce thème intéressant il décide de donner ces prochains cours sur la thématique de l’enfance. Cette fascination pour ce thème est causée par le manque de ses propres souvenirs d’enfance, car à huit ans, son

DM de FrançaisAlexandre MasseJulien vient d’être engagé par M. de Rénal comme précepteur de ses enfants, il se tient devant la porte de la résidence des Rénal. Il va être accueilli par madame de rénal qui s’est faite a l’idée a un précepteur désagréable. Elle va se rendre compte que Julien n’est pas a l’image du précepteur qu’elle attendait. Dans cet extrait, Stendhal construit une scène de rencontre amoureuse à travers les points de vue alterner de Julien et madame de Rénal. Nous pouvons voir que

passe au château se passe en pleine nuit, ce qui rend la scène encore plus effrayante. A ces éléments propres au romantisme, s’ajoute cependant une tonalité beaucoup plus sombre qui apparente le roman au genre gothique, caractérisé par une forme de fascination pour la mort et par le recours au registre fantastique. Dès le début du roman, Pauline est associée à l’idée de la mort, elle apparaît en effet aux yeux du narrateur principal comme un être « appartenant à un autre monde », « une femme blanche et

d’observateur des comportements humains. La suite du commentaire montrera en quoi l’abondance et le luxe des tissus exposés ainsi que la dimension spectaculaire et l’ingénieuse mise en scène de leur présentation exercent une véritable fascination sur les clientes, dans ce qui s’avère une tentative de séduction commerciale. Dans son paragraphe descriptif, Zola souligne d’emblée l’idée d’abondance des tissus, et ce de plusieurs manières. Tout d’abord est développé un champ lexical

1966 | | | |Connaître, ce sera alors faire l'effort de s'arracher de la fascination des ombres et des images du monde de la caverne, | |lieu du paraître, de l'illusion et de l'ignorance, pour s'élever dialectiquement vers le savoir afin de saisir quelle est | |la véritable place des éléments qui constituent le monde et jouir