Finitude

Il en a eu la conscience en observant les différents cycles naturels (le jour et la nuit, les cycles lunaires, les saisons…), mais aussi en constatant les traces et les effets de l’écoulement d’un « Tempus fugit »1 (vieillesse, usure, érosion, finitude…). L’homme, être pensant, désirant nommer les réalités pour mieux les appréhender, donna un nom à cette réalité, sans pour autant posséder les moyens linguistiques de la comprendre et, par conséquent de la définir. Les deux modes de fonctionnement

dématérialisation du sensible et la dissolution de la sensibilité IJ.I.I Malaise existentiel: la dépossession de soi et le culte de la sensation lJ.J.2 Conséquence sur la faculté d'agir dans le monde IJ.I.3 La pene du sens de la forme: évacuation de la finitude. lA L'ULTIME POSSIBILITÉ DE LA LOGIQUE COMMUNICATIONNELLE, DÉfiER LA MORT? 52 CHAPITRE II L'ART CONTEMPORAIN: UN ATELIER POUR LES NOUVELLES « FORMES DE VIE» DANS LA SOCJÉTÉ DE COMMUNICATJON 55 2.1 LE STATUT PROBLÉMJ\TIQur DE

qui ne pour en qui ne pourraient cependant exister seuls. Nous arrivons ici à une contradiction première ou plutôt à une opposition très nette entre le caractère infini de la réalité du tout et le caractère fini de l'homme. L'homme, du fait de sa finitude, ne peut pas accéder à l’infini, il peut tendre vers l’infini, mais il ne pourra jamais l'atteindre. Or, pour vivre, l'homme se trouve dans la nécessité de s'approprier le monde qui l'entoure. Ne pouvant en aucune manière saisir le tout, c’est-à-dire

La finitude du monde ainsi que la briaveté de la vie humaine ayant été étudiées, il reste a interroger de maniére critique son propre esprit. La question de ['éternel cristallise désormais attention du poéte. Au deuxiéme quatrain, I'auteur apostrophe indirectement

(en grecque « stoa » qui veut dire portique) Son premier succésseur : Cléanthe Son deuxième : Chrysippe de Soles Ils sont tout les trois qualifiés de « stoïcien ancien » 3 Etapes pour vaincre les peurs de la finitude [non : finalité] (la mort) : Vaincre les peurs de la finitude : 1) théorique 2) éthique 3) sagesse. LA THEORIE : Théorie = contempler tout ce qui est divin dans le réel qui nous entoure, voir l’essentiel du monde (le cosmos). Le cosmos est un être organisé et animé, il

décortiquent les preuves en établissant leur lien avec l’idée secondaire. IP1: En premier lieu, «Élévation» traduit le dégoût de la vie terrestre du poète et son aspiration à un idéal spirituel. IS1: D'une part, le réel y est réduit à sa finitude. Explication: Le poème s'ouvre en effet sur une accumulation énumérant différents éléments de la nature et du Système solaire: « étangs, vallées, montagnes, bois, nuages, mers, soleil, éthers, sphères étoilées », au-dessus desquels le poète invite

relatif mais absolu. On peut ainsi comprendre les dieux comme la personnification, la réalisation de cet absolu de l’homme. Et c’est face à cet absolu que l’homme découvre sa situation tragique. Or, l’homme recherche l’absolu. S’il acceptait sa finitude, la finitude absolue de son être, - « un peu de terre sur la tête, et la comédie est terminée » (Pascal) - il n’y aurait pas non plus de tragique. En fait, l’homme est tragique en lui-même. Ce qui fait son malheur, sa malchance, sa destinée, et sa destinée

d’ordinaire, nous blesse » : le philosophe met en exergue ici la banalité troublante du présent. En face d’un absolu déterminant ses projets et ses attitudes, le sujet humain ne reconnaît pas le temps présent, il lui dessine d’ailleurs des limites et une finitude. Je préfèrerai presque toujours regarder en dehors du présent, parce-que je dois reconnaître qu’il ne m’est pas très intéressant : quels sont les profits de mon temps présent ? Cela n’a rien de singulier ; il n’y a là aucun relief ; c’est une continuité

regard ces textes portent-ils sur les femmes du Peuple ? Dans un premier temps noux verrons la misère omniprésente dans leur vie, puis dans un second temps l'amour qu'elles portent toutes, et, finalement comment ces textes les confrontent à leur finitude. À la lecture de ces textes, notre première pensée se porte sur la misère et les conditions difficiles subies par ces femmes. Fantine, par exemple, doit faire face à une pauvreté inhumaine causée son infâme patron qu'elle "haïssait profondément"

Notre société sécularisée, dé ritualisée et mondialisée laisse peu de place à la mort ; Elle sur valorise la vie en ce qu’elle est la jeunesse et la période de rentabilité. Elle stigmatise la mort en créant la mort sociale, sociétale. Elle nie la finitude en confiant à la médecine le soin de tenter de « guérir de la mort » Cette non place de la mort dans notre société génère parfois un formidable choc quand la mort d’un proche arrive et nous surprend ; alors seulement les questions sur le sens