Faut Il Augmenter Les Impôts

capital et de travail a augmenté. Ceux-ci représentent 50% des explications de la croissance. Les 50% restant se trouvent dans les progrès techniques (modifications de F) ( gains de la productivité : accroissement de la productivité. Cette période des 30 glorieuses est une période de gains de productivité. Mais cette logique néoclassique n'explique pas tous. Ce qui est important est de faire croître la production. • Pour les keynésiens : la production augmente mais la demande n'a pas

constructeur automobile : sa valeur ajoutée correspond au salaire + profit soit 110. On obtient un PIB de 210€. 3ème définition PIB : Somme des revenus distribués : -somme des revenus distribués -revenus du travail : salaires, -revenu du capital et impôts indirects prélevés par l’Etat (taxes sur les ventes). J’ai 150€ de salaires et ensuite j’ai 60€ de profits : donc 210€ de PIB. PIB nominal et PIB réel Le PIB nominal se définit comme la somme des quantités de biens et services finaux multipliés

i) + I(Y, i) + G • C(Y-T, i) : la consommation augmente avec le revenu disponible (Y-T : revenu – impôts) et diminue avec le taux d’intérêt i. I(Y, i) : l’investissement dépend non seulement du taux d’intérêt i mais également du revenu (ou production) Y. A court terme, il faut considérer Y comme le volume des ventes courantes et futures que chaque entreprise prévoit. Par conséquent, Y est un revenu anticipé. L’investissement I diminue avec i et augmente avec Y. G : dépenses gouvernementales. 3

+ G • C(Y-T, i) : la consommation augmente avec le revenu disponible (Y-T : revenu – impôts) et diminue avec le taux d’intérêt i. • I(Y, i) : l’investissement dépend non seulement du taux d’intérêt i mais également du revenu (ou production) Y. A court terme, il faut considérer Y comme le volume des ventes courantes et futures que chaque entreprise prévoit. Par conséquent, Y est un revenu anticipé. L’investissement I diminue avec i et augmente avec Y. • G : dépenses gouvernementales

le taux d’intérêt va bouger car le marché monétaire n’est plus à l’équilibre (F n’est pas sur LM) :la baisse de Y a provoqué une baisse de la demande de monnaie. Le tx d’intérêt va donc baisser, ce qui rétroagit sur la demande d’investissement qui augmente. Ici l’interaction réel/monétaire limite la contraction économique. 9 On vérifie bien par le calcul notre intuition que l’interaction réel/monétaire limite ici les effets récessionnistes de la baisse de la demande globale. Le rapport b2/l2

commune est située à 32 km à l'est de Paris et à 26 km à l'ouest de Meaux. Elle est en plein cœur de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée. Bussy Saint Georges est composée de 22 525 habitants avec une densite de 1 682,23 personnes par km2.A cela il faut soustraire les résidences secondaires (308 personnes) pour constater que la population permanente sur la commune de Bussy Saint Georges est de 22 217 habitants. En 1999 il y avait 9205 habitants mais en 2012 22525 habitants. Les communes les plus

questions. C’est un modèle simple et synthétique. =>Une politique budgétaire est une politique économique qui agit sur le budget de l’Etat, soit sur les dépenses de l’Etat, soit sur ses recettes (principalement les impôts). L’augmentation des dépenses publiques ou la baisse des impôts sont des politiques budgétaires expansionnistes. L’inverse est une politique budgétaire restrictive. =>La politique monétaire est une politique économique qui agit sur l’offre de monnaie. L’augmentation de l’offre

les dépenses augmentent plus vite que les ressources et cela va s’accentuer dans les années à venir. Il faudra donc trouver les moyens pour renflouer ce trou. Mais comment combler le déséquilibre budgétaire de la PSG ? Pour bien cerner le sujet, il faut voir avant tout la mise en place et le rôle de la PSG sur le territoire. D’autre part, les grandes causes du déficit budgétaire de la PSG engendrent une multitude de mesures qui ne demandent qu’à être effectives. En effet, la PSG est un système

objet la fiscalité et la redistribution en France. La fiscalité représente l'ensemble de la législation et réglementation en vigueur en matière fiscale, des mesures et pratiques relatives à l'administration fiscale (fisc) et aux prélèvements fiscaux (impôts) et des autres prélèvements obligatoires tandis que la redistribution est une opération qui permet de modifier la répartition primaire des revenus grâce aux prélèvements obligatoires cités plus haut et aux versements de prestation sociale. Dans un

Il faut rapidement caractériser cette fiscalité d’Ancien Régime pour comprendre les dispositions des art. 13 et 14 de la DDHC : * Les caractéristiques de la fiscalité de l’ancien régime sont : - c’est une fiscalité sans aucun principe : c’est à dire une fiscalité qui a été improvisée et qui mobilise tous les types de prélèvements fiscaux. Il a existé dans l’ancien régime des impôts sur le revenu, des impôts sur la consommation ( la gabelle qui était l’impôt sur le sel), des impôts de mutations(