Flexicurité

économiques sur le court terme, semble s'essouffler sur le long terme par un manque de prise en compte de l’importance de la recherche et de l’éducation, et par «l’unidimensionnalité» économique générant les problèmes sociaux. Le modèle Danois de «flexicurité» semble donc mieux appréhender les enjeux de la société, tant sur le plan économique et social, qu’en question d’éducation et d’innovation.

peut s’établir à travers : - Une protection accrue des consommateurs à travers l’harmonisation des normes nationales. - Associer plus étroitement politique économique et politique sociale, en s’appuyant notamment sur les réflexions en cours sur le flexicurité. - Poursuivre la réflexion sur les Services d’Intérêt Général (SIG), aborder pour la première fois dans le Traité de Lisbonne => c’est la première fois que le DCOM reconnaît la valeur et la spécificité des SIG. 3) Vers l’achèvement du marché intérieur

résoudre le problème du chômage la qualification : La meilleure stratégie pour sortir des bas salaire et du chômage est la qualification des hommes ainsi que leur formation cependant cela reste complexe. Autre modèle : la « flexicurité » des pays nordiques Celui-ci a organisé une complémentarité bénéfique entre le droit du travail, le régime d’indemnisation chômage et la politique de l'emploi. La générosité des indemnités chômage autorise un fort relâchement des contraintes

Dans un contexte plus large de la flexicurité, le Rapport de situation annuel 2006 de la  Commission   a  formulé  quatre composants  sur base  des  lignes  directrices  et des  priorités  de  la  Stratégie pour la Croissance et l'emploi: •  Des   modalités   de   travail   flexibles  (pour   l'employeur   comme   pour   le   travailleur)   grâce   à   des  législations du travail modernes autorisant des modalités de travail suffisamment flexibles ainsi  qu’une réduction de la segmentation du marché du travail et du travail non déclaré

travail : flux migratoire S5 : les emplois de proximité : service à la personne, CESU, pourquoi ces emplois de proximité ont été créé ? S6 : le travail à temps partiel : femmes, choix/subit S7 : les législations sur le salaire S8 : la flexicurité : dans les pays scandinaves, allocation chômage très forte, si on propose un emploi qui correspond aux compétences il est obligé de l’accepter = éviter le chômage. Knicks Bibliographie : Cahuc, Pierre, Zylberberg, André (2001), Le marché

2010), la situation économique danoise semble avoir retrouvé un certain équilibre. Actuellement, un des principaux objectifs économiques du gouvernement danois est de renforcer la compétitivité du pays. Le Danemark exerce une politique dite de flexicurité qui repose sur trois piliers : * une grande flexibilité du marché de l’emploi * un niveau élevé de prestations en cas de chômage * une politique énergique d’activation des sans-emplois, faisant consensus dans la population, fondée sur

chômage des moins de 25 ans en 2005 (en %) 4,8 4,7 4,7 7,8 9,5 9,7 4,3 9,2 8,8 8,6 8,2 12,9 22,6 15 22,3 8,6 19,7 18,5 Source : Eurostat, 2006 DOCUMENT 3 – 1 Depuis quelques années, le Danemark, avec son modèle de « flexicurité », suscite l’engouement. Ce modèle repose sur trois piliers : une faible protection de l'emploi (volet flexibilité) ; une indemnisation généreuse des chômeurs (volet sécurité) ; un contrôle strict de ceux-ci pour les dissuader de rester au chômage

pris lors du Conseil européen de Barcelone sur la garde d’enfants); • une Europe qui valorise le travail à travers plus d’emplois et une vie active plus longue: l’UE désire améliorer les systèmes d’éducation et veut privilégier les systèmes de «flexicurité» permettant de meilleures transitions entre les différents cycles de vie (une flexibilité accrue sur le marché du travail combinée à des mesures de formation tout au long de la vie). Valoriser le travail implique également de lutter contre les préjugés

combinent la souplesse dans l'embauche et les licenciements (donc une certaine flexibilité du marché du travail) avec la garantie, pour les salariés, d'une sécurité des revenus et des procédures de réinsertion professionnelle facilitées (exemple de la flexicurité mise en œuvre au Danemark). Dans d'autres pays, les pouvoirs publics ont agi, de manière concomitante, sur la question de la durée du travail (la France avec les 35 heures, les Pays-Bas avec l'encouragement au temps partiel), le temps de travail

créer beaucoup de valeurs ajoutées. La formation est plus importante et se fait tout au long de sa vie ( pour changer de travail ) la recherche et le développement est important. Au Danemark c'est la même chose sauf qu'il y a le modèle de « flexicurité » qui se caractérise en trois pôles : 1: Embauche et licenciement faciles 2: Allocations chômages élevées 3: formation tout la vie Un danois sur trois change de poste une fois par an. Conclusion : nouvelle stratégie La nouvelle