Flamme éternelle

propos d'un combat en Vétéravie4. Le reste de l'année, ces gens-là déclament contre les vices. Ils prouvent en trois points et par antithèses que les dames qui étendent légèrement un peu de carmin5 sur leurs joues fraîches seront l'objet éternel des vengeances éternelles de l'Éternel; que Polyeucte et Athalie6 sont les ouvrages du démon ; qu'un homme qui fait servir sur sa table pour deux cents écus de marée un jour de carême fait immanquablement son salut, et qu'un pauvre homme qui mange pour deux sous

par exemple la valeur des pluriels et de l'indéfini de la totalité « tout ». Aucune modalisation n'est présente dans ce récit. Les effets de grossissements sont permis par l'élargissement métaphorique (de la « nuit cruelle » à la « nuit éternelle »), par les indéfinis de la totalité (« tout un peuple » v. 998, « tous mes frères » v. 1001, p. 81), l'adverbe « tout » qui marque le degré absolu (« tout couvert » v. 1002, p. 81), ou encore les pluriels de l'indistinction, qui revêtent

la notion du mot mort est vaste. Dans les faits, c’est bien une cessation de la vie. Mais de la vie sur la terre. Car dans la religion chrétienne, la mort, c’est le passage entre la vie et l’au-delà, c’est le passage vers une nouvelle vie, la vie éternelle. 2. Qu’est-ce que la résurrection ? La résurrection est une conception religieuse qui existe dans plusieurs religions. Dans la religion chrétienne, elle est un élément important qui survient tard dans la Bible. En effet, même si, dans l’Ancien

vieux désir, Éperonnant encor ta vivante carcasse, Te pousse-t-il, crédule, au sabbat du Plaisir ? Au chant des violons, aux flammes des bougies, Espères-tu chasser ton cauchemar moqueur, Et viens-tu demander au torrent des orgies De rafraîchir l'enfer allumé dans ton coeur ? Inépuisable puits de sottise et de fautes ! De l'antique douleur éternel alambic ! A travers le treillis recourbé de tes côtes Je vois, errant encor, l'insatiable aspic. Pour dire vrai, je crains que ta

l’humanité supérieure et qu’il est donc le prototype de ce que nous entendons par le mot "homme". Il est le Prométhée de notre espèce. De son front de lumière a jailli à toutes les époques l’étincelle divine du génie ; elle a perpétuellement ranimé la flamme de la conscience qui éclaircit la nuit des mystères silencieux, grâce à quoi l’homme a pu accéder à la maîtrise et à la domination des autres êtres terrestres... C’est lui qui établit les fondations et qui assuma la construction des murs de tous les

« divans profonds », « fleurs », « rose », et « coeurs » suggère une atmosphère douce, intime. La mort fait régner, elle, une ambiance froide et triste grâce à des mots tels que « tombeaux », « long sanglot », « adieux », « miroirs ternis » et « flammes mortes ». Mais de nombreux termes peuvent être compris à double sens, ne faisant que suggérer la mort sans jamais vraiment la dévoiler pendant les deux quatrains. Ainsi, les « lits » peuvent tout aussi bien être un lieu amoureux que des lits mortuaires

propos d’un combat en Vetéravie. Le reste de l’année ces gens-là déclament contre les vices. Ils prouvent en trois points, et par antithèse, que les dames qui étendent légèrement un peu de carmin sur leurs joues fraîches seront l’objet éternel des vengeances éternelles de l’Éternel; que Polyeucte et Athalie sont les ouvrages du démon; qu’un homme qui fait servir sur sa table pour deux cents écus de marée un jour de carême, fait immanquablement son salut, et qu’un pauvre homme qui mange pour deux sous

tes yeux de feu, brillants comme des fêtes, Calcine ces lambeaux qu’ont épargnés les bêtes ! Baudelaire, Les Fleurs du mal (1857) Le sonnet de Félix Arvers ou tentative de lecture 1883 Mon âme a son secret, ma vie a son mystère, Un amour éternel en un moment conçu : Le mal est sans espoir, aussi j'ai dû le taire, Et celle qui l'a fait n'en a jamais rien su. Hélas ! j'aurai passé près d'elle inaperçu, Toujours à ses côtés, et pourtant solitaire. Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps

ciel, Pour illuminer ces prodiges, Qui brillaient d'un feu personnel ! Et sur ces mouvantes merveilles Planait (terrible nouveauté ! Tout pour l’œil, rien pour les oreilles !) Un silence d'éternité. II En rouvrant mes yeux pleins de flamme J'ai vu l'horreur de mon taudis, Et senti, rentrant dans mon âme, La pointe des soucis maudits ; La pendule aux accents funèbres Sonnait brutalement midi, Et le ciel versait des ténèbres Sur le triste monde engourdi. Les Femmes :

amour est éternel. 2ème tercet : Une fois morts, la mémoire des amants sera célèbrée par un médiateur (ici Ange) entre la terre et le ciel (humains et Dieux)  Cet Ange ouvrira les portes du paradis ou renaitront les amants  Il les ranimera ( âme du latin anima) à la fois par les miroirs = esprits et à la fois par les flemmes = leur sensualité  La mort permet donc d’échapper aux mauvaises choses pouvant se psser dans une relation qui sont introduites par ternis et flammes mortes. On