Film La Vague

change à vue dans le film. Raymond Queneau est un auteur du XX ème siècle. En 1959, il publie Zazie dans le métro, roman qui se démarque des autres de par son originalité au niveau de l'utilisation de la langue. Louis Malle, cinéaste, crée en 1960, une adaptation cinématographique de Zazie dans le métro dans laquelle il se sert, des codes de la Nouvelle Vague pour retranscrire à l'image, le travail linguistique de Queneau. On constate que dans le roman comme dans le film, l'ambiguïté des personnages

années 50 par la Nouvelle Vague et l’auteur est identifié comme le réalisateur. C’est une conception typique pour les français, que les œuvres ne sont pas des marchandises. Cette idée de l’auteur permet au cinéma français de produire des œuvres diverses et dans les genres très variés. Les jeunes cinéastes portent souvent les « casquettes » de scénaristes-dialoguistes-réalisateurs et leurs équipes sont minimales. Les productions à petit budget dans la tradition du film d'auteur se réalisent rarement

qui clôtura la métamorphose du terrain vague que seul le « mur de la honte » traversait. Elle est l’image du renouveau urbain de Berlin. C’est une intersection routière importante, séparant la vieille ville à l’Est et le « nouveau Berlin » à l’Ouest. Affiche du festival international du film de Berlin Kulturforum Cinemaxx Potsdamer Platz Arkaden C’est un quartier très animé. Chaque année, le festival international du film de Berlin s’y déroule, on peut d’ailleurs

entre amis, de partager leurs opinions, et notamment de s’informer pour réaliser des tâches pour l’école. Malgré le fait qu’internet est nécessaire pour nos jeunes, cet outil peut se révéler dangereux. Le film « La vague », visionné lors du cours de français nous le prouve : un des personnages du film propage des informations du régime totalitaire créé en classe, sur internet. Suite à cela, des jeunes vont vouloir se convertir à ce régime, et cela s’avèrera dangereux… Par conséquent, internet est un

Découverte, Jeune Public et Patrimoine et Répertoire, adhérent au Groupement National des Cinémas de Recherche, à l’Association Française des Cinémas d’Art et d’Essai et à l’Association des Cinémas de l’Ouest pour la Recherche. Cinéma jeune public Tout film présenté dans le cadre de la programmation du mois peut faire l’objet de séances scolaires (tarif : 3,20€). FILMS TOUT PARTICULIEREMENT RECOMMANDES ROUGE COMME LE CIEL de Cristiano Bortone • Italie, 2001, 1h30, couleur, version française Pour tous

LA RAFLE – Film sortie le 10 Mars 2010 Registre dramatique Roselyne Bosch, ancienne journaliste d’investigation, réalise un film sur la Rafle du Vel d’Hiv. Du point de vue de Joseph Weismann, qui avait dix ans à l’époque. Tous les personnages du film ont existé. Tous les évènements ont bien eu lieu. Avec la participation et le soutien de Serge Klarsfeld. C’est le courage de Joseph Weismann et de son ami, avec lequel il s’est évadé du camp de Beaune-la- Rolande, qui à donné à la réalisatrice

de la Culture, le festival fantastique de Gérardmer qui hante les Vosges depuis dix-huit ans aurait disparu corps et biens. Cela aurait été un mauvais signe pour la décentralisation culturelle au moment où Paris lance son PIFF (Paris International Film Festival) et nous aurait surtout privés d’une dix-neuvième édition qui fut l’une des plus cohérentes et équilibrées depuis la création du festival. Comme il fallait s’y attendre, les Mayas et leur prédiction sur la fin du Monde ont donné une nouvelle

vérité non souhaitée, voire dérangeante, comme l'Église qui mentait à ses croyants en leur disant que la Terre était le centre de l'univers, pour servir ses propres intérêts, on pourrait aussi prendre comme exemple le film de Davis Guggenheim « Une vérité qui dérange » car dans ce film, il essaye de démontrer à quel point notre planète est polluée, l'humanité est assise sur une bombe à retardement dont nous sommes les seuls responsables. Ce genre de vérité peut être la cause d'une prise de conscience

toujours impossible de demander d’arrêter une projection de film pour reprendre un passage de ce dernier ; mais grâce aux nouvelles technologies comme les DVD ou les VHS il y a encore peu de temps, nous pouvons mettre notre film en pause autant de fois que cela nous plaît et reprendre sa lecture quand nous le souhaitons. Ainsi nous pouvons réagir librement sur ce que nous venons de voir au lieu de ne participer qu’avec, je cite, « une molle et vague adhésion ». A cela s’ajoute le fait vous affirmez qu’en

propagande communiste. Également, selon Dan Gainor, étant donné que le personnage incarnant le «méchant» dans l'histoire est un magat de la finance, ce film serait une tentative gauchiste pour amadouer les enfants et diffuser un message politique. Crash (p.71) : Par Paul Haggis, 2004, traite des tensions raciales à Los Angeles, en Californie. On décrit ce film comme aillant une approche plutôt impartiale face au sujet (racisme). Corno (p.80) : Joanne Corno, artiste québécoise ayant fait ses études à l'UQAM