Fenelon Voltaire Saint Lambert

libéraux. Comme les précédents, cet apologue manifeste une utopie dans laquelle Usbek pourrait avoir à méditer l'exemple d'Ibrahim le divin. Lettre 142 : ‘’Fragment d’un ancien mythologiste’’ qui est en fait, sous la couverture d’un pastiche de Fénelon, l’histoire de Law. Lettres 147 à 161 : Terreur au sérail : Uzbek est informé des désordres de son harem par les lettres venues d'Ispahan. Ses femmes lui écrivent des lettres passionnées, ou se plaignent de la sévérité excessive de l'eunuque noir

d’associations tels que les salons (Mme de Lambert de 1710 à 1733 : bel esprit, Mme de Deffand, Mme de Tencin, Melle de Lespinasse, Mme Geoffrin de 1749 à 1777), les académies (académie française, création de Louis XIV, en lien avec les académies de l’Europe entière), les loges, les cafés (café La Régence, place du palais royal à Paris, café Le Procope) et enfin, la correspondance. Les correspondances sont dès lors immenses, comme la correspondance de Voltaire avec 23000 lettres en 13 volumes. Cet idéal

l'Europe tout entière. Toute éducation aristocratique complète doit comporter un voyage à Paris, les échos de la vie littéraire des gazettes sont attendus, les classiques français circulent, les souverains appellent les écrivains comme conseillers (Voltaire, Diderot), la langue aussi se diffuse : en 1714, le traité de Radstadt, avec l'Empereur d'Autriche n'est rédigé qu'en français, signe d'une langue des élites. C'est Maupertuis, un savant et philosophe français qui préside l'académie de Berlin. Les

philosophie politique et la théologie engendrent des œuvres intéressantes et neuves dont les auteurs sont à la fois de profonds penseurs et de brillants prosateurs. Ainsi Jean Bodin, auteur d’un traité politique célèbre intitulé ‘‘La République’’, Saint François de Sales, grand écrivain catholique ; Pg No.10 Pg No.11 Calvin et Théodore de Bèze, théologiens protestants. Et l’on pourrait en citer bien d’autres. Deux écrivains, toutefois, se distinguent par leur génie et leur renommée : Rabelais

1747). a) Jean-le-Rond d’Alembert (1717-1783) Il est le fils naturel de Mme de Tencin (ancienne religieuse, maîtresse du Régent, femme de lettres qui tient un salon) et du chevalier Destouches. La mère fait exposer l’enfant sur le parvis de l’église Saint Jean-leRond, près de Notre-Dame. Il est recueilli par la femme d’un vitrier, Mme Rousseau (le père servira une pension). Il manifeste une intelligence précoce et brillante. Il fait des études de droit, de médecine. A vingt-quatre ans, il entre à l’Académie

Pléiade. Ronsard et Du Bellay. (p.6) 3.La crise de la renaissance. Le baroque. Montaigne. Agrippa d’Aubigné. Du Bartas. Sponde. Chassignet. (p.11) 4.Le XVIIème siècle. L’écrivain et la société de la cour. Les « modernes ». Malherbe. Théophile de Viau. Saint-Amant. Tristan l’Hermite. (p.17) 5.Le roman et la nouvelle dans la première moitié du XVIIème siècle. L’influence espagnole. Honoré d’Urfé. Charles Sorel. (p.21) 6.Les mouvement des idées. Descartes. Pascal. (p.23) 7.L’essor du théâtre. Corneille

sculpteurs  était  jugé  inférieur  à  celui  des  peintres.  Les  honneurs  leurs  échappent.  Il  est  ainsi  révélateur  qu’aucun  sculpteur  n’ait  été  nommé  directeur de l’Académie de France à Rome ou n’ait reçu la décoration de l’ordre de Saint‐ Michel, avant 1769.  De plus, il n’existait pas de fonction comparable à celle de premier  peintre  pour  les  sculpteurs.    Le  préjugé  qui  remontait  au  moins  à  Léonard  de  Vinci,  stigmatisant l’aspect mécanique de la sculpture perdurait donc en plein XVIIIe siècle

jouissance dans l’action, et la passion de vivre, ‘malgré tout’ »34. « avaient conçu pour lui une si tendre vénération, que je lui ai entendu donner par quelques-uns d’entre eux le respectable nom de père »35. 34 35 « Contemporain de Voltaire et déjà son ami, il estime [...] qu’elle ne compte point assez parmi les hommes pour être le but enviable des efforts sérieux de toute une vie »47. « Vauvenargues hésite et résiste longtemps, car il espère toujours pouvoir s’employer plus utilement

51.16.63. - Fax. 01.46.51.82.40. Mme BOUVIER & (Resp. Classe Prépa.) Lycée CONDORCET - M. LOBOT Proviseur 8, rue du Havre (9ème) Tél. 01.48.74.25.95. - Fax. 01.42.82.95.66. Mme LORENTE (PA) - Mme DAVEINE & Mlle DUPUY (Resp. Classes Prépas.) Lycée FENELON 2, rue de l’Eperon (6ème) Tél. 01.44.41.18.88. - Fax. 01.43.26.40.04. M. COURTIAU - M. VOLKMANN (PA) - Mme BARCLAY (Resp. Classes Prépas.) Lycée HELENE BOUCHER 75, cours de Vincennes 75971 Paris Cedex 20 Tél. 01.55.25.65.00. - Fax. 01.43.72.20.44

9782081214453 3,70 € • 190 pages. 9782081219687 3,40 € • 288 pages. BEAUVOIR Voir L’AUTOBIOGRAPHIE, p. 45, DE L’ÉDUCATION, p. 47, DES FEMMES, p. 48 BARTHES Voir LA BIOGRAPHIE, p. 46, DES FEMMES, p. 48, FAIRE VOIR : 18 ÉTONNANTS CLASSIQUES Saint-Pétersbourg, en 1919 : la jeune fille est engagée par Maria, une cantatrice de la haute société, pour être son accompagnatrice. Maria est belle et talentueuse ; Sonetchka est insignifiante et miséreuse. Parce que la soprano a tout, alors qu’elle-même