Faut Il Savoir Mentir

Descartes se demande si pour être heureux il faut se mentir  exposant alors deux sortes de bonheur : un bonheur aveugle et une vision de la réalité qui risque de repousser celui-ci. Descartes commence par exposer de manière claire son doute : faut il être heureux quitte à se cacher des choses, en s’attachant à considérer ce que l’on possède afin de mieux oublier ce que l’on a pas, ou ne vaut il pas mieux ‘’avoir plus de considération et de savoir’’, et donc connaître la juste valeur des choses

action ne possède pas la liberté et n’est donc pas responsable ? Contrairement au droit qui, d’une certaine manière, contraint, puisque tout manquement au respect des lois est sanctionné, l’obligation morale n’est jamais contrainte matérielle. Que faut-il donc entendre par obligation ? Dans la culture latine, obliger se réfère au droit d’un créancier à exiger du débiteur le remboursement de sa dette, et être obligé désigne le devoir du débiteur à s’acquitter de cette dette conformément à l’engagement

ses dents, son petit lambeau de bonheur ? Dites, à qui devra-t-elle mentir, à qui sourire, à qui se vendre ? Qui devra-t-elle laisser mourir en détournant le regard ?Créon, hausse les épaulesTu es folle, tais-toi.AntigoneNon, je ne me tairai pas ! Je veux savoir comment je m'y prendrais, moi aussi, pour être heureuse.Tout de suite, puisque c'est tout de suite qu'il faut choisir. Vous dites que c'est si beau la vie. Je veux savoir comment je m'y prendrai pour vivre.CréonTu aime Hémon ?AntigoneOui,

Beaumarchais à travers Figaro. Dans cet extrait on assiste à un monologue théâtralisé, en effet Figaro nous livre sa vie, dans un discours sans interlocuteurs, il se confie à lui-même ce qui donne une impression de sincérité. Il n'y a aucune raison de se mentir à soi-même, cela renforfe la solitude du personnage, comme si c'était une fatalité dans sa vie. Beaumarchais, à travers l'exemple de la vie de Figaro, a voulu montrer au spectateur la critique porté par le dramaturge et son personnage. On peut remarquer

uniquement si ceux qui la dirigent possède le savoir. « le bon gouvernement est celui du philosophe roi » Platon est anti démocrate = démocratie est le pouvoir de tous donc de n'importe au détriment du savoir. Il faut œuvrer a l'unité de la cité. La politique soigne les con,duites humaines pour éviter le conflit d’intérêt particulier. Problème de ce point de vue : risque d'abus de pouvoir de despotisme. « seuls les dirigeants peuvent et doivent mentir quand le bien de la cité l'exige » Jacques

peut être l’une des bases de l’éducation. Par exemple quand on est enfant nos parents nous apprennent à être honnête et de dire la vérité quand on a fait une erreur. On doit être nous même avec autrui, ne pas cacher sa personnalité, être soi-même, il faut s’affirmer dans une relation que se soit au travail, dans sa famille ou dans la vie quotidienne. Assumer ses défauts, son caractère, peut être difficile à accomplir. La capacité de s’exprimer sans détour, on peut l’associer à l’autorité supérieure

connaissance immédiate de sa propre existence ainsi que de ses états et de ses actes. Le terme signifie étymologiquement « avec la connaissance de ». La conscience est un savoir accompagnant la vie, les pensées et les actes d’une personne. C’est même, si l’on en croit Locke, la conscience de soi qui fonde la possibilité de se savoir une seule et même personne tout au long de sa vie. En ce sens il semble y avoir une équivalence entre la conscience de soi et la connaissance de soi. Pourtant suffit-il

Augustin : à la fois du futur qui n’est plus et du passé qui n’est pas encore. Les choses à venir doivent exister puisque certains les prédisent. Un fait d’ordre mental. Certaines prédictions sont vraies, il faut donc que certains voient à l’avance. Or comment voir ce qui n’est rien ? Il faut que l’avenir existe d’une certaine manière. De même, narration du passé susceptible de vérité suppose une vision mentale passée, sur quelque chose qui n’est rien. Contradiction entre 2 évidences : une forme

et le juger. (Bergson). La conscience et la liberté La question de la liberté ne peut se poser que pour une conscience, c’est-à-dire pour un être capable de se demander si la situation dans laquelle il est plongé lui convient ou non. Mais il faut aller plus loin : la conscience est liberté, qu’elle veuille ou non (Sartre), c’est-à-dire que je suis toujours responsable de la façon dont je réagis aux situations qui me sont faites (je peux m’en accommoder, en prendre mon parti, me résigner, me

tellement différente du reste, tellement remarquable, qu'elle serait immédiatement reconnue comme telle, à l'unanimité. Mais de telles affirmations sont autant de préjugés sans fondement. Pour avoir une réelle idée de ce qu'est la perfection, il faut tout d'abord savoir la définir. Mais la définition parfaite de celle-ci ne peut être trouvée que par un être parfait ! Il est donc logique que je me dévoue pour vous tout vous expliquer, de A à Z. J'entend déjà les petits malins me dire qu'à m'écouter parler