Faut Il Avoir Peur Des Fmn

(stratégies) de manière à être le plus performants dans ce nouveau cadre mondial auquel elles sont confrontées. - Tendance à réfléchir de manière planétaire  - Phénomène auquel il faut s’adapter et savoir s’organiser - Facteur de croissance et un jeu gagnant-gagnant. Globalisation : facteur de croissance pour la firme. Il faut que règles du jeu soient clairement établies. Jeu qui permet au marché de se développer, mais firmes ont plus de difficultés que d’autres. On voit ici la capacité/incapacité des

suppose deux orientations : voir en quoi la mondialisation peut expliquer ce rattrapage et en quoi les pays émergents ont pu mettre en place des stratégies propres qui leur ont permis de le réaliser. Il n’y a pas de délimitation temporelle, mais il faut se concentrer sur la période récente (à partir des années 1960-1970), car c’est depuis lors que les pays émergents se sont développés. Il est également nécessaire d’avoir un certain recul historique et de citer, par exemple, le rattrapage de certains

actions individuelles, le résultat est-il harmonieux et bénéfique à l'intérêt général ? Courant libéral : la somme des actions personnelles conduit à la satisfaction de l'intérêt général qui prend la forme d'un équilibre. Il faut laisser les individus agir librement. Il ne faut pas contraindre les actions des individus dans leurs agissements personnels, car en agissant égoïstement ils œuvrent à former un équilibre. La somme des actions microéconomiques conduisent à l'équilibre macroéconomique. La condition

investissements productifs, c’est-à-dire ceux qui ont pour but de développer les activités productives à l’étranger : création d’une filiale ou prendre une part ou la totalité du capital d’une autre entreprise. On prend certains seuils selon les pays : il faut prendre au moins 10% (ou 20% dans certains pays) du capital d’une entreprise à l’étranger, en dessous c’est du placement d’argent et non pas un investissement. Ces IDE se sont très fortement développés : Figure 7 : (en flux : pendant une année, en

économique Ces modèles permettent de faire des prédictions mais elles sont souvent erronées. Il y a deux raisons : Il existe des phénomènes non-anticipable qui viennent changer des données économiques Les modèles sont imparfaits. Malgré ces erreurs il faut utiliser les prévisions des économistes, si sur chaque cas particulier les prévisions sont fausses, en moyenne elles sont vraies. Il vaut mieux utiliser un modèle imparfait que pas de modèle du tout. Tout modèle repose sur des relations de causalité

multinationalisation de la production. La troisième dimension, la mobilité internationale des capitaux, est étudiée dans le chapitre suivant. En premier lieu, il faut aborder le commerce international sous un angle d’abord descriptif et dynamique pour savoir comment il a évolué, sous quelles formes il a existé, entre le protectionnisme et le libre-échange. Ensuite, il faut souligner les analyses théoriques et les mécanismes économiques qui justifient la libéralisation des échanges. Enfin, la question du protectionnisme

certains nombres de grands patrons : BILL GATES), des RESEAUX ou des États à d'autres échelles que leur propre territoire. RESEAUX : on parle de réseau transnational lorsqu'on évoque une entreprise présente dans plusieurs pays. On parlera alors de FMN c'est-à-dire Firme Multi Nationale (McDo, Coca-Cola, Carrefour...) Problématique générale : Comment se mesure et s'exprime les principales inégalités de richesse et de développement à l'échelle mondiale ? I/ MONDIALISATION ET INTERDEPENDANCE

ses propres règles et attribue son propre prix et son propre salaire. C’est une idée qui naît du Mercantilisme. Le mercantilisme : une pensée économique qui prend place entre le XVI-XVIIIe qui prône le développement économique des nations, il faut que l’Etat prenne part à la vie économique. Les Etats vont faire en sorte que les commerçants internationaux puissent déployer leurs activités sur le territoire. POLANYI montre que la notion de marché a ses origines au XVIIIe siècle dans le développement

puissance de la Chine ne peut pas s’analyser comme ceci. Nous expliciterons ce point. Quant au titre de l’ouvrage, il renvoie à la multiplicité et à la complexité des relations entre les États, mais aussi entre et avec les nouveaux acteurs transnationaux (FMN, ONG…), ainsi qu’aux défis planétaires. L’ouvrage est divisé en cinq grandes parties. La première évoque la naissance et l’évolution de la mondialisation, la seconde la remise en cause de l’hégémonie américaine, la troisième le paradoxe de la

acteurs les entreprises capitalistes > connaissent une concentration croissante > développement des conglomérats (Association d'entreprises regroupant des activités variées) > tendance à l'internationalisation > deviennent des FMN ( marché contrôlé par plusieurs grandes firmes = oligopole ) > modification du mode de gestion des entreprises > sont gérées davantage par les managers qui constituent la techno-structure ( dissociation entre gestion et propriété de l'entreprise