Fleury-devant-Douaumont

reliant Verdun à Bar Le Duc pour l'acheminement des munitions du ravitaillement et des renforts ? La voie sacrée LE FORT DE DOUAUMONT – LE FORT DE VAUX A quelle date les Allemands prennent-ils le Fort de Douaumont ? Le 25 février 1916. Pourquoi a-t-il été pris aussi facilement ? Les soldats français ont reculé devant les attaques des allemands et ont abandonné le fort de Douaumont. A quelle date a-t-il été repris ? Le 24 octobre 1916 Quels étaient les moyens de défense du fort ? Le lancé d'obus était

d'artillerie moyenne et lourde. Tous les canons des casemates de Bourges, des coffres et des galeries de contrescarpes qui peuvent être démontés sont récupérés. Seules les pièces des coupoles intransportables sont restées en place. Ainsi le fort de Douaumont ne dispose plus à la veille de l'offensive allemande que d'un canon de 155 mm et de 4 canons de 75 mm. Au début de la guerre le 77 M96 équipait trois des quatre unités d'artillerie rattachées aux divisions d'infanterie. Il équipait également les

régiment, avec l'É.-M. de la brigade, cantonnait à Parfondrupt. Cette prise de contact nous coûtait un seul blessé. Le véritable baptême du feu devait être reçu le lendemain. 25 août. La nuit a été calme; l'ennemi, incertain des forces qu'il avait devant lui, s'est fortifié sur ses positions. Dès 4h 30, ordre est donné de reprendre le contact. Mission du régiment : dégager les abords nord-est de Saint- Jean-lès-Buzy avec deuxième objectif Aucourt. A gauche, le 258e doit déboucher de Buzy avec le

à tout prix à la progression adverse. L'artillerie allemande bien renseignée par les ballons et les avions d'observation fait un carnage et le 25 les troupes françaises sont contraintes d'évacuer la plaine de la Woëvre. Ce même jour, le fort de Douaumont est pris par surprise par l'infanterie allemande. Les 51e et 72e DI ont perdu en quatre jours de combat plus de 60 % de leurs effectifs. Le 26 à l'issue d'un nouveau bombardement d'artillerie, l'armée allemande repart à l'assaut. Les troupes du

La butte des Eparges Page 3° Passage devant le mémorial Fleury-Verdun Page 4° Visite de la Citadelle Page 5° L'Argonne et la rive gauche Page 6° La butte de Vauquois Page Remerciement Page Introduction: Nous sommes arrivés aux environs de 9 heures sur les hauts de Meuse pour y évoquer la mémoire d'Alain-Fournier. Ensuite nous nous sommes rendus en car sur le site de la bataille des Eparges. Notre visite du Mémorial de Fleury-Verdun n'a pas pu avoir lieu. Lorsque ce fut

allé aussi au Fort de Douaumont, il a été construit en 1884, il a été conçu pour 650 hommes. Il a été pris par les allemands et repris plus tard par les français. Ce fort est bien armé puisque il a une tourelle de mitralleuise et une tourelle à éclispe de 155 mm. Dans le fort, il y avait la présence d'une nécropole allemande puisque 679 victimes allemandes d'une grosse explosion le 8 mai 1946. Nous avons pu visiter 2 niveaux sur les 3. On a visité le village détruit de Fleury, c'est impressionnant

cimetière national de Notre-Dame-de-Lorette, à Ablain-Saint-Nazaire (Pas-de-Calais), au titre des militaires morts pour la France aux côtés de leurs frères d’armes alliés (1914-1918) ; – l’ensemble constitué par le cimetière national de Fleury-devant-Douaumont et la tranchée des baïonnettes (Meuse), au titre du sacrifice des soldats français de la Grande Guerre à Verdun (1914-1918) ; – l’ancien camp de concentration de Natzweiler-Struthof (Natzwiller, Bas-Rhin), au titre du système concentrationnaire

cimetière national de Notre-Dame-de-Lorette, à Ablain-Saint-Nazaire (Pas-de-Calais), au titre des militaires morts pour la France aux côtés de leurs frères d’armes alliés (1914-1918) ; – l’ensemble constitué par le cimetière national de Fleury-devant-Douaumont et la tranchée des baïonnettes (Meuse), au titre du sacrifice des soldats français de la Grande Guerre à Verdun (1914-1918) ; – l’ancien camp de concentration de Natzweiler-Struthof (Natzwiller, Bas-Rhin), au titre du système concentrationnaire

pour des millions d’hommes - la première et souvent la dernière étape d’un douloureux calvaire. Gérard Canini Agrégé d’université www.voie-sacree.com COMITÉ DE LA VOIE SACRÉE ET DE LA VOIE DE LA LIBERTÉ 1 avenue du corps européen - 55100 - FLEURY-DEVANT-DOUAUMONT Tél. 03 29 84 35 34 - fax : 03 29 84 45 54 Ce support vous est offert par billiotte.fr • 7929 • 11/10 Ce sont ces transports de 1917, ajoutés à l’expérience de Verdun, qui permirent de concevoir l’organisation de 1918 et de tenir tête aux

on préfère la feuille de chêne, la croix de fer ou une symbolique christique, l'Allemagne ayant perdu la guerre et l'Empire ayant disparu. Les soldats des différentes nations reposent dans des cimetières et des nécropoles, comme l'Ossuaire de Douaumont. Différentes associations s'occupent des tombes et de la mémoire des soldats. Pour la France, le Souvenir français, pour l'Allemagne le Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge qui s'occupe en France de 192 lieux de mémoire, pour l'Autriche l'Österreichisches