Flaubert Trois Contes

La Légende de Saint Julien l’Hospitalier De Flaubert Etude d’une uvre intégrale en huit séances, dans une classe de 5°. Edition Folioplus, classiques n°6. Place de la séquence : en début d’année, avant le roman de chevalerie, par exemple. L’ uvre devra, préalablement, être lue en entier. Pré-requis : Caractéristiques du conte merveilleux ( 6°). Caractéristiques de la Bible, texte fondateur ( 6°). Caractéristiques du discours narratif.(6°). Objectifs généraux : • Sensibiliser à la civilisation du

CORRIGE DU COMMENTAIRE SUR L'INCIPIT DE LA LEGENDE DE SAINT-JULIEN L'HOSPITALIER de FLAUBERT Impressions à la lecture du texte (trouvé dans vos copies) Bcp de descr° : sur les lieux (château, alentours) ; un peu sur les pers du père et de la mère de Julien. Incipit statique → Informations : lieu ; époque (M.-A.) ; pers (un peu). Certains ont fait une parti sur l'ennui de ce genre d'incipit : on ne vous demande pas de juger mais d'expliquer un texte qui a du succès depuis des siècles... un

tentera de se suicider à l’aide de ses longs cheveux. Maupassant, toute sa vie, sera très attentif à sa mère : séjours auprès d’elle, lettres nombreuses. Le frère de Laure, Alfred, mort en 1848, fut le camarade d’études et intime ami de Flaubert (“ Quand il (Flaubert) me reçut, il me dit, en m’examinant avec attention : “Tiens, comme vous ressemblez à mon pauvre Alfred” (...) il me dit d’une voix vibrante de l’intonation du passé : “Embrassez-moi, mon garçon, ça me remue le cœur de vous voir. J’ai

condisciples "presque tous destinés au sacerdoce" (termes de ses lettres d'alors). De cette période sombre datent les premiers essais poétiques, d'inspiration symboliste. Trois ans après, il devient un élève indiscipliné et sera rendu à sa mère. L'élève de terminale passe tous ses dimanches à Croisset en compagnie de Flaubert, qui le guide dans ses premiers écrits poétiques et qui sans cesse lui rappelle : regarder, observer, disséquer du regard avant d'écrire. Guy de Maupassant est alors initié

l'abbé Aubourg se charge alors de l'apprentissage des mathématiques, du grec, du latin et du catéchisme. Maupassant entre au pensionnaire d'Yvetot en 1863. Trois ans après, il devient un élève indiscipliné et sera rendu à sa mère. Il est alors inscrit au lycée de Rouen, à cette époque il côtoie Louis Bouilhet et surtout Gustave Flaubert, dont il devient le disciple qui lui rappelle qu'il faut toujours regarder, observer, disséquer du regard avant d'écrire. Guy de Maupassant est alors initié à

jumelés tant moralement que physiquement, le lycéen passionné de littérature les rencontre dès 1868. Le poète Louis Bouilhet tout d'abord, conservateur de la bibliothèque municipale de Rouen, qui accueille avec faveur les vers laborieux du débutant. Et Flaubert, qui vient régulièrement à Rouen par le coche d'eau et déambule, entre ses deux amis, devant les baraques de la foire Saint-Romain ou dans les rues mal famées des bas quartiers. 2- Les études, la guerre, le travail, les amis écrivains Guy passe

le 5 août 1850 au château de Miromesnil à Tourville-sur-Arques1 (Seine-Inférieure) et mort le 6 juillet 1893 à Paris. Lié à Gustave Flaubert et à Émile Zola, Guy de Maupassant a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, et surtout par ses nouvelles (parfois intitulées contes) commeBoule de suif en 1880, les Contes de la bécasse (1883) ou Le Horla (1887). Ces œuvres retiennent l’attention par leur forceréaliste, la présence importante

sentimentale ; c’est-à-dire que Flaubert insère les deux courants littéraires dans son œuvre, aussi bien dans la forme que dans le fond(techniques d’écriture romanesque, sujets de conversation ou personnalités des personnages, ou encore évoqués directement par le narrateur). Si Flaubert admire l’écriture romantique et s’il s’attache àappliquer une méthode scientifique afin de raconter le vrai, un pessimisme ressort du roman à l’égard de ces deux courants. En fait, Flaubert critique sans dénigrer, dénonce

siècle français nous révèle avant tout sa complexité. Au rythme heurté des événements politiques correspond tout un mouvement d’idées et de mouvements littéraires. Le XIXème siècle est traversé par trois grands mouvements littéraires : le romantisme, le réalisme et le symbolisme ; trois écoles, trois conceptions de l’art mais surtout, chacun d’eux correspondant à une vue originale sur l’homme et sur le monde. I Histoire du mouvement Le courant réaliste est présent depuis

Vie de FlaubertGustave Flaubert est né à Rouen dans une famille de la petite bourgeoisie catholique le 12 décembre 1821. Flaubert est le 5e enfant qu’eurent ses parents, mais il est cependant le 2e à ne pas mourir précocement. Les premières années de sa vie, il a vécu avec sa sœur Caroline, qui est née 3 ans après lui, dans un des pavillons de l’hôpital Hôtel-Dieu de Rouen où leur père travaillait comme chirurgien-chef. En 1832 Il est entré au Collège Royal. Il a par la suite intégré