Fauve

Il craignait les blafards dimanches de décembre, 45 Où, pommadé, sur un guéridon d’acajou, Il lisait une Bible à la tranche vert-chou ; Des rêves l’oppressaient chaque nuit dans l’alcôve. Il n’aimait pas Dieu ; mais les hommes, qu’au soir fauve, Noirs, en blouse, il voyait rentrer dans le faubourg 50 Où les crieurs, en trois roulements de tambour, Font autour des édits rire et gronder les foules. — Il rêvait la prairie amoureuse, où des houles Lumineuses, parfums sains, pubescences

Ex 5 : Sous le signe du scorpionUn jour, je trouvai dans le mur une grosse femelle qui portait ce qui, à première vue, paraissait être un manteau de fourrure fauve. Un examen plus attentif me révéla que cet étrange vêtement était fait d'une masse de bébés minuscules accrochés au dos de la mère. Cette famille me ravit et je me mis en tête de l'introduire en fraude dans ma chambre pour voir grandir les petits. Je parvins à faire entrer toute la famille dans une boîte d'allumettes que j'emportais en

roman, est une femme complexe par le nombre de facettes qui composent sa personnalité. Des facettes qui ont toutes comme point commun un attrait profond pour l’animalité. Trois axes permettent d’englober ce qui définit l’indomptable Vellini. a) Le fauve dans tous ses états Ce personnage représente à elle seule toutes les images animales, mythologiques et diaboliques dispersées dans l’œuvre aurevilienne. Vellini, pourrait servir de paradigme. En effet, elle a la démarche fascinante qui évoque celle

Au large, tout là-bas, lente s’est retirée, Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage, Au profond de son lit de nacre inviolé Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage, Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé. La mer aime le ciel : c’est pour mieux lui redire, À l’écart, en secret, son immense tourment, Que la fauve amoureuse, au large se retire, Dans son lit de corail, d’ambre et de diamant. Et la brise n’apporte à la

est très proche de King, un jeune lionceau  qu'elle a recueilli et nourri quant il était tout petit. King est maintenant devenu un fauve impressionnant mais Patricia continue de jouer avec lui sans prendre gare à sa puissance . Des Masaï vivent aux abords de la réserve, et Oriounga, un jeune guerrier, est séduit par le pouvoir que la jeune fille exerce sur le fauve. Lui  n’a qu’un rêve : affronter un lion. En effet, chez les Masaï, pour devenir un homme, il faut vaincre un lion en combat singulier

répondre à la problématique. L’obscurité l. 1 : « le soir » chp. lex. de l’obscurité ; « 3 becs de gaz » peu d’éclairage (pauvreté) l. 2 : « éclairent le passage » manque de présence de lumière dans l’endroitl. 4 : « taches de clarté fauve » le mot « fauve » donne une idée que la lumière est rarel. 5 : « ronds d’une lueur pâle » amplifie le manque d’éclairage de plus en plusl. 8 : « grandes ombres » chp. lex. de l’obscuritél. 10 : « galerie souterraine » manque de soleil, donc de lumièrel

exercices 2, 3 et 8 page 365 SAUF - les adj. de couleur composés de deux mots : ils restent invariables (des vêtements rouge vif) - les adj. de couleur dérivés d'un nom : ils restent invariables (des vestes orange, des yeux marron...) sauf rose, fauve, mauve, pourpre et écarlate qui s'accordent. Fais l'exercice 9 page 365 - les adj. composés d'un premier élément en -o : l'élément en -o reste invariable (les liens franco-italiens) - les adj. composés d'un adverbe et d'un adjectif :

Yakouba est un album jeunesse écrit et illustré par Thierry Debieu, ce livre a été publié en 1994. Nous reconnaissons les caractéristiques de l’album jeunesse par l’omniprésence d’image, par son format au nombre de pages peu élevé ainsi que par la première de couverture cartonnée. Cette oeuvre est entièrement illustrée en noir et blanc, seule la première et la dernière de couverture sont recouvertes d’une couleur ocre. Ce livre nous conte l’histoire d’un jeune garçon du prénom de Yakouba. C’est

lesquelles elle était enfermée;parfois des hallucinations la prenaient, elle se croyait enfouie au fond d'un caveau, en compagnie de cadavres mécaniques, remuant la tête agitant les jambes et les bras, lorsqu''on tirait des ficèles.” II/Un instinct de fauve s'éveille de Thérèse à la rencontre de Laurent. Quand Laurent rentra pour la première fois, Thérèse porta attention sur Laurent en examinant tous son corps. Elle finit par même ne plus s'occupé de son travail cherchant des excuses pour monter à l'étage

! LA SERVEUSE. - Oh ! un rhinocéros ! L'ÉPICIÈRE, qui montre sa tête par la porte de son épicerie. — Oh ! un rhinocéros ! (A son mari, resté dans la boutique.) Viens vite voir, un rhinocéros ! (Tous suivent du regard, à gauche, la course du fauve.) JEAN. - II fonce droit devant lui, frôle les étalages ! L'ÉPICIER, dans sa boutique. - Où ça ? LA SERVEUSE, mettant les mains sur les hanches. - Oh ! L'ÉPICIÈRE, à son mari qui est toujours dans sa boutique. - Viens voir ! (Juste à ce moment