Fernand Oury

Long-métrage français Durée : 120 min Sortie en France : 1966 Réalisateur : Gérard Oury Genre : Comédie Un grand classique du cinéma français La Grande Vadrouille fait partie des grands classiques du cinéma français. C’est LE classique par excellence du genre comique à la française. Pendant près de trente ans, ce film a détenu le record des entrées en France avec 17 millions de spectateurs. Son immense succès repose à la fois sur le jeu de deux acteurs fétiches, Louis de Funès et Bourvil

Les aventures de Rabbi Jacob 1973, Gérard Oury produit Les Aventures de Rabbi Jacob. Il choisit pour son rôle principal Louis de Funès dont celui-ci joue le rôle de Victor Pivert, un homme d'affaires têtu et raciste. Rentrant de weekend pour marier sa fille, Victor Pivert accompagné de son chauffeur Salomon, apprend avec stupeur que celui-ci est juif. Victimes d'une sortie de route, celui-ci congédie son employé qui refusait de travailler durant le Shabbat. Victor Pivert s'en va chercher de

tenir le rôle de François Perrin, mais Francis Veber le lui a refusé. On peut apercevoir l'acteur mexicain Jorge Luke qui joue le rôle du truand Juan Larbal, dans un autre film français tourné au Mexique, La vengeance du serpent à plumes de Gérard Oury (1984) où il tient cette fois-ci le rôle du chef de la police.

Gentilhomme écrite par Molière en 1670. Le document 3 est un essai philosophique tiré du livre Propos rédigé par le philosophe Alain en 1910. Le quatrième document est l'affiche du film Le Corniaud qui est un film français et qui a été réalisé par Gérard OURY en 1965. Le dernier texte est un essai historique écrit par Georges MINOIS en 2000 et s'intitule Histoire du rire et de la dérision. Ces cinq documents traitent tous du même sujet : le rire. Le rire est quelque chose de spontané qui se traduit par

rire. Par exemple, on rit de la chute d'une personne car cela ne nous ait pas arrivé à nous mais à autrui. Ainsi on se sent supérieur par rapport à quelque chose ou par rapport à une personne comme nous pouvons le voir sur l'affiche du film de Gerard Oury Le Corniaud avec Louis de Funes et Bourvil. Nous pouvons voir que l'un se moque de l'autre en mettant en valeur un caractère de supériorité. Le rire qui vient chez l'Homme suite à un événement est provoqué par le sentiment de supériorité (c'est à dire

plus le nombre de personnes joyeuses augmente, plus la joie de chacun devient intense ; or plus les individus d’un groupe rient ensemble, plus les liens se créent et se resserrent. Le rire communicatif tel qu’on le trouve dans Le Corniaud de Gérard Oury en 1965 invite également à la complicité, en effet nous pouvons voir que De funès alias Saroyan utilise Bourvil alias le Maréchal pour exporter sa drogue et son diamant (Le yukunkun) alors qu’il ne se doute pas qu’il va lui arrivé une tonnes de péripéties

observé comment le succès d'une comédie est d'autant plus marqué que le public est nombreux. Le rire est en effet contagieux, il crée une communion, une complicité précieuse dans la dynamique de groupe tout comme dans le film « Le corniaud » de Gérard Oury 1965 dans lequel un personnage naïf est clairement abusé par un homme d’affaire. Henri Bergson pour qui le rire est toujours un rire de groupe, cache derrière une pensée d’entente, de complicité afin de rassembler plusieurs rieurs. Le rire peut

serait celui de Gérard Oury. Né le 29 avril 1919 à Paris, on doit à ce réalisateur quelques-uns des films les plus drôles et les plus réussis de ces cinquante dernières années. Le Corniaud (1965), La Grande Vadrouille (1966), Le Cerveau (1969), puis Les Aventures de Rabbi Jacob (en 1973) firent de Louis de Funès une star. Dans les années 1980, Le Coup du parapluie avec Jean Richard, L'As des as avec Jean-Paul Belmondo et La Vengeance du serpent à plumes avec Coluche firent de Oury le réalisateur préféré

Les scènes comiques Introduction : Dans le film, nous avons pu également constater que beaucoup de scènes ne figuraient pas dans l'oeuvre de Ruy Blas et avaient été spécialement rajoutées par le réalisateur ( Gérard Oury ) dans le but d'accentuer le coté amusant de l'intrigue et d'ainsi susciter le rire auprès des spectateurs. Plus drôles les unes que les autres, elles possèdent néanmoins une valeur symbolique, nous rappelant les défauts de chaque personnages, les moments importants de l'histoire

en 2006, Gérard Oury s’oriente d’abord vers la carrière d’acteur. Juif d’origine, il se réfugie en Suisse jusqu’à la Libération, où on le retrouve alors tant au théâtre qu’au cinéma auprès de Jacques Becker, d’Yves Allégret, d’Edouard Molinaro et autres. 1959 marque son passage à la réalisation avec La Main chaude (1960). Le Corniaud (1965) et La Grande vadrouille (1966) le propulsent au faîte de la gloire et consacrent le duo comique Bourvil/de Funès. Avec un bonheur inégal, Oury tentera par la suite