Feodal Vassalique

des institutions et des usages créant et régissant des obligations réciproque entre un seigneur et un vassal. L'une des obligations du seigneur étant de faire subsister le vassal par la remise d'un bien, le fief: c'est le régime féodal ou les relations féodo-vassaliques. Fidèle: Celui qui a juré fidélité, prêté serment. Fief: Tenure qu'un seigneur concède à son vassal en vue de lui assurer les moyens d'existence et de lui permettre de fournir au seigneur le service requis. (partie matérielle de

exerce son droit de ban. On l’appelle également « seigneurie justicière ». Banalité : monopole économique détenu par le possesseur d’une seigneurie ; redevance découlant de ce droit. Baron : vassal direct du roi ou d’un prince. Bénéfice vassalique : dotation de nature variable concédée par un seigneur à son vassal en échange de la fidélité jurée et du service. Bréviaire : recueil des prières de la messe. Bourgeois : habitant d’une ville, bénéficiant généralement d’une charte de franchise

que les anciens paguis (étaient des circonscriptions territoriales romaines). > Tout cela n’empêche pas l’existence de structures indépendantes : Le roi, l’Eglise, les villes. Section 1 : L’ordre féodal Le lien féodo-vassalique organise les relations de pouvoir. I- La seigneurie A- La seigneurie banale Le seigneur exerce son pouvoir de ban qui s’étend à tous les hommes qui vivent sur la terre. > Boratores, aristocratie fait la guerre. > Oratores

classes et domaines d'activités: ! " Le clergé, ceux-ci sont sous l'influence et le pouvoir de l'Église et pratique la prière. Ces individus de connaissances, sont les seuls qui savent lire et écrire, même la plupart des grands seigneurs féodaux étaient illettrés. L'écriture à cette époque n'est donc pas un mode d'approche pour la connaissance des textes. Cependant, d'autre moyen ont été mis à disposition du peuple comme la peinture, l'architecture, la sculpture, ... L'Église va profiter

des obligations bilatérales. Ces contrats naissent de la commandatio. Bilatéraux : principe de soumission au maître et de protection et d’assistance. Sous les carolingiens, la notion s’affirme, la commandatio se double d’un serment de fidélité vassalique. De plus en plus la royauté carolingienne s’appuie sur ces liens de dépendance. En 847, le capitulaire de Mersen : chaque homme libre est obligé de se choisir un seigneur. C’est un problème car la situation peut devenir dangereuse pour le Roi car

8ème-9ème siècle qu’au 5ème. Le M-A commence donc en 476. Première période : franque (dynasties mérovingienne et carolingienne). Deuxième période en 987, passage aux capétiens. Atomisation du pouvoir, féodalité (10ème siècle). 10ème-13ème siècle, période féodale, M-A intermédiaire. Petit à petit, cède la place au modèle politique de l’Etat royal. Le bas M-A. Après le M-A, les temps modernes. Renaissance (pas neutre), renaissance du monde romain. Vision d’un M-A obscur, médiocre entre deux moments intéressants

capitale est donc l’endroit ou le roi est présent. Le roi séjourné souvent à paris ce qui à tendance à donner à paris une importance considérable. 1682 louis 14 se fixent à Versailles, fixation des services à paris. Rois itinérants car reste du système féodal. Le roi doit se faire voir, vivifier ce lien de personne à personne, maintenir le contact avec les peuples. A partir de louis 14 le roi ne se montre plus il se coupe du peuple. À la 18 ème mise en place des grilles à versailles, les rois se coupent

comme les gardiens de la paix et les dispensateurs de la justice. Problème : de nouveau l’expérience Carolingienne se solde par un échec : ils ont une conception patrimoniale du pouvoir : antinomique avec la réalisation de l’unité. 888 : Temps féodaux : relations politiques entre les personnes, qui reposent sur des engagements de soumissions à l’égard de supérieurs, engagement d’aide, de fidélité, de conseil, de personnes à personnes, qui sont consolidées par la remise du puissant, le seigneur

une terre avec les hommes et les revenus (récoltes, redevances) qui s'y rattachent, pour leur permettre de vivre et d'entretenir chevaux et armement. D'abord appelé bénéfice, ce bien concédé est le fief (du latin feodum ), fondement de la société féodale qui se développe à partir du Xe siècle. Celui qui accorde ce fief au vassal est le suzerain. Les liens de vassalité L'affaiblissement du pouvoir royal au Xe siècle et l'insécurité favorisent le renforcement de la vassalité. À la fin du siècle, presque

dynastie dans le domaine royal, leur conférant un pouvoir sacré qui les place au-dessus de tous les membres de l’aristocratie, et les faisant également les alliés de l’Eglise, alors que cette même aristocratie se renforce, unie par les liens féodo-vassaliques. Comment de la fin du XIe siècle, au début du XIIIe siècle, la dynastie Capétienne parvient-elle à construire un état, dont les pouvoirs régaliens se placent entre les mains du roi, grâce aux transformations des institutions et un désir croissant