Faut Il Toujours Condamner L

clé d’ interprétation. « Quel est donc cet incalculable sentiment qui prive l’esprit du sommeil nécessaire à la vie ?-écrit-il Mais Camus tire des conséquences de cette constatation de l’absurde : il faut donner un sens à la vie puisqu’ « il s’agit de vivre ». Et voilà que Sisyphe, l’homme condamné par la colère des dieux « à rouler sans cesse un rocher jusqu’au sommet d’une montagne d’où la pierre retombait par son propre poids »,arrive par son geste absurde à donner une signification à son être

conflit entre croyance et sciences. Ainsi Socrate a été accusé d’impiété, de corrompre la jeunesse et d’introduire de nouvelles divinités. Socrate se disait habitait par un daemon, qui a été considéré comme une nouvelle divinité. Il sera condamné à mort. Les pièces de théâtre donneront deux visions contradictoires du personnage. Chez Aristophane il est athée, tandis qu’il est religieux chez Xénophon. Il y a donc une idée de l’athéisme qui n’est pas claire dans la Grèce antique

Sisyphe, La Peste, l’Etranger etc illustrent le cycle de l’absurdité Que faut-il faire pour aborder ce monde ? -ne pas baisser les bras -le suicide n’est pas une solution - l’oubli n’est pas une solution → Camus rejette cet «espoir», il ne faut pas se laisser consoler par la religion non plus : si on se met derrière une entitié2 religieuse, on accepte tout, il ne faut pas se cacher derrière la religion -d’après Camus il faut vivre le jour et se révolter 1.changer d’attitude et accepter l’absurdité :

entretenu, la situation dans les prisons françaises semble être loin du « paradis » auquel certains la comparent. Pourtant, nombreux sont ceux qui continuent à penser qu’il faut durcir et renforcer les politiques d’incarcération, car si, précisément, un détenu sur deux récidive (« 46% des ex détenu-e-s sont à nouveau condamné-e-s et réincarcéré-e-s dans les cinq ans suivant leur libération »), c’est bien parce que les conditions de détentions ne sont pas suffisamment dissuasives. Certains estiment

pas intolérant de dénigrer une idée ? Mais si critiquer une idée est de l’intolérance, faudrait-il alors renoncer à la critique pour être tolérant ? La tolérance consiste-t-elle à accepter toutes les idées sans vouloir les examiner et les juger ? Ne faut-il pas du moins critiquer les idées intolérantes ? La critique philosophique ne serait-elle pas la condition de la tolérance même ? Toute idée, en tant qu’elle est l’expression naturelle de l’homme comme être pensant, a droit à l’existence

des innocents. » ASPEcT HISTORIQUE ET CULTUREL Raphael PORTIER « D’après l’histoire, la peine de mort est considérée comme l’une des toutes premières sanctions pénales. Pour pouvoir retrouver les premiers témoignages de peines de morts, il faut remonter jusqu’à l’antiquité, plus exactement au code d’Hammurabi (daté de 1750ans avant JC), qui est le premier texte explicite sur la peine de mort comme étant une sanction, pour avoir commis un crime capital. Cette loi datant de la période Babylonienne

parloirs que sur la demande des personnes ayant un droit de visite et que le temps soit limité, cela leur est moralement très bénéfique. • Les unités de vie familiale connues également sous le sigle de UVF sont des espaces destinés aux détenus condamnés à de longues peines et ne bénéficiant pas de permissions de sortie. Depuis 1999, ils sont créés dans l'enceinte pénitentiaire, sans surveillance à l'intérieur même de ces espaces, et permettent à la famille dont l'un des membres est incarcéré de

Victor HUGO Le dernier jour d’un condamné PRÉFACE DE LA PREMIÈRE ÉDITION Il y a deux manières de se rendre compte de l'existence de ce livre. Ou il y a eu, en effet, une liasse de papiers jaunes et inégaux sur lesquels on a trouvé, enregistrées une à une, les dernières pensées d'un misérable ; ou il s'est rencontré un homme, un rêveur occupé à observer la nature au profit de l'art, un philosophe, un poète, que saisje ? dont cette idée a été la fantaisie, qui l'a prise ou plutôt s'est laissé

notre passé et d’un autre coté les conséquences de nos actions passées ne sont pas à jamais irrévocables, on peux toujours tenter de faire changer les choses. Dans une première partie nous verrons que le passé ne peut être changé et dans une seconde partie nous verrons que néanmoins nous ne sommes pas déterminé à subir notre existence à cause de nos choix passés, nous sommes toujours libre de choisir notre futur. I. Le passé est irrévocable, il ne peut être changé. - Le passé est le temps de

pénal, les conséquences sont dramatiques, pour la victime et l’auteur de l’acte. Le viol, les vols à mains armées, etc…sont des crimes (pas que des meurtres). Les prisons sont remplies de petits délinquants => problème. Pour vivre en société, il faut connaitre un minimum de code pénal (pas pareil pour toutes les matières). Sans connaitre les règles fondamentales de droit pénal, cela pose un problème (cf. marginaux). Cette matière est spectaculaire, les faits sont dramatiques et impressionnants