Fédération de la gauche démocratique

L’HISTOIRE DU FRONT DE GAUCHE : Le Front de gauche procède au départ d'un accord électoral entre le Parti de gauche et le Parti communiste français. Le 18 novembre 2008, les deux partis annoncent officiellement leur alliance, qu'ils qualifient de « partenariat », dans le cadre d'un « front de gauche pour une autre Europe démocratique et sociale, contre la ratification du traité de Lisbonne et les traités européens actuels. » Le front de gauche est une alliance électorale française initiée par

officielle de l’ADAV et du SDAP, lors du congrès de Gotha. Le Parti socialiste des ouvriers allemands (SAP) se dote d’un programme révolutionnaire, mais propose également des réformes visant à améliorer la condition ouvrière, dans le cadre d’un Etat démocratique. On constate donc que dès ses débuts, le mouvement socialiste allemand est traversé par des divisions : une frange révolutionnaire se démarque d’éléments appelés réformistes - ou révisionnistes - largement critiqués par Karl Marx. En 1890, le SAP

officielle de l’ADAV et du SDAP, lors du congrès de Gotha. Le Parti socialiste des ouvriers allemands (SAP) se dote d’un programme révolutionnaire, mais propose également des réformes visant à améliorer la condition ouvrière, dans le cadre d’un Etat démocratique. On constate donc que dès ses débuts, le mouvement socialiste allemand est traversé par des divisions : une frange révolutionnaire se démarque d’éléments appelés réformistes - ou révisionnistes - largement critiqués par Karl Marx. En 1890, le

situation et leur combat Pendant près de quarante ans, l’identité kurde subsiste mais demeure en sommeil, sans aucune reconnaissance ni statut officiels : en Turquie, les Kurdes n’existent pas. Il faut attendre les années 1970 pour qu’au sein de la gauche turque, et notamment communiste, on commence timidement à parler du problème kurde. E n 1978, le PKK, Parti d e s Travailleurs du Kurdistan, est créé, avec à sa tête Abdullah Ocalan. Il mêle une approche progressiste visant à faire évoluer la société

des forces partisanes à gauche comme à droite qui sont critiquées de l’extérieur et connaissent de sérieuses difficultés au plan interne et sont concurrencées par la montée des ligues dans lesquelles les historiens français, à la différence des anglo-saxons ne voient pas l’expression d’un fascisme français. II/ La crise du 6 février 1934 et l’échec d’une sortie de crise par la droite et la réforme de l’Etat Si les lectures immédiates de l’événement y ont vu, à gauche, une tentative de complot

Cette thèse est inséparable du syndicalisme agricole français. Démentie dès les origines du syndicalisme agricole car dès les premiers syndicats, leur caractéristique c'est d’être extrêmement politisés. Toujours placés sous le signe des affrontements gauche/droite. La seule fois où l'unité paysanne a été réelle en France c'est parce que vichy l'a imposé (40-44). le syndicalisme de paysan ne se veut pas un syndicalisme de salariés mais de petits patrons indépendants. L'agriculture est organisée à partir

société démocratique américaine. La société pré-démocratique, organisée par une grande et subtile hiérarchie, n’existe plus. Il y a une aspiration absolument générale à l’égalité. Tocqueville estime que, paradoxalement, l’égalité, trop générale, trop brutale, trop poussée, peut mettre en péril la liberté individuelle, acquis le plus précieux de la démocratie. La souveraineté du peuple La notion avait déjà été conceptualisée par Rousseau, qui en faisait le fondement de l’organisation démocratique. Mais

Le Mouvement indépendantiste martiniquais (MIM) est une formation indépendantiste de gauche créée le 1er juillet 1978 par Alfred Marie-Jeanne avec pour objectif « la décolonisation et l'indépendance de la Martinique ». Mais aujourd'hui, le MIM ne fait plus de l'indépendance un objectif immédiat. Pour preuve, lors de la séance du 18 décembre 2008 du Congrès des élus départementaux et régionaux de la Martinique, les élus indépendantistes du MIM ont voté à l'unanimité pour une évolution statutaire

importante république de l'URSS. Elle était dominée par le Parti communiste, unique à l’époque. Son régime politique était donc socialiste et autoritaire. L’État avait pleinement le contrôle sur la vie économique du pays et les libertés dites démocratiques étaient restreintes ou voir limitées. Peu après, le règne de la « terreur « s’est assoupli avec la mort de Staline en 1953. La population russe a du attendre que Mikhaïl Gorbatchev soit élu à la tête du Parti communiste soviétique en mars 1985

volonté de l’État turc de vouloir laïciser le pays par la domination d’un islam sunnite hanéfite pose problème. L’État turc veut créer une unité sous l’égide musulmane afin de légitimé la nation turque, une nation qui se veut républicaine et démocratique. Cependant elle ignore, voire rejette la pluralité de l’Islam. De ce fait la fragile unité reposant sur la religion est elle même remise en cause. Transition : Dans ce contexte il nous faut voir en quoi le ciment islamique n’est qu’un illusion