Figures De Styles Les Animaux Malade De La Peste

nous allons nous intéresser au corps du texte. La fable a souvent pour héros des animaux, chargé alors de représenter les hommes. Prenons exemple sur la fable « Les animaux malade de la peste », on peut observer que les différents personnages sont représenté sous des formes symboliques : Le lion représente le roi, les hauts puissants. Cet animal étant considéré comme en haut de la chaine alimentaire, le roi des animaux. L’enfant peut alors reconsidérer le récit plus facilement en associant le lion

Texte1 : Les animaux malades de la peste de Jean De La Fontaine, Fable VII,1, 1678 1). Distinction des divers actes de la fable. Vers 1 au V. 14 : Présentation de la peste V.15 au V.33 : Le discours du Lion V.34 au V.42 : Le discours du renard V.43 au V.48 : Les autres animaux V.49 au V.54 : La condamnation de l’âne Négation=> ne pas ; ni ; n’ ; nul ; plus ; plus d’ ; plus de La peste apporte une négation de vie, tout les instincts sont anéantis : se nourrir (V.10 ; V.12), l’instinct

“ce n’était que menace, et bruit, sans profondeur” (v.9) . - présence de figure de styles qui se traduit par la VIOLENCE, le bruit du Torrent qui l’accompagne ; . anaphore (v.1) . hyperbole (v.6) . assonance en “i” . allitération en “r” et “t” | - champ lexical du CALME ; “image d’un sommeil doux, paisible et tranquille “ (v.15), “trajet fort facile” (v.16), “un sable pur et net” (v.17). - présence de figure de styles qui accompagne le calme de la Rivière ; . allitération en “s” . assonance

Les animaux malades de la peste, La Fontaine La Fontaine commence à publier ses fables en 1668 , il les dédie au dauphin alors âgé de sept ans. Ces fables visent à donner sous une forme légère et ludique un enseignement moral (plaire et instruire). La Fontaine part d’une histoire grâce à laquelle il illustre une morale. Ici le récit présente des animaux qui tiennent conseil et qui cherchent à déterminer lequel d’entre eux est le plus coupable et mérite de mourir pour sauver le reste de la population

LES FIGURES DE STYLES 1. Définition. Les figures de style (ou de rhétorique à l’oral) sont des procédés d’écriture (ou d’expression) qui visent à produire un effet . On distinguera au niveau de la classe de 3ème, Quatre grandes familles : 1.1 Les figures d’analogie et de substitution qui rapprochent deux éléments (comparaison, métaphore, personnification, allégorie,

Français, Séquence I : Le pouvoir des fables Séance 5 : De quoi la peste est-elle le nom ? Lecture analytique des « Animaux malades de la peste » Premières remarques, premières notes au brouillon Impressions de lecture Parodie de procès ; satire de la justice ; tragédie ou en tout cas dimension tragique de la fable ; mélange des tons : tragique, burlesque, satirique, épique... Et comme souvent, la fable fonctionne comme une « scène de poche » (l’expression est du spécialiste du XVIIe Marc Fumaroli)

différentes figures de styles employées rendent le récit vivant et dynamique. III) L’œuvre et ses thèmes 1) Exemples de fables s’attaquant aux défauts propres de l’Homme : « La Cigale et la Fourmi » « Le Corbeau et le Renard » « La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le Bœuf » « Le Loup et l’Agneau » « La Mort et le Bûcheron » « Le Renard et la Cigogne » « Le Renard et les Raisins » «  L’Ane et le petit chien » « Le Petit poisson et le pêcheur » « Les Animaux malades de la peste »

était déjà pratiquée (dans les traitements des plaies et des fractures), les cautères, les saignées, les purgatifs, les vomitifs et l’utilisation d’une pharmacopée mêlant matières minérales, végétales et animales. Déjà, les médecins vont se lancer dans la dissection, commençant d’abord avec des animaux, comme Aristote qui a transposé à l’homme ses découvertes anatomiques. Ainsi, Aristote aura-t-il attribué trois chambres au cœur humain (notion qui prévaudra jusqu’au XVIème et à la généralisation des

La FONTAINE (1621-1695) Fables (1668 ; 1678 ; 1693) La Fontaine s’est essayé à de nombreux genres ou styles (contes en vers, récits poétiques, lettres, comédies, poésie religieuse, etc.), mais ce sont ses Fables, composées sur une trentaine d’années environ, qui lui ont valu la gloire de son vivant et l’immortalité posthume. Les Fables reflètent différentes étapes de sa vie ; il a 47 ans lorsque paraît le premier recueil, dédié au Dauphin (1668). Il en a 72 à la parution du

roi fait obstacle à cette élection. A la suite de l’élection « tout d’une voix » de Boileau, son historiographe, le roi accepte que celle de La Fontaine, jusque là suspendue, soit considérée comme « consommée ». En février 1693, La Fontaine (très malade à cette époque) s’adressant à l’abbé Pouget (confesseur de l’écrivain), vicaire de Saint-Roch, abjure ses Contes devant une députation de l’Académie et « un grand nombre de personnes de qualité et de gens d’esprit » (mais les registres de l’institution