Faut Il Rejeter Les Traditions

mesure de prendre le pouvoir, de constituer un gouvernement ouvrier ; elle lui fournit une légitimation et est source de motivation pour mobiliser les masses populaires. Cette représentation dans la conscience populaire est qualifiée de « sainte tradition » par R.Luxembourg. Néanmoins elle n’est pas qu’un produit de l’imagination populaire car elle a été étayée par de nombreuses productions : parti social-démocrate allemand qui réplique à l’abondante littérature hostile niant le caractère socialiste

Répondre à la question demandée. Introduction (partie la plus importante), développement logique qui découle de cette introduction. La question du plan est peu importante. La conclusion n’est pas nécessaire, nous n’avons pas de problèmes à trancher. Il faut pouvoir argumenter sans forcément être d’accord avec les auteurs étudiés. Mardi 11 octobre 2005 La philosophie politique est une forme de rencontre entre les grands textes, les grands auteurs. C’est la rencontre entre la pensée et de l’autre

d'une contradiction. Le contraire de la tolérance, l'intolérance peut se définir par la tendance à ne pas supporter les personnes qui ont d'autres opinions que soi et cela peut conduire à la violence car l'intolérance engendre le refus et le rejet. Selon la citation de Sade, l'intolérance et la violence qui peut en découler seraient donc la qualité des forts car ils n'ont pas peur de s'affirmer. La tolérance devient donc un manque d'action, un manque de courage, ce qui va de paire avec l'adjectif

au fait de “bien s'alimenter” (I). D’autre part, nous essayerons également de démontrer que l'alimentation revêt une importante dimension culturelle et par conséquent que “bien s'alimenter” peut être compris comme le fait de suivre les codes et traditions alimentaires de sa culture (II). Enfin, dans un dernier moment, nous nous efforcerons de décrire les enjeux éthiques de l’alimentation : “bien s'alimenter” impliquant donc de faire des choix qui ne nuisent pas aux autres êtres vivants ou à l'environnement

Le Prince est un recueil de conseils, des conseils en fonction de situation. Chaque chapitre correspond à une étude de cas. Il dresse le portrait de l’homme politique le plus apte à maintenir l’Etat et à unifier le pays. Il s’inscrit dans une tradition littéraire que l’on appelle le Miroir des Princes. On doit y lire les qualités que doit avoir un prince. Un tel ouvrage est généralement dédicacé. Cet ouvrage est dédicacé à Laurent de Médicis. Ce qu’il y a de particulier c’est que Machiavel n’était

lui-même, non pas sa finalité, mais les moyens d’assumer son économie interne momentanée. La croissance physique, et particulièrement les crises de croissance, ont des répercussions éducationnelles importantes, notamment au niveau de la fatigue. Il ne faut proposer à l’enfant que des expériences à sa portée, tenant compte de son état d’évolution, mais aussi de ses caractéristiques momentanées. L’éducateur doit aussi prendre en considération : - les différences de tempéraments (émotif, non émotif, timide

contact avec l’occident par le biais de la colonisation est forcément pénétré d’idées telles que la liberté ; le libre choix ; les droits de l’homme… De ce fait à tout prix il veut se démarquer de certains aspects de la tradition qu’il juge néfastes ou qu’il a tendance à rejeter car vide de bon sens de liberté du fait que la personne n’a pas choisi, on le fait à sa place. Ce qui explique la révolte de Kany. Une révolte que Maman Téné qualifie comme un sacrilège. Tandis la soumission se trouve récompenser

Marchand, Le scepticisme. Vivre sans opinions, Paris, Vrin, collection « bibliothèque des philosophies », 2018, 240 p., 23 €. Selon une longue tradition, le scepticisme n’est pas une doctrine sérieuse, à tel point que nous pouvons nous demander s’il a jamais existé de vrais sceptiques. Le sceptique affirmerait que tout est incertain, et qu’il faut, par conséquent, douter de tout. Quitte à tomber dans l’incohérence : si le sceptique affirme péremptoirement qu’il doute, alors, comme l’écrivait

volontairement car l'homme ne cherche que le bien, que son bien, et que le mal n'est qu'une illusion qu'il prend pour le bien. Kant, lui, reconnaissait à sa juste valeur la réalité du bien et du mal, mais considérait que l'on ne peut pas et qu'il ne faut pas chercher à savoir ce qu'est le bien et le mal, mais que la morale est une attitude que l'on doit s'imposer par devoir. Et c'est justement le fait d'agir selon ce devoir qui rend l'attitude morale. Saint-Thomas d'Aquin qui fut avec Aristote puis

la question reste néanmoins délicate à traiter. Elle demande en effet quelques connaissances historique (exemple classique : l'arrivée des européens sur les terres des Amériques) car autrement l'exercice se transforme trop facilement en verbiage. Il faut également au préalable travailler la question, car la notion de juger la valeur d'une culture revient à la question de comparer différentes cultures. C'est donc un sujet classique mais qui reste difficile si la question n'a pas été étudiée auparavant