Faubourg Saint-Marcel

égards, d'après le chiffre de leurs pensions. Une même considération affectait ces êtres rassemblés par le hasard. Les deux locataires du second ne payaient que soixante-douze francs par mois. Ce bon marché, qui ne se rencontre que dans le faubourg Saint-Marcel, entre la Bourbe et la Salpêtrière, et auquel madame Couture faisait seule exception, annonce que ces pensionnaires devaient être sous le poids de malheurs plus ou moins apparents. Aussi le spectacle désolant que présentait l'intérieur de cette

égards, d'après le chiffre de leurs pensions. Une même considération affectait ces êtres rassemblés par le hasard. Les deux locataires du second ne payaient que soixante-douze francs par mois. Ce bon marché, qui ne se rencontre que dans le faubourg Saint-Marcel, entre la Bourbe et la Salpêtrière, et auquel madame Couture faisait seule exception, annonce que ces pensionnaires devaient être sous le poids de malheurs plus ou moins apparents. Aussi le spectacle désolant que présentait l'intérieur de

Eugène de Rastignac Pension Vauquer 10 Faubourg Saint-Marcel Paris Madame Anastasie de Restaud 324 Avenue des Champs Élysée PARIS Chère Comtesse de Restaud, Je me permets de vous faire parcourir cette lettre pour vous parler de votre père, pour qui j'ai une grande estime. Je viens d'assister a son enterrement, sur son lit de mort il vous imaginez votre sœur et vous même dansant rayonnante tel un soleil au bal de Madame de Beauséant. Malheureusement, votre père n'aura pas eu la chance de

Balzac fait une description des lieux. La description de la pension se fait de haut en bas. D’abord le « troisième étage » avec « le grenier », « la salle à dîner », « du second étage ». Puis il cite certains quartiers populaires : «  le faubourg Saint-Marcel ». 2. Description des personnages Vêtement : « redingotes problématiques », « linge élimé » « robes passé » reteinte, déteinte » « de vieilles dentelles raccommodées », « fichu éraillé ».Ils sont tous pauvres mais essayent de paraître dignes

Balzac fait une description des lieux. La description de la pension se fait de haut en bas. D’abord le « troisième étage » avec « le grenier », « la salle à dîner », « du second étage ». Puis il cite certains quartiers populaires : « le faubourg Saint-Marcel ». 2. Description des personnages Vêtement : « redingotes problématiques », « linge élimé » « robes passé » reteinte, déteinte » « de vieilles dentelles raccommodées », « fichu éraillé ». Ils sont tous pauvres mais essayent de paraître dignes

Lieux : Le quartier : p.43 La pension Vauquer se situe à Paris, dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, entre le quartier latin et le faubourg Saint-Marceau (5ème arrondissement). Balzac qualifie le quartier d’inconnu, et dit que nul autre n’est plus horrible. (p.45) L’extérieur de la pension : p.45 La pension Vauquer appartient, comme son nom l’indique, à Mme. Vauquer. Elle est située au bas de la rue Neuve-Sainte-Geneviève, au sommet d’une pente qui est dite si brusque et rude que les chevaux la

sociales II. La pension Vauquer III. Les relations avec le monde extérieur IV. Visite guidée Conclusion Introduction : La pension Vauquer est un établissement situé sur un endroit à l’écart de Paris, dans le faubourg Saint Marceau, sur la part gauche de Paris. Elle représente un microcosme où on reconnaît facilement les inégalités. C’est une société qui abrite trois générations avec les vieillards, les hommes de quarante ans et les jeunes gens. La pension Vauquer

réalisme des descriptions, chaque lieux possède une symbolique très précise et représente quelque chose d’important dans l’œuvre. Le roman débute rue Neuve-Sainte-Geneviève, actuellement rue Tournefort, elle est la limite entre la richesse et la pauvreté, entre le faubourg Saint-Marceau et le quartier latin. Elle est située sur la montagne Sainte-Geneviève que Balzac a choisit car c’est une hauteur sombre et pauvre de Paris. Cela symbolise que Eugène de Rastignac doit se rabaisser et renier ce à quoi

l’alignement des maisons, me faisaient chercher à Paris autre chose encore. Je m’étais figuré une ville aussi belle que grande, de l’aspect le plus imposant, où l’on ne voyait que de superbes rues, des palais de marbre et d’or. En entrant par le faubourg Saint-Marceau, je ne vis que de petites rues sales et puantes, de vilaines maisons noires, l’air de la malpropreté, de la pauvreté, des mendiants, des charretiers, des crieuses de tisanes et de vieux chapeaux. Tout cela me frappa d’abord à tel point

la scène de violence où l’on voit Montriveau, conseillé par Ronquerolle, menacer la duchesse de la marquer au front avec une croix de Lorraine rougie au feu. Dédié à Franz Liszt, ce portrait d’une coquette représentative des nobles familles du faubourg Saint-Germain, qui tiennent leur fortune de leurs terres et qui vivent dans le mythe d’une naissance supérieure, fut inspiré à Balzac par la Duchesse de Castries avec laquelle il eut une aventure orageuse, et qui l'humilia en ne se donnant jamais à