Félin hybride

- Métissage – croisement de deux personnes - Pour aller plus loin, le métissage est le mélange de deux entités, de deux races, comme les hybrides ! Pourquoi le métis ne serait pas un hybride, dans le genre un « blanoir » (blanc + noir) qui prend un peu de propriété du blanc et un peu de propriété du noir ! Dans ce sens un métis est un hybride composé par la combinaison et l’assemblage de deux races ! L’hybride est une race issue du croisement de deux races, c’est pour ça que je fais

TP2 : Correction Partie 1 1) - Caractères étudiés : Longueur des ailes ; couleur du corps. Phénotype : - Longueur des ailes : [longues] ou [vestigiales] - Couleur du corps : [gris] ou [ébène] - Génotypes : • 1 gène ; 2 allèles : Longueur des ailes : 1à [longues] et 1à [vestigiales] Couleur du corps : 1à[gris] et 1à [ébène] • Rapport de dominance : La F1 présente 100% de [longues ; Gris], les individus de F1 sont hétérozygotes puisque les parents sont homozygotes, or ils n’expriment que les caractères

facteurs chez les hybrides, les deux facteurs associés chez l'hybride F1 coexistent et restent distincts. Mendel introduit donc la notion d'hérédité particulaire. B. Le dihybridisme Lors d'une expérience de dihybridisme, il retrouve dans tous les cas l'uniformité des hybrides en F1 et en F2 (quatre phénotypes qui montrent que lorsqu'un hybride F1 fabrique ses gamètes il y a ségrégation indépendante de ces couples de caractères qui explique la production par les hybrides F1 de quatre type

Laisney Clémentine Chevallier Louise SVT Théorie d’évolution L’évolution s’est faite avec le temps et chaque période de temps a une évolution. En 3,8 milliards d’années, les espèces n’ont jamais cessé d’évolué. Pour essayer de comprendre et connaître la provenance de cette évolution de chaque espèces, des recherches ont été mise en place. Seules les fossiles nous permettent la provenance exacte d’une espèce (comme la baleine). http://gigadino.perso.orange.fr/images_dossiers/fossile3.JPG http://www

Exercice 1 : On formule l'hypothèse que chez la Souris, la couleur du pelage est gouvernée par un seul gène. Validez ou invalidez l'hypothèse proposée en la confrontant aux résultats des deux croisements. document : résultats de croisement de Souris |Croisement A |Croisement B | |[pic]

chez la souris la coloration du pelage est gouverné par un géne. en exploitant les resultats de ce croisement INFIRMEZ ou CONFIRMEZ cette hypothéseet DEDUISEZ le genotype des 2 parents en JUSTIFIANT VOTRE REPONSE on croise entre 2 souris GRISES, aprés plusieurs portées on denombre : 45 souris GRISES 21 souris ALBINOS 14 souris NOIRES c'est un croisement entre 2 souris portant le meme phenotype, le phenotype GRIS , il y a donc un seul caractére mis en jeu ,on suppose que c'est un monohybridisme

spécialité, Hatier 2002 et SVT, TS spécialité, Bordas 2002 Document de référence : - Un seul des caractères parentaux se manifeste chez l’hybride de première génération (loi d’uniformité de la F1). - Au cours de la formation des cellules sexuelles des hybrides, les facteurs responsables d’un couple de caractères différentiels se séparent de telle façon que chaque gamète a une probabilité égale de contenir chaque facteur (loi de la disjonction). Document 2 : caryotypes de la Drosophile, obtenus pour

Introduction : Notre objectif lors de ces expériences, est de grâce à un type de croisement génétique (monohybridisme), suivre l’hérédité d’un caractère génétique particulier. Pour faire ceci, nous devons premièrement établir quels sont les caractères et les allèles en jeu. Ensuite, nous allons établir des hypothèses, grâce à un échiquier de croisement, sur les génotypes et les phénotypes des générations suivantes. Enfin, nous observerons les phénotypes de générations suivantes pour comparer

Aide pour les exercices de génétique en TS. ANALYSE DES RESULTATS DE CROISEMENTS EXPERIMENTAUX Méthode de rédaction : présenter le croisement : caractère(s) étudié(s) déduire de l’homogénéité de F1 que les parents sont homozygotes indiquer si le caractère dépend d’un gène (monohybridisme) ou deux gènes (dihybridisme), à l’aide de F2 déduire de l’homogénéité de F1 les allèles dominants et récessifs donner les conventions d’écriture donner le génotype et les phénotypes des parents et des

caractères étudiés, 100 % des hybrides obtenus sont identiques. C'est la première loi de Mendel dite d'uniformité des hybrides de première génération. En F2, qui est obtenue par autofécondation de F1, on peut démontrer par des expériences de croisement-test, l'existence de trois génotypes différents : 25 % d'homozygotes dominants 50 % d'hétérozygotes 25 % d'homozygotes récessifs Un caractère se présente sous deux formes alléliques, mais les gamètes formés par un hybride ne contiennent qu'un seul