Fédération de la gauche démocrate et socialiste

La Gauche en France depuis 1945 Un regard rapide sur soixante années de vie politique : naissances, évolutions, morts de partis politiques ; lagauche transite de l’opposition, souvent, au pouvoir, rarement. Introduction Depuis plus de deux siècles, la notion de gauche est un élément déterminant de notre vie politique. Mais qu’est -ce que la gauche ? La division de la classe politique française en deux camps antagonistes date des premiers mois de la Révolution française. Dans l’Assemblée autoproclamée

Gaston Paul Charles Defferre, né le 14 septembre 1910 à Marsillargues (Hérault) et mort le 7 mai 1986 à Marseille, est un résistant et un homme politique français. Membre de la SFIO puis du Parti socialiste, il est maire de Marseille d'août 1944 à novembre 1945, puis de mai 1953 à sa mort en 1986. Parlementaire et ministre à plusieurs reprises sous les IVe et Ve Républiques, il donne son nom à deux lois importantes : la loi-cadre de 1956 ouvrant la décolonisation en Afrique et celle de 1982, sur

maintien de la souveraineté française. Ce dernier se dit « prêt à assumer les pouvoirs de la République ». Des dirigeants politiques de différentes sensibilités politiques, comme Guy Mollet[2] ou Antoine Pinay[3], se rallient à cette idée. D'autres, à gauche, s'inquiètent et manifestent contre le retour du général de Gaulle au pouvoir dans de telles circonstances. C'est le cas du Parti Communiste, de Pierre Mendès France ou de François Mitterrand[4]. Le président René Coty[5] pense que la situation impose

forces politiques qui se sont rénovées par elle-même (Parti Communiste, SFIO), ou sont issues de la résistance (Mouvement Républicain Populaire) MRP = résultat de l’association de partis démocrates- chrétiens mineurs fondés durant la première moitié du XX° dont le plus important semble être le Parti Démocrate Populaire →1920 : Fondement du PDP par Francisque Gay - grand attachement aux valeurs républicaines, prône l’élaboration d’une justice sociale appuyée sur les valeurs du catholicisme social

de la fédération de centre-droit catalane Convergence et Union (CiU), et président de la Généralité de Catalogne. Ancien conseiller aux Travaux publics de la Généralité de Catalogne, entre 1995 et 1997, puis à l'Économie et aux Finances les quatre années suivantes, il a ensuite été conseiller en chef entre 2001 et 2003. Cette année-là, il échoue à maintenir la fédération CiU au pouvoir lors des élections régionales, et devient l'année suivante chef de l'opposition au président socialiste de la

initier la création de partis politiques. Mobiliser l’électorat ouvrier pour faciliter au maximum l’élection de certain parlementaire. Cela est caractéristique des mouvements ouvriers et syndicaux, les partis d’origines extra parlementaires (partis de gauche) dans certains cas, il y a une décision officiel des syndicats de crée le parti politique : Labour Party en 1900, à l’initiative du congrès Trade Union. Jusque Tony Blair, pour être membre du parti travailliste, il fallait être membre de l’un des

associations, des syndicats… Ils sont davantage des partis de masse composés surtout de personnes issues de milieux populaires. Ils sont financés par les cotisations et veulent donc multiplier leur nombre d’adhérents. (Exemple : le Parti social-démocrate allemand compte 1 million d’adhérents à la veille de la IGM ; les partis ouvriers européens représentent bien ce mouvement) Chronologiquement, ces différents types de parti sont apparus au même moment, c'est-à-dire au milieu du 19ème siècle. C’est

Cette thèse est inséparable du syndicalisme agricole français. Démentie dès les origines du syndicalisme agricole car dès les premiers syndicats, leur caractéristique c'est d’être extrêmement politisés. Toujours placés sous le signe des affrontements gauche/droite. La seule fois où l'unité paysanne a été réelle en France c'est parce que vichy l'a imposé (40-44). le syndicalisme de paysan ne se veut pas un syndicalisme de salariés mais de petits patrons indépendants. L'agriculture est organisée à partir

à décider ? Les élus de la nation ? Ou celle de l’exécutif ? A : une organisation des pouvoirs, terreau de la crise du 16 mai 1877. 1) Le compromis intenable de 1875. Il se fait entre les républicains modérés (le centre gauche de l’assemblée) et le centre droit (orléanistes). Il se fait autour de 2 principes : Il faut un exécutif fort. Il faut une seconde chambre (le sénat) dont la vocation serrât de s’opposer à une supposé démagogie de la 1ère chambre (l’assemblée)

des années terribles de scandales et d’attentats, permettant au terrorisme de se faire un nom au sein de la politique italienne. Tout d’abord, rappelons le contexte. La fin des années 1960 voit en Europe l’arrivée de certains mouvements d’extrême gauche européens empruntant la voie de la violence. Si en Allemagne, le parti communiste est interdit, celui-ci reste autorisé en France et en Italie sans toutefois pouvoir entrer dans le gouvernement. Toute une génération hantée par le nazisme et, en ce