Félix Houphouët-Boigny

le 11 décembre 2003 à Lyon en France. Après ses études de mathématiques et d’actuariat (institut de science financière et d’assurance) à Lyon (France) il a vécu et travaillé dans plusieurs pays africain. Inquiété par le régime du président Felix Houphouët-Boigny après les indépendances de la Côte – d’Ivoire, il est emprisonné. Relâché, il connaît une vie d’errance et d’exil qui le conduit en Algérie, au Cameroun et au Togo. En 2000, il revient vivre en France. Le Prix du livre Inter 1999 est attribué

défaite de 1940, des propagandes étrangères, de la lutte de légitimité et d’influence entre Vichy et la France libre et des lourdeurs de l’exploitation coloniale. La conférence de Brazzaville au Congo en janvier 1944. Cette conférence préparée par Félix Eboué et voulue par De Gaulle réunit les représentants de tous les territoires de l’Empire français. De Gaulle est alors le chef de la France libre. Il reprend la vieille idée de l’assimilation, mais il n’est pas question d’indépendance. Il promet

citoyen britannique, renvoie sa décoration de Member of the British Empire pour protester contre le choix de camp effectué par son pays.[réf. souhaitée] Outre Paris, qui penche pour le Biafra, le Gabonais Albert-Bernard Bongo et l'Ivoirien Félix Houphouët-Boigny, soutenus et financés par l'Afrique du Sud et la Rhodésie, soutiennent le général Ojukwu afin de réduire l'influence du Nigeria anglophone en Afrique[1]. Le 6 juillet 1967, les compagnies pétrolières Shell, BP et American Overseas annoncent

française en 1893, la Côte d'Ivoire est devenue indépendante en 1960 et a été dirigée pendant plus de trois décennies par Félix Houphouët-Boigny, qui a longtemps bénéficié d'une conjoncture économique très favorable. A sa mort, en 1993, il laisse cependant un pays ruiné à la suite de la chute des cours du cacao et du café, ses deux principales richesses. Le successeurs d'Houphoüet-Boigny, incapables de relever l'économie, et promoteurs d'une idéologie xénophobe, finiront se trouver confrontés à une guerre

l’avènement de l’Afrique sur la scène internationale et comme cadre général des transformations plus profondes que ce continent a connues depuis un siècle. Parce que les noms de Haïlé Sélassié, Patrice Lumumba, Idi Amin Dada, Sékou Touré, Félix Houphouët-Boigny et, plus près de nous, Nelson Mandela constituent des supports emblématiques de toute une série de représentations et de sentiments relatifs à l’Afrique, et dans le même temps, une référence obligée pour tout ce qui touche à son histoire,

exemple, la prospérité de la Côte-d’Ivoire tient essentiellement aux investissements français qui développent la culture du cacao. Dans les années 1960, l’exportation du cacao, à l’origine du « miracle ivoirien », enrichit le pays. Le président Félix Houphouët-Boigny, très proche des dirigeants français, a choisi la voie du capitalisme avec une forte intervention de l’Etat et fait stocker le cacao pour faire monter les prix. Entre 1965 et 1975, le PIB par habitant de l’Afrique sub-saharienne croit en moyenne

rédaction est fait au sein d’un organe gouvernemental restreint : le comité interministériel. Cet organe est présidé par le général de Gaulle et est composé des quatre ministres d’Etat qu’il a nommés : Michel Debré, Guy Mollet, Pierre Pflimlin, Félix Houphouët-Boigny (il deviendra, en 1960, le premier Président de la Côte d’ivoire). Pour les questions techniques, le comité interministériel est assisté par un groupe de travail composé de juristes et de conseillers d’Etat qui est dirigé par Michel Debré

nouvelles thérapies (ou actes chirurgicaux) sur des pathologies considérées encore incurables il y a une quinzaine d'années (comme certains cancers, maladies auto-immunes...)] . Un vieillard dans sa souffrance s’écriait un jour : « Oh ! Nanan Félix Houphouët Boigny, malgré sa richesse et ses déplacements en Europe pour ses soins n’a pu pérenniser sa vie. Alors que cherche-je encore sur la terre ! Je veux mourir ! ». Que sais-je encore dans le milieu chrétien où l’on loue le Créateur, le Donneur de vie

maire de Porto-Novo sa ville natale et présent dans les instances territoriale du Dahomey et de l'AOF. Il sera, toute cette décennie, avec Senghor, mais sans grand succès, le défenseur acharné d'une confédération africaine multinationale (contre Houphouët-Boigny). C'est dans un climat de floraison partisane (spécialité dahoméenne puis béninoise avec les constitutions, 34 partis en 1991) que la République se met en place en décembre 1958. Apithy, fondateur, en 1951, du Parti républicain du Dahomey (PRD)

une "campagne d'action positive", appelant notamment au boycott des produits britanniques et des magasins tenus par des colons. Il faut y ajouter en outre des désobéissances civiles et des grèves. En Côte d'Ivoire, en soutien au RDA- PDCI de Houphouët-Boigny, les populations engagent la grève des achats afin de sanctionner les grandes compagnies coloniales et lancent la grève des impôts que l'administration exige en numéraires. Comme nous le verrons les autorités coloniales useront de la manière