Fleur Du Mal Genre Et Registre

Les Proverbes sont un genre théâtral répandu aux XVIIIe et XIXe siècles, dont les exemples les plus connus sont constitués par une série de pièces de théâtre écrites par Alfred de Musset et faisant partie de ses Spectacle dans un fauteuil. Leur titre correspond donc à un proverbe, généralement imaginé par son auteur, que la pièce illustre. Le Proverbe est un genre dramatique mondain et mineur basé sur une intrigue sentimentale légère1 mais Musset l'oriente parfois vers le drame comme dans On ne

| |de son œuvre, Baudelaire opère une transformation radicale de l'esthétique dominante, en proclamant vouloir libérer l'esthétique de | |toutes considérations morales ou éthique, comme le postule si bien le titre de son Recueil Les Fleurs du Mal, il a renouvelé en | |profondeur les motifs poétiques.  | |

| | | |=> « Une bonne éducation au peuple. » (l.19-20) | | | | |= LE MAL EST ENGENDRE PAR L’IGNORANCE. | | | | |b) CONSTAT DE DEPART : ___ l.2-7. La France ne sait pas lire (comparaison |

Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Allitération en [s] dans Cassandre sous son ANAPHORE n.f. Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers - Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits ANTITHESE n.f. 2 termes de sens opposés dans une même phrase - Le navire était noir, mais la voile était blanche ASSONANCE n.f. Répétition d’une même voyelle dans un groupe de mots Assonance en [u] dans Qui ne les eût

l’enseignement en France au XIXe siècle ? f I. La progression de l’argumentation : a) THESE DEFENDUE (en 2 parties) : ___ = Si on éduque le peuple, on réduit le nombre de criminels et d’exécutions. => « Une bonne éducation au peuple. » (l.19-20) = LE MAL EST ENGENDRE PAR L’IGNORANCE. b) CONSTAT DE DEPART : ___ l.2-7. La France ne sait pas lire (comparaison avec autres pays européens). c) SOLUTION PROPOSEE : donner une vraie éducation au peuple ; lui apprendre à lire. d) POURQUOI ? ARGUMENTS AVANCES :

ont l'ombre des abîmes,     Parce qu'on les fuit, Parce qu'elles sont toutes deux victimes     De la sombre nuit. Passants, faites grâce à la plante obscure,     Au pauvre animal. Plaignez la laideur, plaignez la piqûre,     Oh ! plaignez le mal ! Il n'est rien qui n'ait sa mélancolie ;     Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie     De les écraser, Pour peu qu'on leur jette un œil moins superbe,     Tout bas, loin du jour, La mauvaise bête et la mauvaise

« Je vis, je meurs... »« Heureux qui comme Ulysse... »« Mignonne, allons voir si la rose... »« Quand vous serez bien vieille... »« Je vous envoie un bouquet... »« La complainte du progrès... »RECUEILSonnetsLes RegretsLes Amours de CassandreSonnets pour HélèneSecond Livre des AmoursDATE155515581545157815551955AUTEURLouise LABEJoachim DU BELLAYPierre DE RONSARDPierre DE RONSARDPierre DE RONSARDBoris VIANGROUPE/MOUVEMENT LITTERAIREEcole lyonnaise – Rennaisance (influencé Pétrarquisme)La Pléiade – Renaissance

dessin personnel).Vous pouvez choisir de donner une idée large du mouvement romantique ou au contraire de sélectionner un thème précis du romantisme. Vous pouvez choisir des textes de genres différents (poème, extrait théâtral, roman, essai) ou de registres différents (lyrique, polémique, pathétique, tragique) 2 formats possibles : numérique (format pdf, à rendre sur pronotes à la date indiquée) ou dossier relié.Qu'est-ce qu'une anthologie ? C'est un recueil de textes d'auteurs divers, qui a pour but

RECUEIL DE POEMES Les fleurs du mal, de Baudelaire I.Première partie Nourri de romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse ( mouvement littéraire du 19 eme siècle siècle recherchant la perfection artistique de l'art poétique au détriment de l'engagement politique et social ) et le symbolisme de la « modernité », Charles Pierre Baudelaire occupe une place qui lui est propre dans l'histoire littéraire du 19 eme siècle. Au cœur des débats sur la fonction de la

métaphore La métaphore est une image qui met en parallèle deux termes possédant la même caractéristique mais, à la différence de la comparaison, elle unit comparant et comparé sans outil grammatical comme : « Chaque fleur est une âme à la Nature éclose », Gérard de Nerval décrit la fleur tel un nouvel individu dans la Nature, « Tes mains feuilles de l’automne », pour Apollinaire la forme et le mouvement des mains ressemblent à ceux des feuilles. 4 La métaphore peut ne pas mettre en évidence la relation