Flic en Flac

nodig is Voor een beetje poëzie Daar weemoed nodig is Voor ’n kleine elegie, Daar tranen nodig zijn Voor de klank van gitaren; Er is geen liefde zonder leed. (daar???) Georges Brassens Le nombril des femmes d'agents1 Voir le nombril d'la femme d'un flic N'est certainement pas un spectacle Qui du point d'vue de l'esthétique Puisse vous élever au pinacle. Il y eut pourtant dans l'vieux Paris Un honnête homme sans malice Brûlant d'contempler l'nombril D'la femme d'un agent de police. 1953 Thèmes : sexualité

passe. La phrase de passe, choisie par nous, est ce qui nous permet de crypter/d´ecrypter la cl´e de cryptage. Elle ne sert pas ` a crypter nos donn´ees et elle peut ˆetre m´emoris´ee ! C’est simplement une sorte de deuxi`eme s´ecurit´e. En effet, un flic mettant la main sur notre cl´e de cryptage ne pourra pas faire grand chose sans la phrase de passe et inversement. En r´esum´e, la confidentialit´e des donn´ees repose sur une cl´e secr`ete et la confidentialit´e de la cl´e secr`ete sur une phrase

La biche aux abois fait mê mê mê Les oiseaux du lac font pic pac pic pic D7 D7 La vaisselle cassée fait cric cric crac Gm Glou glou glou font tous les dindons E7 Gm E7 A7 A7 Et c'est l'amour qui s'éveille. Et les pieds mouillés font flic flic flac Mais... Boum ( D G A7 ) Quand notre cœur fait Boum Tout avec lui dit Boum L'oiseau dit Boum, c'est l'orage L'éclair qui lui fait Boum Et le bon Dieu dit Boum Dans son fauteuil de nuages. D A Et la jolie cloche ding ding dong, mais…. D Boum

07 86 94.85. Loue F2 de standing, Paris 18e, sem., quinzaine, entièrement équipé et meublé (SDB, cuis., salon, chbre indépendant), proche ttes commodités, à 1 mn à pied du métro Marx Dormoy(L12),500€/sem. 0262 91 02 63. 513731 Loue appt à Flic-en-Flac, face plage, avec piscine, sécurisé, tt confort. 0692 85 08 97. 514441 Villa meublée, Maurice, 6/8 pers., Grand-Baie, sécurisée, pk, Canalsat, cuis., clôt., calme, 300 m de la plage, resto, Super U, centre-ville, 1 couple 20 €/j., clim. en

pierderea suflării dedesubt muşcături pălmuiri traak-traak biciuiri pic-pac-pum-tumb bizarerii salturi înălţime 200 m. a împuşcăturii Jos jos în fund a orchestrei bălţia se bălăci boi bivoli bastoane ascuţite tancuri pluff plaf cabrări de cai flic flac zing zing sciaaaack nechezaturi hilare iiiiiii... tropăituri ţârâituri 3 batalioane bulgăreşti în marş croooc-craaac / ÎNCET DOI TIMPI / Fluvii Maritza sau Karvavena croooc craaac strigătul ofiţerilor a se trânnnnti precum farfffurii de alllamă

Certains affirment : rien. Quant à moi, je crois que Peter ne pouvait pas penser. Muait-il, puait-il, suait-il ? Ha, ha, ha ! Excusez-moi. Il m’arrive d’être si drôle. 23 Blambe clic craquecrunch touba. Clac clac patrac. Bruit sourd, tas de flac, mâchenomme. Ya, ya, ya. Excusez-moi. Je suis le seul qui comprenne ces paroles. Plus tard, bien plus tard. Disent-ils. Ça a trop duré pour que Peter ait toute sa tête. Jamais plus ça. Non, non, non. Ils disent que quelqu’un m’a trouvé. Je ne me

destitué de bâton 6 reprit le bout de son mât, en frappant torche lorgne 7 dessus le géant; mais il ne lui faisait mal en plus que feriez baillant une chiquenaude sur , i. En nisme : coulant caeare.) le — — coup. 2. Mettre bas. 3. Mauvaise. 7. Flic, flac. 6. Privé d'arme. — — — 4. Séparera. — 5. (Lati- PANTAGRUEL — 203 un enclume de forgeron. Cependant Loupgarou tirait de terre, sa masse et l'avait jà tirée et la parait * pour en férir Pantagruel; mais Pantagruel, qui était soudain 2

j'évoquais avec angoisse le lendemain, quand pour la première fois je dormirais loin de chez moi. Dans le ciel, la lune suivait lentement sa course. Un oiseau de nuit sautillait en battant des ailes sur le rebord de la fenêtre. J'entendais sur le toit le flic-flac des bannières à prières fouettant les mâts de bois. Je finis par sombrer dans le sommeil, mais quand le clair de lune fut remplacé par les faibles rayons du premier soleil, un serviteur me réveilla avec un bol de tsampa et une coupe de thé au beurre

attendait beaucoup de Bastien, mais, il faut le dire, Bastien dépassa toutes les attentes. Bastien avait un pas pour chacune des quatre figures dont se compose la contredanse complète. C’était, en entrechats et en pas d’été, en pas de zéphyr et en flic-flac, des gigotements comme non seulement les Haramontois n’en avaient jamais vu, mais encore comme ils ne se doutaient pas qu’il en pût exister. Aussi se pressa-t-on pour voir danser Bastien, de telle façon que lui-même fut obligé, malgré ce qu’un pareil

coquins de Detroit lui m’avait cédé un petit coin dans son « business ». Ça le tentait Robinson. « J’en serais bien un peu, moi aussi du « raidillon » pour leur sale gueule, qu’il me confiait, mais vois-tu j’ai perdu l’estomac... Je sens qu’au premier flic qui me travaille, je me dégonfle... J’en ai trop vu... Et puis en plus j’ai tout le temps sommeil... Forcément, dormir le jour, c’est pas dormir... Sans compter la poussière des « bureaux » qu’on s’en remue plein les poumons... Tu te rends compte